Yves Bonnefoy La Voix Lointaine

Mme Leprince de Beaumont – de la jeune fille offerte à un monstre qui se transforme en prince charmant. Édition d’Anne Bervas-Leroux. Texte intégral / Collège 9782081266360 2,70 € • 126 pages. LA BIBLE Voir LES TEXTES FONDATEURS, p. 53 BONNEFOY (YVES) Voir POÉSIE ET LYRISME, p. 51 BORDAGE (PIERRE) NOUVELLE VIETM ET AUTRES RÉCITS ------------------------------- Pour devenir riche et accéder au bonheur, un homme miséreux commet un crime. Il s’en repent bientôt… Rien, pas même l’argent

parler d’elle-même (voir ci-dessus). Les temps sont ceux du passé : imparfait (« venait », l. 1), passé simple (« perdit », l. 13), plus-que-parfait (« avait recueilli », l. 6). La narratrice rapporte un épisode situé dans un passé mal défini mais lointain (« cette année-là », l. 1). Il s’agit de raconter un souvenir d’enfance : « demander à l’un de mes parents », l. 5 ; dialogue avec la mère. 2. Bien que plus de quarante ans se soient écoulés, le souvenir de cet épisode est resté très présent dans

Maillaud, lâche, quant à lui, que «tout est possible», avantd’ajouter:«J’espèrejustequ’il ne s’agit pas d’une autre affaire Godard dont on n’aura jamais le fin mot. » Treize ans d’enquête n’ont jamais permis d’expliquerla disparition, en 1999, du docteur Yves Godard, de son épouse et de leurs deux enfants. p Jacques Follorou «L’hypothèse d’un tueur isolé et psychiquement perturbé a repris de la vigueur» Eric Maillaud procureur d’Annecy Environ 650 personnes vivant ou travaillant entre le camping dans

transposé dans le monde et le décor quotidiens du XVIIe siècle. Le dénuement de l’espace, le naturel du modèle qui a posé, l’absence de fard et d’ornement imposent une représentation réaliste. Ce rapprochement, établi par le peintre, entre le lointain monde biblique et la réalité du XVIIe siècle dans laquelle baigne le spectateur contemporain de l’artiste, aide à entrer dans le sujet. 2. Le corps de la Madeleine occupe tout l’espace de la toile. Les habits dont elle est revêtue combinent

rossignols communient dans l'hommage à une princesse d'Egypte : les nageurs blancs et doux se tiennent à distance de peur de troubler l'eau du bassin où se reflète son image, les poissons s'immobilisent de respect et d'amour, les rossignols perdent leur voix 3; mais les voici réunis plus loin, dans une émulation inverse, pour ce duo nocturne Déjà les rossignols chantaient dans les buissons, On f!Yait dans le Nil retomber les poissons '. 1. LI CMt'IIIp/aI"". - - + Ibid., IZe Partie. 2. LI Soui/ kunt

laitier... Le Space s’ouvre aujourd’hui à Rennes dans un climat tendu. Le ministre de l’Agriculture, en visite, doit annoncer un plan de développement de l’élevage qui porte sur plusieurs dizaines de millions d’euros. Page 3, l’interview réalisée par Yves Drévillon BULAT-PESTIVIEN TRAFIC DE DROGUES : 15 MOIS DE PRISON Page 11 ALGUES VERTES UN FACE-À-FACE DANS LE FINISTÈRE ? Page 12 Photo Stéphane Mortagne, MaxPPP AFFAIRE BETTENCOURT L’ÉLYSÉE ACCUSÉ D’ESPIONNAGE Page 4, le point de vue d’Hubert

transposé dans le monde et le décor quotidiens du XVIIe siècle. Le dénuement de l’espace, le naturel du modèle qui a posé, l’absence de fard et d’ornement imposent une représentation réaliste. Ce rapprochement, établi par le peintre, entre le lointain monde biblique et la réalité du XVIIe siècle dans laquelle baigne le spectateur contemporain de l’artiste, aide à entrer dans le sujet. 2. Le corps de la Madeleine occupe tout l’espace de la toile. Les habits dont elle est revêtue combinent

baudelairien d’évasion. L’éternité perdue à tout jamais, suite à l’accident de la chute, suscite la nostalgie perpétuelle de la retrouver. Tous les moyens sont bons : le vin, les opiacées, l’amour, le rêve… L’évasion projetée vers des espaces exotiques, lointains, mais jamais assez éloignés, culmine avec le rêve de quitter la sphère du monde. Ainsi, pouvons-nous aujourd’hui affirmer que chaque texte du poète est une évasion sui generis, dont la réussite symbolique, in absentia, est confirmée, encore et toujours

celle d’un temps, plus ou moins imaginaire, où lire Rabelais allait de soi, où l’apprentissage des humanités établissait un pont naturel avec l’humanisme de la Renaissance, où la langue que l’on parlait était encore assez proche de celle de nos lointains ancêtres pour qu’il ne soit pas utile de « traduire » Rabelais comme s’il était définitivement étranger à notre idiome contemporain. Ces lamentations ne sont pas de mise. Le passage du présent au passé s’accompagne fatalement d’une déperdition et

la narratrice met-elle en scène sa voix ? C’est un livre. C’est un film. C’est la nuit. La . . . .narratrice . . . . . . . . . . . . indique . . . . . . . . . . que . . . . . son . . . . . texte . . . . . . . correspond ..................... à. . l’écriture . . . . . . . . . . . d’un . . . . . . fi . . lm . . . .: .sa . . . voix . . . . . .s’apparente . . . . . . . . . . . . . . .à . . celle ............ La voix qui parle ici est celle, écrite, du livre. Voix aveugle. Sans visage. Très jeune. Silencieuse