Yves Le Prieur

Saint-Malo Date : 15 juillet 1689 Le prieur de Notre Dame de la Montagne se promena sur le bord de la mer avec Mlle de Kerkabon qui était sa sœur. Un bateau anglais entra dans le port. Un homme nu-tête et nu-pied attiré leur attention. L’homme buvait une sorte de rhum antillais et en offrit un au prieur de Notre Dame et a sa sœur. Peu à prés, en échange ils lui proposèrent leurs services. Mais l’homme ne savait pas quoi faire dans ce nouveau pays. Le prieur demanda la nationalité du jeune et il

eux a attiré leur attention. Après avoir appris qu'il s'agissait d'un huron, le prieur et sa sœur l'ont invité à souper. Mais très vite, le bruit se répandit qu'un huron venait souper au prieuré, et ce que Voltaire appelle « la bonne compagnie » s'est invitée au repas. Parmi elle, il y avait l'abbé de Saint-Yves et sa sœur, le bailli et le receveur des tailles et leurs femmes. Dès le premier regard, Mlle de Saint-Yves tomba sous le charme du jeune Huron. Au cours du repas, tout le monde interrogeait

Huron dont l’amabilité les charme tant qu’ils l’invitent à souper au prieuré de la Montagne. D’autres personnages se joignent à eux : l’abbé de Saint-Yves et sa sœur, le bailli et sa femme. La discussion est animée : on interroge le Huron, dit L’Ingénu, sur son passé, sa langue et sa religion. Celui-ci n’est pas insensible au charme de Mlle de Saint-Yves. Chap. II : Le lendemain, L’Ingénu, au moment de prendre congé de ses hôtes, leur offre deux miniatures où l’abbé et sa sœur reconnaissent les portraits

L’abbé de Saint-Yves accompagné de sa sœur, Mademoiselle de Saint-Yves, se joignirent à eux. Il en fut de même pour le bailli et sa femme. Après avoir été assailli de questions, le huron avoua qu’on le nommait L’Ingénu car il disait naïvement tout ce qu’il pensait. Le bailli se risqua à demander la religion de l’invité. Ce dernier n’en avait pas, les hôtes décidèrent de le baptisé mais le huron n’était pas de cet avis. Mais il n’était pas insensible au charme de Mlle de Saint-Yves. Le lendemain,

Dès le premier chapitre de l'Ingénu, le Huron est reconnu comme le neveu du prieur de Kerkabon et mademoiselle de Kerkabon, la femme qui vit avec lui, tous deux le recueillent. Dans l'extrait concerné, tiré des troisième et quatrième chapitres de l'Ingénu, le prieur entreprend de léguer sa fortune au jeune homme mais avant cela, le prieur décide de le convertir à la chrétienté. Une fois cette décision arrêtée, le prieur se charge de l'éducation religieuse du jeune homme, en l'incitant à cette

- CHAPITRE I : Le prieur et mademoiselle de Kerkabon sa sœur durant une promenade sur le port, en se remémorant la mort de leurs frère au Combat, rencontrèrent un jeune homme. Après quelques échanges sympathiques, ils apprirent qu'il était «Huron». Mademoiselle de Kerkabon, réjouie d'un homme si agréable malgré sa nationalité, l'invita à dîner. Le jeune Huron passa ce repas entouré de convives, qui étaient tous très intrigués. Il se présenta alors comme un orphelin, ancien prisonnier anglais qui

Kerkabon et sa sœur pensent que l’Ingénu n’a pas d’éducation et qu’il est faible et niais : « Mlle de Kerkabon, étonnée et enchantée de voir un Huron qui lui avait fait des politesses ». Puis, le Prieur, au chapitre III, cherche à convertir rapidement son neveu et veut le faire rentrer dans les ordres : « M. Le Prieur […] se mit en tête qu’il pourrait lui résigner son bénéfice s’il réussissait à le baptiser et à le faire entrer dans les ordres ». De plus, ils pensent avoir une bonne éducation mais ne se

différents évènements incongrus qui ont lieu avant le baptême de l’ingénu. En effet en après avoir accepter de se baptiser, l’ingénu suivant la bible à la lettre demande la circoncision et refuse de se confesser. Il est finalement convaincu par l’abbé de St-Yves. Problématique : Comment à travers un récit romanesque, Voltaire dresse t’il une critique de la religion ? 1) un extrait de conte a) un cadre imaginaire - basse Bretagne : le fait que le personnage principal soit un huron, créer

Chapitre XVI I. L’argumentation A) Une succession d’arguments - « ne dites jamais mon amant ; il y a quelque chose de mondain qui pourrait offenser Dieu » : dans l’intérêt de Dieu, du Bien, de la religion = met Mlle de St Yves en confiance. - N’est « votre époux » qu’ « en idée » : pas un péché, pas un adultère = raisonnement basé sur une contradiction, arguments par syllogisme. - Bonnes intentions = essentiel : « l’intention est pure ». - Rien à se reprocher : « tout ce qui était en elle

L'Ingénu --> Huron, né de parents libre et naïf. Il parle 3 langues, Anglais, Français et Huron (il préfère la langue Huronne) Le bailli --> Officier qui rend la justice. Est présent lors du souper avec l'Ingénu, l'abbé, sa soeur, l'abbé de Saint Yves, la soeur de cet abbé (Mlle Basse-Brette), la femme du bailli, et le receveur des tailles (impôts) et sa femme. (9personnes au souper) M.Gordon --> un co-détenu M.Saint-Pouange --> va permettre la libération de l'Ingénu, sous-ministre. Chapitre