Yves Le Prieur

se fait adopté par la famille Kerbakon dont le père est enfaite son oncle. Il aime Melle de Saint-Yves mais sont amour est impossible car cette dernière est sa marraine aux yeux de l’église catholique… Le propre de l’ingénu est de dire tous ce qu’il pense et de faire tous ce qu’il pense… Melle DE SAINT-YVES : C’est la marraine et la maitresse de l’ingénu ainsi que la sœur de l’abbé de saint-Yves. Elle se sacrifiera en donnant son corps afin de sauver l’ingénu (son amant) de la Bastille. Apres

philosophe des lumières. L'auteur raconte l'histoire d'un Huron qui arrive en basse-bretagne et y retrouve sa famille. Son oncle et sa tante le convertissent alors au catholicisme et le baptisent, mais il tombe amoureux de sa marraine, Mlle de Saint-Yves, qu'il ne peut épouser. L’ingénu baptisé Hercule, va tout faire pour essayer d'épouser sa marraine. Ses péripéties commence alors a ce moment là. Cette œuvre est à la fois, un conte philosophique (Un conte philosophique est une histoire fictive

& du nouveau testament. Voltaire,l'Ingénu : Chapitre III (P.25 → 28) Le chapitre trois : conversion du Huron à la religion chrétienne. Cet Indien à débarqué avec les Anglais sur les côtes Bretonnes et,est accueilli par Mlle de Saint-Yves et le Prieur dont il se révèle être le neveu. L'Ingénu,appelé ainsi parce qu'il dit tout ce qu'il pense,doit être baptisé pour échapper à sa condition de sauvage & pour succéder à son oncle. La lecture de la Bible est ici faite au premier degrès et Voltaire

l’institution religieuse en France dans le troisième chapitre. Voltaire critique notamment l’Église en s’attaquant à la bible, livre sacré de la religion catholique, lorsque l’Ingénu interprète mal la lecture de cet ouvrage. Voltaire écrit : « Le prieur résolut enfin de lui faire lire le Nouveau Testament. L’Ingénu le dévora avec beaucoup de plaisir […] et il jura qu’il couperait le nez et les oreilles à Caïphe et Pilate, si jamais il rencontrait ces marauds-là. » (p. 17). Dans cette citation, Voltaire

donne du sens au monde. Voltaire n’est pas athée, il se méfie des religions instituées qui divisent les Hommes. * Texte 3 : Le Huron, nommé l’Ingénu, converti. Mise en situation : Chapitre III, après la découverte du lien de parenté avec le prieur, une transmission du bénéfice (charge ecclésiastique) est possible. L’Ingénu doit se convertir au catholicisme. Le regard naïf permet de faire apparaitre les paradoxes de cette religion instituée. Etude de l’extrait : Qualités de l’Ingénu : équivalence

pense et fait tout ce qu’il souhaite. Les Kerkabon l’invitent à diner et ne tardent pas à s’apercevoir qu’il s’agit de leur neveu. Ils le convertissent donc et le baptisent, mais ce jeune homme devient amoureux de sa marraine, la belle demoiselle de St Yves et n’a qu’une idée en tête : l‘épouser. Plus tard par hasard il réussit à repousser les anglais qui tentent d’envahir la Bretagne et part donc à Versailles afin de recevoir une récompense pour sa bravoure. En chemin, il rencontre un groupe de huguenots

« brûlant d’assouvir sa passion »=> choc entre Eros et Thanatos (Dieu Amour/Mort). Ce libertin semble retrouver sa « bonté originelle » (moquerie envers Rousseau), il n’était pas méchant au début de sa vie, tout ce passe comme si le couple Saint Yves- Ingénu convertissait ce personnage. * Le chagrin : Champ lexical des larmes / hyperbole l121 + gradation / Un chagrin manifesté par le corps, beaucoup d’hyperbole l131 « remplisse son âme » ; « horrible catastrophe » / L’ingénu est tellement bouleversé

la main de dieu, je ne sais, j'eus le plaisir de faire connaissance avec ma famille, mon oncle et ma tante, ici en France. La vie depuis ce glorieux jour se joue de moi, après mettre fait baptiser j'ai découvert mon amour pour mademoiselle de Saint-Yves qui s 'avérat impossible car elle était mon amante mais aussi, à mon plus grand malheur, ma marraine, j'ai ouïe dire que seul le pape, berger des chrétiens, pouvait permettre une telle union mais j'ai parcouru tant de cette planète pour trouver l'amour

il m’a fait faire quelques progrès dans la connaissance de votre langue ; et dès que j’ai pu m’exprimer intelligiblement, je suis venu voir votre pays, parce que j’aime assez les Français quand ils ne font pas trop de questions." L’abbé de Saint-Yves, malgré ce petit avertissement, lui demanda laquelle des trois langues lui plaisait davantage, la huronne, l’anglaise, ou la française. - La huronne, sans contredit, répondit l’Ingénu. - Est-il possible ? s’écria mademoiselle de Kerkabon ; j’avais

ont des impressions de fortune qu'ils n'ont en réalité pas. Dans L'Ingénu, les jeunes demoiselles sont souvent ridiculisées : elles rougissent au moindre compliment « Mademoiselle de Saint-Yves rougit[...] Mademoiselle de Kerkabon rougit aussi » (chapitre I), et sont hypocrites : « Mademoiselle de Saint-Yves, qui n'avait jamais vu le père ni la mère, assura que l'Ingénu leur ressembla parfaitement. » (chapitre II). Elles flattent de façon stupide, et ne semblent pas réfléchir à leurs propos, dépourvus