Yves Le Prieur

Irlande Prieuré de notre dame de la montagne 15 juillet 1689 le soir Prieur de Carcabon homme savant sage Mlle de Carcabon sa soeur jamais marié 45ans bonne et sensible frere et sa femme partis au Canada 1669 "mangés par iroquois" les anglais arrivent pas d'attention pour Mlle sauf 1 seul : Huron (indien d'Amerique) air martial et doux français intelligible il propose eau des barbade et en boit avc eux et charme les frere et la soeur sans but precis sauf curiosité il soupe au prieuré Mlle est

représenter l’idéal philosophique au cœur de la société. Mlle de Saint-Yves : jeune première assez traditionnelle, elle devient une héroìne romanesque, puis tragique. Gordon : janséniste, puis philosophe, il incarne la figure du sage capable d’apprendre et d’écouter, humain et tolérant. Les Kerkabon : ce sont des êtres médiocres, sans méchanceté, victimes des préjugés, qui restent le jouet des événements. Le bailli et l’abbé de Saint-Yves : ils sont les obstacles nécessaires à la structure du conte et les

monsieur l’évêque fut parti, l’Ingénu et mademoiselle de Saint-Yves se rencontrèrent sans avoir fait réflexion qu’ils se cherchaient. Ils se parlèrent sans avoir imaginé ce qu’ils se diraient. L’Ingénu lui dit d’abord qu’il l’aimait de tout son cœur, et que la belle Abacaba, dont il avait été fou dans son pays, n’approchait pas d’elle. Mademoiselle lui répondit, avec sa modestie ordinaire, qu’il fallait en parler au plus vite à monsieur le prieur son oncle et à mademoiselle sa tante, et que de son côté

scène un jeune huron débarquant en France et qui se retrouve confronté au régime autoritaire de la religion et de la monarchie à la fin du XVIIème siècle. Cette extrait se situe au début du conte, l'Ingénu a été recueilli par les Kerkabon, un honnête prieur et sa sœur vivant en Basse-Bretagne, dont il s'est avéré être leur neveu. Il doit donc se convertir au catholicisme et cet extrait retrace sa conversion avec humour et critique. Il est donc intéressant de se demander comment, derrière ce récit comique

justement contrés par l’Ingénu. Les paroles des gens d’Église ne sont pas montrées, car Voltaire veut nous faire découvrir la vacuité (= le vide) et l’inefficacité de leurs arguments. Puisque c’est un échec, Mlle de Kerkabon fait appel à Mlle de St Yves.   B. La persuasion, l’amour contre la raison. ← Tout d’abord, la stratégie persuasive est utilisée, elle fait appel aux sentiments amoureux; le débat

extrait provient de l’incipit et met en présence la petite société de Saint-Malo et un jeune Huron, tout juste débarqué du Canada via l’Angleterre. Il a été convié à dîner par le Prieur de Notre-Dame-de-la-Montagne et l’Abbé de Kerkabon et sa sœur. Le Huron subit les questions de toute la tablée où figurent mademoiselle de Saint-Yves et son frère, ainsi que le bailli de la province. Le présent extrait se situe à la fin du dîner au moment où, sur l’initiative du bailli, la question de la religion du Huron

sur la portée de la proposition - Le rôle de la Sainte Yves : -> "rougit de plaisir" entre honte et désir, plus statut de haute valeur avec l'adverbe d'intensité "si" ---> tout dépend d'elle. -> ironie avec voltaire avec "modestement" puisqu'elle sait exactement ce qu'elle fait -> " tout ce que vous" ---> perte de moyen de l'Ingénu ---> la Sainte Yves prend le dussus

croyez-vous qu’il reprenne si tôt ses habits ? » * « Il revenait toujours à l’eunuque (…), il ne lui appartenait pas de citer un pareil homme. » * Le prieur * L’Abbé 2. Des effets de suspens * P. « Mademoiselle de Saint Yves rayonnait (…) les fatales conséquences. » 3. Les prémices amoureuses entre Mademoiselle de Saint Yves et l’Ingénu * P. « il n’y a rien que je vous refuse » * P. « Elle sentit son triomphe, mais elle n’en sentait pas encore toute l’étendue »

ainsi du fait de sa naïveté vis-à-vis du monde occidental). Les Kerkabon l'invitent à dîner, et s'aperçoivent qu'il s'agit de leur neveu. Ils le convertissent alors au catholicisme et le baptisent, mais il tombe amoureux de sa marraine, Mlle de Saint-Yves, qu'il ne peut épouser. Repoussant par hasard une invasion d'Anglais, il décide de partir pour Versailles afin de demander au roi une récompense pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime. En chemin, il rencontre des

à travers les comiques de situation répétés plusieurs fois, introduit ses idées afin de faire réfléchir ses lecteurs. Dans le troisième chapitre, Voltaire fait énormément référence au Clergé, que ce soit à travers les Abbés, le Jésuite, le Prieur ou l'évêque. Ceux-ci sont tous présents pour aider à la conversion de l'Huron. Ils font partis des principaux représentants de l'Eglise et c'est ainsi que l'Auteur appuie la représentation de la religion. Grâce à son innocence et à son manque de