Yves Le Prieur

trouve ridicule (le bailli par exemple décide seul du mariage de son fils : « il prétendait que son fil épousa la Saint-Yves »). L'auteur souligne le fait que ces procédés sont contraires à la loi de nature et se révèlent de nature à brimer les êtres. Le couvent représente une solution de facilité, en cas d'entrave aux principes. C'est précisément ce qui arrive à Mademoiselle de Saint-Yves... L'auteur se moque aussi des médecins, en insinuant que la plupart de ceux-ci étaient des charlatans : « On appela

«  l'Ingénu  » refusa de repartir avec les Anglais. M., Mlle de Kerkabon et leurs convives conclurent qu'il fallait le baptiser. Et ils se renseignèrent sur ses lectures pour évaluer ce qu'il restait à faire pour l'éduquer à leur religion.III - CHAPITRE IIILe prieur de Kerkabon proposa à «  l'Ingénu  » de lire le Nouveau Testament . Celui-ci se prit au jeu et le lut rapidement. Il décida, à la fin de l'ouvrage, de devenir chrétien. Il demanda, dans un premier temps à se faire circoncire, mais on lui expliqua

pour M. le prieur, « il se joins à eux ; on avait quelques canons ; il les charge , il les pointe, il les tire l’un après l’autre. Mais aussi sur les imprévus de fin de chapitre, l’Ingénu, dans le combat, avait ramassé une grosse bourse mais ne se doutait pas qu’avec celle-ci, il pouvait acheter toute la basse Bretagne mais surtout, il aurait fait de Melle de ST Yves une grande dame. Grace à cet argent, l’Ingénu allait donc rencontrer le roi et lui demanderait, à ce moment, Melle de St Yves en mariage

Avec les questions réthoriques on voit qu’il n’envisage pas une diversité religieuse àOn voit la bétise par rapport à la naiveté sur la rapidité de la convertion et l’efficacité des jésuites àLa seul personne a changer d’avis est Mlle de saint-yves mais qui le fait par revirement amoureux  III. Un débat autour de la tolérance 1) Thèse sur le relativisme ou la supérorité d’une religion sur une autres • 2 thèses dans ce dialogue : -1 représente par l’ingenuàrelativisme « je suis de

se répandit bientôt qu'il y avait un Huron au prieuré. La bonne compagnie du canton s'empressa d'y venir souper. L'abbé de Saint−Yves y vint avec mademoiselle sa soeur, jeune basse−brette, fort jolie et très bien élevée. Le bailli, le receveur des tailles, et leurs femmes furent du souper. On plaça l'étranger entre mademoiselle de Kerkabon et mademoiselle de Saint−Yves. Tout le monde le regardait avec admiration; tout le monde lui parlait et l'interrogeait à−la−fois ; le Huron ne s'en émouvait pas

battit ; ils voulurent le lui rendre, et la scène allait être sanglante s’il n’eût passé un garde du corps, gentilhomme breton, qui écarta la canaille. "Monsieur, lui dit le voyageur, vous me paraissez un brave homme ; je suis le neveu de monsieur le prieur de Notre-Dame de la Montagne ; j’ai tué des Anglais, je viens parler au roi ; je vous prie de me mener dans sa chambre." Le garde, ravi de trouver un brave de sa province, qui ne paraissait pas au fait des usages de la cour, lui apprit qu’on ne parlait

Édition de Quitterie Lencou Quand un Huron, ayant toujours vécu au Canada, débarque dans un village breton, il suscite beaucoup de curiosité ! Recueilli par les Kerkabon, il est aussitôt baptisé et tombe amoureux de sa marraine, Mlle de Saint‑Yves. Bien décidé à demander au roi la main de la jeune femme, il part pour Versailles… ISBN 978-2-7011-6153-2 160 pages En racontant les aventures de l’Ingénu dans la société française du xviie siècle, Voltaire compose un savoureux conte philosophique

répétition pendant un temps qui à obligatoire. Document 2 : St Yves de Chartres ; prologue 1) Ce document est un extrait du prologue de la Panormie, c’est la 1ère partie d’une œuvre littéraire sur le droit canonique 2) Saint Yves de Chartres est né en 1040 et mort en 1116, fut un prieur de St Quentin de Beauvais puis évêque. Il fut spécialiste du droit canonique (règles de l’Eglise) 3) Dans ce monologue, Yves de Chartes expose le texte sur lesquels-il a pu réunir en un ouvrage,

Lecture analytique n°2  Chapitre neuvième. Arrivée de l’Ingénu à Versailles. Sa réception à la cour ..."Monsieur, lui dit le voyageur, vous me paraissez un brave homme ; je suis le neveu de monsieur le prieur de Notre-Dame de la Montagne ; j’ai tué des Anglais, je viens parler au roi ; je vous prie de me mener dans sa chambre." Le garde, ravi de trouver un brave de sa province, qui ne paraissait pas au fait des usages de la cour, lui apprit qu’on ne parlait pas ainsi au roi, et qu’il fallait être

n’effectue qu’un déplacement depuis la Bretagne jusqu’à Versailles. Le héro se retrouve, à la moitié du récit, dépourvu de toute initiative. Ce n’est qu’à la fin, qu’il retrouve sa liberté de mouvement grâce à l’intervention de mademoiselle de Saint-Yves. Problématique : Histoire singulière de « l’ingénu », rencontre de deux cultures, car breton par ses parents et huron puisqu’élevé dans une tribu de Huronie (tribu d’indiens pacifiques du Canada). Ses aventures évoquent son intégration à la société