Zadig Discours Direct

violence qui représente clairement la perversité, la cruauté et le manque de valeurs des habitants de Rancy. Nous pouvons le voir par les faits en eux-mêmes mais égalements par la présence d’un discours direct qui amène une émotion presque théatrale (puisqu’il aurait pu se contenter de le raconter en discours rapporté) afin de montrer la vrai dégradation des personnages dû à leur environnement misérable, ainsi que par le langage utilisé qui est totalement transgressif. (donner exemples) Deux champs

exposition. Situation initiale * V15-34 : Discours du lion (récit)- direct (19 vers) « tint conseil » = seul passé simple * V35-48 : Discours du renard et du courtisant : 9 vers + 6 vers * V49-54 : Discours de l’âne : 6vers * V55-62 : Condamnation de l’âne b- Mise en voix (dialogue, q° oratoire, procédés d’humanisations) * Langage socialisé : politesses échangées / CL : religion, justice (hommes) * Récit au discours direct * Société hiérarchisé Les places des pers

qu’il va simplement chasser. * « Mon projet » (l.12) article de possession, ce plan vient directement de lui. * « Je risquais de me rendre malade » (.17) , « il devait faire une chaleur excessive »(.16), « me fatiguerai en vain » (l.18), discours indirect libre, laissant croire que ce furent les paroles de Mme de Tourvel, avec « ces yeux qui parlaient mieux qu’elle ne pouvait » montrant qu’il y a eu une prise de parole. Mme de Tourvel dit cela car elle a peur de découvrir (grâce à son espion)

d'abord le personnage à travers un groupe nominal assez vague, « une femme » pour la désigner ensuite avec le pronom personnel de la troisième personne du singulier « elle ». Ce n'est qu'à la moitié du passage que son nom est cité par le biais du discours direct d'une personne de la foule non déterminée : « Ohé, madame Baptiste ! ».Cependant, si le passage étudié correspond bien à un récit,le narrateur semble présenter la scène comme une scène de théâtre. D'abord la présence du théâtre apparaît à travers

convocation. Coquelles → on y décide le sort des réfugiés, soit expulsés soit droit de rester. « Il hésitait à y aller » phrase courte : euphémisme qui évoque implicitement la peur de Bechir. Formule « on disait que » évoque une rumeur, on peut parler de discours indirect libre, narratrice rapporte ce que Bechir lui explique, pronom collectif « vous » montre que ce sont sûrement ses propres propos. Imparfait d’habitude suggère un sort systématique. « des flics » et non des « policiers » car représentent le

LE DISCOURS INDIRECT LIBRE Le discours indirect libre modifie les paroles pour les intégrer au récit mais conserver leur expressivité. Il sert à reproduire soit les paroles qu’un personnage s’adresse à lui-même, comme dans un monologue intérieur, soit les propos qu’il prononce réellement. • Comme dans le discours direct, les paroles sont rapportées sans propositions subordonnées, en conservant le ton, la ponctuation, les marques du langage oral ainsi que le niveau de langue. • Comme

imaginer qu'il lui reste fidèle. 8ème phrase : CONCLUSION de la partie rationnelle, elle ne peut pas être satisfaite Elle prend conscience de la vulnérabilité, TOTALEMENT négative Interrogations : Discours direct : dilemme tragique 9ème phrase : « Je suis vaincue […] malgré moi » elle est pathétique/tragique et innocente/coupable 10ème phrase : Chiasme qui met en valeur que tous est confus, paradoxal Pas d'issue ? sentiment de pitié 11ème phrase :

|d’écriture) |une chose obscure) | |Page 153, lignes 222 à 230 : |Emplois du discours direct |Le discours direct correspond aux paroles | |« Jean demeurait immobile, ne comprenant pas, | |effectivement prononcées lors d'un dialogue. À | |effaré devant l’insinuation

d’être attendue » « comme s’ils eussent été épiés ») et celui de la justice (« Avocat », « Palais de justice », « Non-lieu ») nous apprenne que l’histoire qui va être racontée sera autour d’un crime, d’une instruction judiciaire. D’ailleurs, le discours direct y occupe une place très importante puisqu’il nous informe sur le passé de la jeune femme, impliquée dans un crime (« déposition ») Cependant, ces indications sont trop peu nombreuses, ce qui donne à cet incipit un côté original. En

Fiche de Lecture La ponctuation La ponctuation permet de cadencer notre discours, de lui donner tout son sens et de mettre en valeur certains mots et certaines phrases. Lorsqu’on parle, toute la valeur orale de nos intonations, nos oscillations de rythme et de timbre disparaissent à l’écrit. La ponctuation restaure donc ces différentes émotions que l’on traduirait normalement par notre voix lors de nos discours. Il existe 11 principaux signes de ponctuation : la virgule, le point, le point-virgule