édit De Caracalla Révolutionnaire

notables s’intégrèrent au jeu politique romain en accédant à la citoyenneté. 3 statuts de cités : les cités pérégrines, les cités de droit latin (même droits civils, mais pas politiques), et les cités de droit romain. Il faut attendre 212 et l’édit de Caracalla pour que tous les habitants de l’Empire, et donc de la Gaule, deviennent des citoyens romains. Les cités étaient dirigées par des magistrats et avaient des institutions calquées sur le modèle romain. Peu à peu les villes se couvrirent de monuments

les troubles à l’ordre publique. L’intelligence de Rome et de faire cohérence entre les provinces avec une fusion faite en douceur entre la civilisation gauloise et romaine. On parle de fusion des élites qui atteints son apogée en 212. (Edition de Caracalla = elle élargit la citoyenneté romaine soit tous les hommes libres sur le territoire romains peuvent accéder à la citoyenneté). On parle alors dans cette période de « Gallo-romains ». On parle de paix romaines. Désormais après JC le latin se substitue

du prêteur, une source de droit féconde. A la fin du 2e siècle avant J.-C., une loi va accorder au prêteur le droit de créer librement des actions nouvelles, et en conséquence, les prêteurs prennent l’habitude d’annoncer dans ce qu’on appelle un édit (déclaration publique officielle), dès le moment où il entre en fonction, les nouvelles actions qu’il compte introduire durant la durée de ses fonctions, et l’édit du prêteur est donc publié chaque année. C’est une sorte de programme judiciaire qui

mesures générales ou particulières au nom de la cité. L’édit d’entrée en charge du préteur constitue une forme particulière. Il constitue une sorte de programme officiel de ce que sera l’activité du préteur pendant la durée de ses fonctions. Dans son édit d’entrée en charge, le préteur dit les situations où il va donner une action en justice qui n’existait pas par le passé. De cette façon s’explique que le préteur a une activité créatrice de droit. Grâce à l’intervention du préteur, le droit romain

C'est à ce titre qu'on les autorisent à dire le droit mais seulement en ce qui concerne les activités de commerce sur les marchés de Rome. Ces magistrats sont nommés pour un an. Chaque fois qu'un préteur ou un édile entrent en fonction, ils fixent un édit : l'édit du préteur et des édiles. Ces édits sont en réalité des déclarations publiques qui contiennent des promesses d'actions. On trouve dans ces édits toutes les actions dont les préteurs et les édiles accordent. Ces actions promises se présentent

mesures générales ou particulières au nom de la cité. L’édit d’entrée en charge du préteur constitue une forme particulière. Il constitue une sorte de programme officiel de ce que sera l’activité du préteur pendant la durée de ses fonctions. Dans son édit d’entrée en charge, le préteur dit les situations où il va donner une action en justice qui n’existait pas par le passé. De cette façon s’explique que le préteur a une activité créatrice de droit. Grâce à l’intervention du préteur, le droit romain

référence. Ce droit embrase toutes les activités de la société. Les familles sont régies par le droit avec beaucoup de précision. Ce droit très précis va bénéficier aux populations conquises. Ce droit est tellement moderne qu’en 212 après J.C que Caracalla empereur du début du 3eme siècle prend la mesure de créer une loi comme quoi tous les hommes libres de l’empire deviennent citoyens romains. Les Gallo-romains deviennent tous en 212 des Romains. Cela vient confirmer une évolution, un progrès considérable

conjoncturels et qui jouent sur le temps long c'est-à-dire sur l’évolution des structures. On arrête en 1789 le cours car en 1789, c’est une période où l’Etat est arrivé à sa maturité puisque ceux du 18ème ont le même concept que nous. Les révolutionnaires font table rase sur les institutions en détail mais ne reviennent pas sur la légitimité de l’Etat et l’organisation de la société. En 1789, ils veulent changer la forme de gouvernement. La définition d’anarchie qui est l’antithèse de l’Etat

richesse, la | |grande valeur de placement. Elle était, par essence, instrument de production. Mais en prescrivant le partage | |égal entre les enfants (art. 1er du décret des 8 et 15 avril 1791), comme l'écrit Balzac la législation | |révolutionnaire fit un peu figure de « machine à hacher le sol ». Peu à peu, l'on assiste ainsi à une | |dévalorisation des biens immobiliers. Le nombre des cotes foncières passa de 9.000.000, en 1815, à plus de | |13.000.000 en 1881 : soit une

en leur donnant une administration calquée | |sur celle des municipes italiens, Claude fait progresser la romanisation: les élites urbaines reçoivent le plein droit de cité en| |47, ce qui leur ouvre l'accès au Sénat. Lorsqu'en 212 l'édit de Caracalla accorde la citoyenneté romaine à tous les hommes libres| |de l'Empire, les élites urbaines des Gaules en profitaient déjà largement. | |