édit De Caracalla Révolutionnaire

Les capitulaires carolingiens Les mérovingiens avaient peu légiféré. Les carolingiens utilisent la loi comme un mode de fonctionnement de l’Empire franc. Ils adoptent des lois nationales (loi Salique, Bréviaire d’Alaric). Un capitulaire, c’est un édit ou une loi prise par un roi carolingien. Ils ont réglé l’administration, la justice, les comptes, les problèmes ecclésiastiques. Les carolingiens s’appuient autant sur la hiérarchie civile que sur la hiérarchie militaire ou religieuse. Beaucoup d’ecclésiastiques

intellectuelle : ils décident de renverser le gouvernement par la révolution française. 1789 – 1799 : 10 années de révolution, la période la plus riche pour les historiens. Car pendant cette période sont mises en place les institutions publiques. Les révolutionnaires vont avoir à cœur de changer la justice dans la période de monarchie et transforment les institutions judiciaires. Ils vont transformer le pouvoir législatif à une assemblée nationale. Ils vont priver le roi de sa souveraineté absolue dans la

empereurs romains viennent de familles provinciales. Ce phénomène romain c’est en définitive une syndiose progressive de différentes ethnies dans un même Empire et une même culture, il trouve son apothéose juridique dans une décision impériale « Caracalla » datant de 212 après JC. Ce texte donne à tous les habitants libres du monde romain la qualité de citoyen romain. CHAPITRE I : LES INSTITUTIONS ROMAINES EN GAULE Section I : Le pouvoir politique : une monarchie absolue et divinisé 

1. Les origines d’Athènes Athènes est une ville qui n’a pas été fondée, Athènes a toujours été là, les athéniens se disaient autochtones, nés de la terre. Cette différence entre le mythe athénien et le mythe romain (ville composite + cf. Edit de Caracalla en 212) va expliquer que Rome sera moins effarouchée quand elle devra accueillir de nouveau citoyens. A l’époque mycénienne, Athènes joue un rôle secondaire, à tel point qu’Athènes n’apparaissait pas dans la version première de l’Iliade. Au

Séparation absolue Eglise (= soumission de l’Eglise à l’Etat) / Etat = participation de l’Etat à son insu à l’œuvre de Dieu. *313 – Edit de Milan ; le culte chrétien est reconnut par l’empereur. Restitution des biens confisqués aux chrétiens. Apogée de cette politique sous le règne de Théodose (379-395) Religion chrétienne è Religion officielle de l’Empire. *380 – Edit de Thessalonique è le christianisme devient la relation d’Etat, les autres sont condamnés et les hérétiques sont poursuivis.

Tout Rome est là-dedans ! Nous savons que Paul, en difficulté avec les autorités de son peuple, en appela à l’empereur. Comme il était citoyen romain (ce dont il était fier), il fut acheminé, à grands frais, vers la capitale. En 212, l’édit de Caracalla accorda la citoyenneté romaine à tous les hommes libres. Les Romains ont aussi inventé l’idée de la primauté du pouvoir civil sur le pouvoir militaire. Cédant arma togae, proclamaient-ils : les armes le cèdent à la toge (la toge étant l’habit civil)

au bas empire La distinction entre les différents types de propriété tend à s'effacer au bas empire pour trois raisons : • la généralisation de la citoyenneté. Ce processus trouve son terme en 212 après JC. Une loi de l'empereur, l'édit de Caracalla ou C° d'Antonin accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l'empire. La généralisation de la citoyenneté entraîne la généralisation de la propriété quiritaire. Généraliser la citoyenneté romaine permet la généralisation fiscale, des impôts

Van Eyck avec Wolgemut. Il entreprend un voyage de quatre ans qui l'entraîne jusqu'au Pays-Bas entre 1490 et 1493, puis part à Venise entre 1494 et 1495. Le peintre est toujours à la recherche du nouveau ce qui lui vaut très vite le titre de révolutionnaire. Autoportraits : A plusieurs reprises Dürer se met en scène dans des autoportraits autonomes ou comme témoins privilégiés d'autres scènes. Ses deux autoportraits de 1498 et 1500 représentent deux aspects de sa personnalité. Le premier, reprenant

grecs il a conquit des rapports inégalitaires avec les peuples conquis concept protectorat.   Pour l'empire romain (fondé 27 avant J.-C par Octave/Auguste) avec un système d'universalisme avec la conquête. En 212 après J.-C, l'Edit, décret de Caracalla, dit que tous les peuples conquis portent désormais la nationalité romaine; l'unité de l'empire romain va favoriser le développement du christianisme car les apôtres partaient et circulaient partout étant sur des terres romaines. Donc nous sommes

majorum : la « façon d’être » des ancêtres. La coutume a aussi joué un très grand rôle dans les provinces, où les Romains ont laissé subsister les droits propres des peuples vaincus qui étaient bien souvent coutumiers. En 212 apr. J.-C., l’édit de Caracalla admettant tous les hommes libres de l’Empire à la citoyenneté romaine les autorisera à utiliser le droit civil, mais tout en leur laissant leurs usages locaux qui subsisteront ainsi jusqu’à la fin de l’Empire et au-delà. III. L’apogée du droit romain