élasticité Prix Faible Compétitivité Prix

Deux grands courants économiques : classique et keynésien classique : fait confiance au mécanisme des prix pour maintenir tous les marchés en équilibre, même à la suite de chocs susceptibles d’entrainer chômage ; récession, inflation, déséquilibre des échanges extérieurs  l’intervention de l’état n’est pas souhaité  courant libéral (+ pour le long terme) keynésien : estime que le mécanisme des prix est insuffisant pour absorber les chocs auxquels sont confrontés les différents marchés. L’économie

MERCOSUR 30 % Le premier scénario intitulé « Chronique d’un déclin annoncé » repose sur la projection des tendances lourdes de la population active, de la productivité du travail, et de la production, qui, à partir d’hypothèses sur les élasticités des exportations et des importations par rapport au PIB permettent d’estimer le commerce mondial des différentes régions du monde. Dans ce scénario, en 2050, le centre de gravité de l’économie mondiale s’est déplacé vers l’aire Asie-Pacifique

commun des produits, services, du travail et du capital ; des politiques communes ou coordonnées ; et une monnaie unique, l’euro. »[1]. Un objectif est fixé aux autorités monétaires européennes, primant sur tous les autres : celui de la stabilité des prix. Les instruments utilisés pour la régulation monétaire sont, de façon classique les réserves obligatoires et, pour l’intervention sur le marché monétaire, les taux d’intérêt. Depuis 2005, la Zone euro, encadrée également par la stratégie de

Ils en résulte de ce fait que la mise en œuvre d’une série de régularisation et de réformes, ainsi l’établissement d’une stratégie pertinente deviennent une nécessité pour le Maroc pour pouvoir développer ses secteurs productifs et améliorer la compétitivité de ses entreprises qui doivent se préparer sans plus tarder à faire face aux défis qui les attendent du fait de la libéralisation des échanges; ce niveau là, l’Etat et le secteur privé doivent se mettre à niveau et se restructurer, déjà de formidables

est identique, on produit dans des régions spécifiques. Ceci entrainant selon Coase des coûts de transaction, alors que paradoxalement les économistes ont toujours pensé que plus la mondialisation est grande plus les coûts de transaction seront faibles. Aujourd’hui en Europe, la question de la prochaine décennie est de penser à une relocalisation des industries ? Quand la mondialisation a débuté ? Le phénomène n’est pas nouveau, on en serait selon des économistes à la cinquième vague depuis

* L’introduction du progrès technique permet de dégager de gains de productivité qui provoque une baisse de la quantité de travail pour fabriquer un objet et donc une baisse des coûts unitaire de production. L’entreprise peut alors diminuer ses prix tout en conservant sa marge bénéficiaire. La hausse du pouvoir d’achat qui en résultera se traduira par un augmentation de la demande, de la production et par une création nette d’emplois. * La mise en œuvre du progrès technique dans un secteur

un niveau différent. Echanges en Afrique et l’Europe peuvent illustrer des situations d’échange inégal : les pays africains restant largement spécialisés dans les produits peu dynamiques en demande mondiale Produire bas de gamme à faible prix car la faible demande ne lui permet pas de valoriser le produit Pour les pays en voie de développement : il peut arriver qu’aucun de ces pays ne soit compétitif dans le secteur mondial, donc la théorie des avantages absolus ne fonctionne pas. D’où l’apparition

dans la mouvance des P.A.S avait adopté dés février 1986 la NPI autour de certains principes majeurs notamment : *la réduction du niveau élevé des protections tarifaires *la suppression des protections non tarifaires *le renforcement de la compétitivité de l’industrie sénégalaise *la promotion des produits à haute valeur ajoutée *l’accélération de la relance industrielle *l’encouragement de l’investissement privé *l’assouplissement de la législation du travail *la diversification des exportations

1-La fixation des prix 2-Les objectifs de la fixation des prix 3-Facteurs et contraintes lors d’une fixation de prix 4-Les méthodes de détermination des prix 5-Les stratégies de prix 1-La fixation des prix Le prix est une variable mercatique déterminante. C’est l’expression monétaire de la valeur d’un produit (ou service) C’est la source de revenu de l’entreprise, c’est donc un élément prépondérant de la rentabilité. Le prix influence la demande et le volume des ventes, il traduit un niveau

canons du Marketing : - le marketing est un ensemble de concepts et de techniques associés : - Etudes de Marché - Etudes Psychologiques du Consommateur - STP (Segmenting – Targeting – Positioning) - Tests (Concept, Produit, Packaging, Prix, Pré-Publicité, Post-Publicité) - 4 P (Product – Price – Promotion – Place) - Panels... - à partir des années 70-80 : Début de saturation des marchés occidentaux : - le besoin devient moins fonctionnel (plus d’image), - le produit