élasticité Prix Faible Compétitivité Prix

3  2  1.5  6.2  10.8  %  %  %  %  %  %  %  %  %            Mémoire de CDE      10  5. Analyse et mesure du risque Elasticité du résultat net par rapport aux ventes 2005 A Elasticité théorique B Elasticité réelle C Ecart : A – B 2006 2007 Elasticité du résultat d’exploitation par rapport aux ventes 2005 A Elasticité théorique B Elasticité réelle C Ecart : A – B 2006 2007         6. Graphiques   Mémoire de CDE      11      a. Evolutions1 2500000  2000000 

un bien X sont des fonctions dʼun grand nombre de variables: patrimoine, revenu, prix de X, prix des autres bien, publicité, niveau dʼéducation, âge, sexe, religion... Dans la théorie microéconomique néoclassiques, pour un produit donné. Le consommateur compare lʼutilité (supposée mesurable) de la consommation dʼune unité supplémentaire dʼun bien au prix de cette unité. Le consommateur tient compte également des prix des autres biens. Le consommateur tient compte enfin de son revenu. Section 1: Analyse

(1776) dans son livre La richesse des Nations soulignait déjà l’importance des transports par eau (au moment où l’auteur écrivait son livre, le chemin de fer n’avait pas fait encore son apparition et le transport terrestre se caractérisait par une faible capacité et des coûts de transport élevés) pour l’industrialisation des villes côtières, grâce à l’extension de aires de marché que ces moyens de transport offraient. En outre, alors que leurs économies stagnaient jusqu’à la fin du 18ème siècle, l’apparition

pays développés. Au début des années 1990, il devient excédentaire jusqu’en 2003, du fait d’une croissance modérée, d’une compétitivité-prix favorable et d’une stratégie industrielle efficace (Airbus, TGV). Depuis la France renoue avec les déficits du fait d’une production à moyenne valeur ajoutée subissant la concurrence de l’Inde et de la Chine, de produits à faible élasticité-revenu (pdts agro alimentaires, biens de consommation finale) ; de zones géographiques en situation de croissance molle (UE)

2 – Version avec volumes à prix chaînés Pierre-Yves CABANNES, Hélène ERKEL-ROUSSE, Guy LALANNE, Olivier MONSO et Erwan POULIQUEN Document de travail Institut National de la Statistique et des Études Économiques INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES Série des documents de travail de la Direction des Études et Synthèses Économiques G 2010 / 17 Le modèle MÉSANGE réestimé en base 2000 Tome 2 – Version avec volumes à prix chaînés Pierre-Yves CABANNES

facteurs :  loi d’Engel  déformation des prix relatifs ( prix des pdts non-transformés par rapports aux manuf.)  faible cr. donc faible D pour pdts bruts pour l’industrie  FMN délocalisent la P° de b. manufacturés puis réexportations 2) Les échanges de services Plusieurs types de services : Valeur d’exp° de services *2.7 entre 2000 et 2010 mais = que à 20% des echges internationaux (4000mds de $ en 2008) Part des services dans exp° Mdiales faibles car services difficilement exportables, échanges

retenus. Ensuite elle doit dire aux entreprises ce qu’elle attend d’elles grâce au cahier des charges. Les entreprises vont aussi déterminer le prix du service que ça coutera, construire leur réponse. Elles peuvent faire une estimation de l’évolution du prix dans le temps. Ces offres parviennent sous plis cachetés à la commission d’ouverture des prix. La commission va analyser toutes les offres. Cette commission a juste un avis consultatif et c’est au final le maire pour une commune qui va décider

INTRODUCTION DE L’ECONOMIE DU TRAVAIL L’économie du travail cherche à décrire, analyser, expliquer le processus par lequel le travail est impliquer dans : 1) l’application 2) dans le cadre institutionnel construit pour aménager le travail 3) dans le prix du travail ( le salaire ). Il faudrait étudier le travail comme source de revenu pour le ménage, il faut l’étudier comme facteur de production, il faut l’étudier dans le marché du travail, il faut étudier son mouvement à travers l’esprit syndical

même poste budgétaire. * Secteur de l’auto, des télécom, des transports * Comment s’opèrent l’offre et la demande ? * Offre : MP, Techno, maind’œuvre, durée de vie du produit, nombre de productuers * Demande : élasticité prix, produits de substitutions, taux de croissance, cycle et saisonnalité, processus d’achat (réfléchi ou impulsif), nombre d’acheteurs Notion de cycle de vie pour mieux appréhender l’évolution de la dynamique interne spécifique à chacune de ces

d'utilisation de leurs équipements pour éviter les couts et investissements inutiles. → Le profit influence l'I car on a un autofinancement plus accessible et le prêt est plus facilement accepté (garantie de remboursement) CPK les petites entreprises à faible profit ont du mal à s'autofinancer et ne peuvent emprunter, le profit est donc une contrainte au financement. profitabilité = taux de rentabilité financière – taux d'intérêt réel rentabilité éco = EBE / total des capitaux engagés dans la