élasticité Prix Faible Compétitivité Prix

rapport) en collaboration avec Emanuele Santi, Econamiste pays principal sous la supervision de Jacob Kolster, Directeur Département régional Nord 1 (ORNA). L La Banque africaine de développementtient à remercier l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ) et l’Institut national des statistiques (INS) pour leur collaboration. Cette publication a bénéficié des commentaires et du soutien des experts de la BAD: Vincent Castel, Audrey Chouchane-Verdier, Taoufik

au paiement de l'Etat pour la protection des droits qu'il dispense. On est ici à l'origine de la doctrine du bénéfice selon laquelle il doit y avoir équivalence entre l'utilité que retirent les citoyens des services publics qu'ils consomment et le "prix" fiscal qu'ils acquittent[4]. Avec le développement des fonctions de l'Etat, justifié soit par la nécessité de pallier les échecs du marché, soit pour assurer un développement harmonieux du capitalisme industriel, les dépenses publiques se sont accrues

forme un prix ? Dans la théorie néoclassique, le résultat de cette rencontre va déterminer le prix. C’est la loi de l’offre et de la demande. La loi de l’offre et de la demande En situation de concurrence pure et parfaite*(nous sommes dans le domaine théorique), la loi de l’offre et de la demande permet l’ajustement du prix. PE = prix d’équilibre QE = quantité d’équilibre La demande est une courbe décroissante : plus le prix est élevé et plus la demande baisse. Plus le prix baisse, plus

R. Dornbush (1997) prétend que des critères de discipline budgétaire ne sont pas nécessaires pour préserver la stabilité monétaire et financière d’une union monétaire, quand la banque centrale qui est à sa tête a pour unique mandat la stabilité des prix. En effet, comme le soulignent X. Debrun et C. Wyplosz (1999), empiriquement, il existe le plus souvent une substituabilité stratégique entre les politiques monétaires et budgétaires. Cela implique que toute détente des politiques budgétaires sera

nécessaire. Chacun est obligé de choisir une activité et d’échanger le produit de son activité contre d’autres biens et services. L’échange permet à deux individus de se procurer chacun un avantage. La répartition de cet avantage découle notamment du prix résultant d’une négociation entre les deux parties. Par ailleurs, l’échange incite à la spécialisation des individus dans les activités pour lesquelles ils détiennent un savoir-faire. Les individus essaient donc de se concentrer sur les biens qu’ils

|laquelle l'innovation joue un rôle majeur, dans un contexte de | | |surcapacité de production et de croissance de la demande faible. | | |Aujourd’hui, le consommateur attache de plus en plus d’attention à| | |l’environnement. Les constructeurs

comportent mais également pourquoi. En effet, les croyances et les pratiques religieuses représentent souvent la source majeure de frustration et d’incompréhension. L’ignorance et le manque de respect pour les différences religieuses se paient au prix fort. * Les valeurs et comportements Les valeurs sont un ensemble d’options et de croyances, de conviction et d’idéologies, elles représentent l’essence même de toute société et forment le contexte au sein duquel les normes de comportement individuel

lors de la crise (stagnation des prix) J.M Keynes montre que la théorie néoclassique ne marche pas. Selon lui une baisse des salaires n’implique pas une baisse du chômage. Pour Keynes, il faut une approche macroéconomique et pas seulement microéconomique. L’économie dans son ensemble ne marche pas comme une entreprise. Théorie de la demande effective : si l’économie est mauvaise cela est du au fait que la demande qui s’adresse aux entreprises est trop faible car il n’y a pas assez de revenus

l’opinion publique. L’émergence des pays asiatiques et d’Europe centrale crée de nouvelles opportunités à l’exportation dont la France tire profit. Les importations en provenance de ces mêmes pays permettent aux consommateurs de consommer à moindre prix des biens de consommation courante et procurent des gains de pouvoir d’achat importants. Le deuxième point marquant est que la France ne profite pas autant de la mondialisation qu’elle le pourrait. Patrick Artus met en évidence les forces et les faiblesses

Introduction générale La macro – économie, terme introduit en 1 933 par Ragnar FRISCH (prix Nobel en 1 969), désigne l’étude de la structure, de la performance et des politiques d’une économie nationale. Elle constitue une analyse globale des marchés et agrégats économiques. Ces agrégats sont obtenus et traités par la comptabilité nationale. Celle - ci est une représentation suivant un cadre comptable défini par avance et rigoureux des informations chiffrées de l’activité économique d’une