élasticité Prix Faible Compétitivité Prix

l’alourdissement des dépenses publiques. Cette augmentation est due à la hausse des dépenses de la sécurité sociale (remboursements, frais de santé, CAF), y compris dans des pays comme les États-Unis ou le Japon où elles représentent pourtant une part plus faible du PIB. Face à l’augmentation des dépenses, la part des prélèvements dans le PIB s’est elle aussi accrue régulièrement. À partir des années 1 970, les prélèvements ne parviennent plus à financer les dépenses. En réponse, les gouvernements tentent

note une remontée dans les pays riches (Europe à 27) pour faire face aux grands exportateurs, notamment la Chine. UE très intéressante car union douanière très active dans le domaine des politiques commerciales. Malgré une croissance économique faible, l'UE à 27 est à la fois un grand marché et un débouché important pour de nombreux pays développés ou en développement. En 2007, l'UE27 représente près de 20% des exportations mondiales (en excluant les flux intra-européens) et environ 1/3 du PIB

Si le mot croissance n’apparait pas dans le sujet, Ne parler que du progrès technique et de l’emploi. - Chapitre – Croissance / Progrès technique / Emploi : création flexibilité compétitivité Croissance est un facteur … finance • Théories de la croissance Progrès technique destruction-création montée des qualifications capital humain Emploi • Anticipation • Nouveau marché ---------------------------------------------------------

production produit mais ne contrôle pas le produit final. Il y a dans ce système la part du capital fixe nécessaire très faible, d'autant que ces unité de base possède l'outillage nécessaire. Lorsque le système va se développé, le commanditaire va fournir l'outillage. Le commanditaire commande le processus de production d'ensemble et maitrise les marchés finaux. Il fixe les prix et il prête essentiellement les outils et fournit la matière première. En terme de main d'œuvre, à partir 17 et 18eme

L’impact des NTIC sur la compétitivité des entreprises industrielles Étude présentée à la CPCI par GMV Conseil Liste des experts rencontrés Universitaires Jacques MAIRESSE, chercheur au CREST (Centre de recherche en économie et statistiques) Alain RALLET, chercheur à IRIS (Institut de recherche interdisciplinaire en socio-économie) Hugues MOLET, Professeur du Centre de CAO/Robotique de l’École des Mines Utilisateurs Jacques CHAIZE, PDG d’OREG – SOCLA, Chalon sur Saône (71) Michel HERVE, PDG Herve

Promotion, Place. Quelle est la différenciation concurrentielle sur les segments de marché ? La différenciation concurrentielle se traduit par la manière dont se distingue ou se démarque une entreprise de la concurrence. On se différencie par le prix, la qualité, les points de vente spécialisés (circuit de distribution), positionnement du produit (haut de gamme ou bas de gamme). Un produit est définit comme un bien tangible et un bien intangible (physiques, ou logiciels). Un segment de marché

Relative * La matrice McKinsey Matrice de décision stratégique | POSITION CONCURRENTIELLE | | FORTE | MOYENNE | FAIBLE | ATTRAITDU MARCHE | FORTE | Maintenir sa position | Investir pourcroître | Investir sélectivement | | MOYENNE | Investirsélectivement | Rentabilitésélective | Expansion limitée/ récolte | | FAIBLE | Se protéger etse re-concentrer | Rentabilitésélective | Abandonner | La zone orange correspond au cas où l’attrait du secteur et les compétences

jus de raisin, Pierre possède le plus faible coût d’opportunité = on dira que Pierre possède l’avantage comparatif pour la production de jus de raisin. ____________________________________________________________ Qui possède l’avantage comparatif ? Le coût d’opportunité pour Jean d’une pizza est de ½ verre de jus. Le coût d’opportunité pour Pierre d’une pizza est de 2 verres de jus de raisin. Csqce : pour la production de pizzas, Jean possède le plus faible coût d’opportunité = Jean possède l’avantage

stratégique en matière de prix 1) Le prix, variable stratégique 2) Les stratégies de niveaux de prix A. Les stratégies de pénétration de marché B. Les stratégies d’écrémage C. Les stratégies de prix différenciés 3) Les stratégies se standardisation ou d’adaptation de prix 4) L’incidence des modes de présence 5) Les réglementations relatives au prix 6) Les déterminants du prix II. Les facteurs de détermination du prix au niveau international

lpp 45 degrØs Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Dominique Desbois, Bernard Legris* Les prix à la production des principaux produits agricoles ne cessent de baisser, en euros constants, du fait de l’internationalisation croissante de certains marchés et du progrès technique. Aussi les agriculteurs français sont-ils contraints de maîtriser leurs coûts de production pour maintenir leur compétitivité et assurer à terme