éloge Blâme

La Duchesse de Langeais I. La Duchesse de Langeais allégorie de la femme sous la restauration a) Une femme superficielle et coquette (blâme) b) Une femme néanmoins séduisante (éloge) II. La visée dénonciatrice a) La critique de l'éducation réservée aux filles b) Le blâme du poids des convenances de la société de l'époque Intro : Le roman est une oeuvre plus ou moins longue où les personnages fictifs sont donnés pour réels. La Duchesse de Langeais est un roman écrit par Balzac

Avec le groupe verbal "prit ébahissement" mis en valeur par un enjambement, et par la césure à l'hémistiche Du Bellay souligne un aspect négatif de sa vision. Autant d'indices accumulés prouvant que Du Bellay achèvera son poème sur un blâme de la ville. Le blâme de la ville de Paris est explicite a partir de la deuxième partie du vers 11, placé a la rime, avec la forme emphatique "Ce qui ne put me plaire", ce groupe de mot annonce clairement un mécontentement du poète. Il accentue ce mécontentement

décisive: le héros y fait une rencontre éveillant sa vie sentimentale. L'éloge de Mme Arnoux donne aussi implicitement un portrait du héros. On a aussi un avis de Flaubert sur Frédéric Moreau. En quoi cette page romanesque, un éloge de Mme Arnoux, est-elle également un blâme implicite du ''héros'' Frédéric par le narrateur qui prend ses distances avec ce personnage ? I – La mise en place d'un décor symbolique La réalité sale et pauvre, peu poétique fait ressortir la magie et le singularité de

impératif. Dilemme/ seul une seul alternative, duel (ne peux plus y échapper). Vers 21 rejet de « je les vues » Vers 22 hyperboles. Qualité héroïque Vers 23 hyperboles. Qualité héroïque du père de Chimène. Vers 21 à 23 registre épidictique (éloge et blâme) Vers 24 redondances. Argumentation épidictique. Vers25 // de construction + hyperbole qualité héroïque + registre épidictique Vers28 à 28 effets d’attente. Alexandrin martelé. Augmentation de la transition. Vers 29 entre autorité et honneur

temps comment l’auteur établit une définition nuancée du Christianisme et de l’Eglise, puis nous expliquerons en quoi son texte est une charge violente contre cette religion. ►I. Une définition nuancée du Christianisme et de l’Eglise. 1. Le faux éloge. - Selon Diderot, le Christianisme est une religion supérieure aux autres : « la religion rend le païen superstitieux et le mahométan fanatique » (l.7). - L’auteur justifie les défauts du Christianisme par les défauts des particuliers : « c’est

le groupe verbal « prit ébahissement » mis en valeur par un enjambement, et par la césure à l’hémistiche, Du Bellay souligne un aspect négatif de sa vision. Autant d’indices accumulés prouvant que Du Bellay achèvera son poème sur un blâme de la ville. Le blâme de la ville de Paris est explicite a partir de la deuxième partie du vers 11, placé a la rime, avec la forme emphatique « Ce qui ne put me plaire ». Ce groupe de mot annonce clairement un mécontentement du poète. Il accentue ce mécontentement

décrivent comme étant un animal avec de nombreuse qualité. Dans le poème > , le poète rajoute une qualité en plus au parasite au fil du poème . En premier lieu, le poète a écrit ce poème, en tant que démarche scientifique: une démonstration. Il fait un éloge épidictique '' c'est le meilleur des métiers '' , en le comparant aux autres métiers '' supérieurs à l'ensemble '' '' l'emporte sur chacun '' : c'est des hyperboles. La première qualité mise en valeur est : un apprentissage facile avec une anaphore

Le motif du clown est incongru et soulève des énigmes C. Une captatio efficace qui repose sur la mélange de langue et de registre LA n°2 : Michel Quint « Effroyables Jardins » Le portrait du père en clown : un portrait ambivalent entre blâme et éloge Un portrait péjoratif et grotesque A. Un mauvais clown B. Un piètre guerrier C. Le style héroï-comique Le recul analytique et l'évolution du point de vue : les marques de l'éloge A. Le regard de l'adulte et la place du père

littéraire doit être sincère avec l'écrivain et exigeant en pointant les éventuels défauts ➢ « Dépouillez devant eux l'arrogance d'auteur » = pratiquer l'humilité en tant qu'auteur = exigence du poète, accepter l’erreur, accepter de corriger, blâme de la vanité. (Boileau en effet s'insurge de cette vanité de cette fausseté qui produisent de mauvais écrivains qui sont aimés dans le cercle des courtisans mais qui n'ont pas d'exigence littéraire) 2EME MOUVEMENT : la satire du flatteur : comment

| | |Ecrire, publier, lire ( Molière et l’affaire Tartuffe ) | | |L’éloge et le blâme ( éloge du roi, blâme des faux dévots) | | | | |Objectifs