éloge Blâme

voyage de Bougainville dont nous étudions une partie du discours du vieillard et nous nous demandons quelle est la fonction de ce discours. Dans une première partie nous verrons que Diderot fait un éloge de la société tahitienne puis dans une deuxième partie nous étudierons comment , à travers cet éloge , il fait ressortir les défauts de la société européenne. Tout d'abord nous allons étudier l'éloge de la société tahitienne qui est fait ici. On remarque que c'est une société qui repose sur

pour la Bruyère et Fenelon, et au XVIII° pour Montesquieu et Voltaire. Les points communs entre ces quatre texte : ils soulignent une idée de monarchie de droit divin, présentent le personnage du roi. Ce sont des éloges dans lesquelles se cache un blâme. Le registre principalement employé est le registre épidictique. -La Bruyère avec les caractères -Fénelon avec les aventures de Télémaque -Montesquieu avec l’esprit des lois et lettres persanes -Voltaire avec le siècle de Louis XIV Montesquieu :

impressionné par le tableau de son ami Picasso, « Guernica », il entreprend à son tour de témoigner de l’horreur du massacre. Blâme subtil de la guerre, le poème « La victoire de Guernica » déploie tout un art de persuader le lecteur en l’impliquant dans le tableau des atrocités, pour enfin justifier pleinement son titre ; le blâme de la barbarie se renverse alors en éloge de l’humanité résistante. Le terme de « guerre » ne figure pas dans le poème et ce n’est que par le titre que le lecteur peut

manière virulente les européens. Analyse Problématiques= En quoi la comparaison entre les indigènes et les européens permet à Montaigne de mettre en place une critique de l'Européen ? Organisation= 3 parties ligne 1-ligne 14=éloge de l'européen ligne 15-ligne 41=éloge de l'indigène ligne 42 à la fin= critique de l'européen Introduction: Le VI° siècle voit l'Europe s'ouvrir au monde. Si cet éveil est perçu pour la plupart comme un moyen d'enrichissement (par le biais de l'ouverture de voies

pédagogique... I. Le « bon sauvage » ou le cannibale : le regard européen sur l’altérité. Séquence sur l’altérité en classe de 2nde 1. Séquence : Le « bon sauvage » ou le cannibale : le regard européen sur l’altérité Objets d’étude : 
 L’éloge et le blâme 
 Démontrer, convaincre, persuader 
 Mouvement littéraire et culturel : découverte de l’humanisme et des Lumières Perpectives d’étude : 
 L’argumentation 
 Le registre épidictique 
 La description et le portrait Problématique : Cette séquence a pour

La guerre est un thème varié, elle peut passer du blâme à l'éloge sans aucun problème, faire passer des messages, selon l'auteur, les thèmes abordés dans ceux-ci peuvent être variés (mort, horribilité, espoir...). J'ai choisi ce thème car c'est un thème sans époque, la guerre a toujours été présente jusqu'à aujourd'hui, et ne s'arrêtera peut être jamais, c'est un thème intemporel. Ce thème est poétique car il évoque souvent la mort, thème cher à la poésie ainsi que la destruction qu'elle engendre

donc pas affaire à une fable. La Bruyère est obligé d’exprimer le 2e degré puisqu’ il n’y a pas de personnification. II. ELOGE ET BLAME L’éloge et le blâme se confondent . En faisant l’éloge d’un idéal, il critique le roi. Cf. : "Quelle... "= ironie Cf. : "Servitude" : il inverse les rapports. Le chef de l’Etat semble au service de son peuple. C’est comme ceci qu’il blâme le système : en faisant l’éloge de ce qu’il n’est pas. Cf. : les questions oratoires. Celles-ci comprennent les réponses par

son ton pathétique faiblement ponctué est suivie par un discours fortement ponctué, pas moins d'une dizaine d'exclamations apparaissent pour traduire la colère et l'indignation de l'auteur en réaction au travail des enfants. S'ensuit alors un blâme virulent du travail dont il est question. Il le qualifie de « servitude infâme imposée » (V.17), de « mauvais » (V.23), et l'accuse de ruiner la jeunesse et donc la vie des individus comme le prouve « qui prend l'âge tendre en sa serre » (toujours

modalité méliorative: "talent" (l.1), "meilleur" (l.5), "simplicité" (l.2), "charme" (l.4) (On peut constater une Oxymore), "merveille d'exception" (l.19) (On peut constater une Hyperbole), "maître" (l.17) et "chef d'œuvre" (l.22). Ce texte est une éloge. Il utilise le registre laudatif. ZOLA à toujours défendu MANET, ce tableau est donc un remerciement de la part de MANET. On constate que ZOLA utilise "naturaliste" (l.1) pour parler de MANET, pour ZOLA dire de quelqu'un qu'il est un naturaliste est

sont un éloge des beautés physiques de la femme, les contre-blasons sont des exercices de blâme. Une figure féminine est alors l’objet de la vindicte du poète. Là où le blason chante la beauté et la jeunesse, le contre-blason décrit la vieillesse et la laideur, parodiant ainsi la tradition du blason. La succession des blasons et des contre-blasons, dans l’ouvrage de Du Bellay par exemple, a pour but de rendre éclatante la virtuosité du poète, aussi manifeste dans l’éloge que dans le blâme. La figure