éloge Blâme

citation Procédé d’écriture Analyse + interprétation Plan (à revoir) -Phrase 1 : « merveilleuse clarté » (l.1) -Toute la phrase « Il se tire » -Vocabulaire mélioratif -Présent de vérité générale -Formule impersonnelle + phrase affirmative -éloge du voyage -Affirmation de la thèse de l’auteur, registre didactique I.2 Une satire généralisée Phrase 2 : « contraints et amoncelés en nous » -«La vue raccourcie […] nez» -Pronoms « nous  »et « tous » -Vocabulaire péjoratif + accentuation

sonnet. Registre lyrique. Forme poétique = sonnet. XVIeme siècle. Comparaison : ver 2 : « grand mer » (comparant) et ver 3 « Paris sans paire » (comparé). Mot répété trois fois : « tous, tout, toute » fait référence à la grandeur. 2eme quatrain : Eloge de la ville de Paris Ver 1 : Métaphore : « Paris est en savoir une Grèce féconde » Ver 2 : Comparaison : « Une Rome grandeur Paris on peut nommer » Ver 3 : Comparaison : « Une Asie en richesse on le peut estimer » Ver 4 : Métaphore : « En rares

Le blâme est un genre littéraire venu de l’Antiquité. C’est un discours public qui se focalise sur les défauts d’une personne ou d’une institution. Victor Hugo fait, dans son livre Le Dernier Jour d’un Condamné, le blâme de la société de son temps qui envoie sans scrupule des gens à l’échafaud. Nous chercherons donc à voir comment Hugo blâme cette société ainsi que la peine de mort. Nous étudierons donc le blâme de la peine de mort puis celui de la société. La peine de mort est un acte inhumain

discours qu’aurait prononcé un vieux Tahitien, cité par Bougainville, au moment du départ de celui-ci. Cet extrait s’inscrit dans les débuts de ce discours. Problématique : En quoi ce discours réunit-il le blâme et la promotion des valeurs européennes par la bouche du vieux Tahitien ? I. Eloge de la vie des Tahitiens et critique des Européens / conséquence négatives de la colonisation 1) Discours adressé à Bougainville, mais à travers lui, aux européens en général -Opposition « nous » au « tu »

Grange et Du Croisy. Scène 16 : Gorgibus arrive et sermonne sa fille et sa nièce suite à l’affront que la famille a subi. Scène 17 : Gorgibus frappe les violonistes du bal qui veulent être payé et maudit les précieuses et leurs divertissements. Eloge de la pièce : Dans cette pièce, Molière arrive à décrire en un seul acte et de manière époustouflante le ridicule de ces précieuses provinciales qui jouent les gentes dames avec leurs grands airs, qui se pomponnent toute la journée et rêvent de succès

 Ce corpus regroupe trois textes d'époques assez proches et d'un même mouvement littéraire : l'Humanisme. Ce courant place, durant la Renaissance, l'homme au centre de toutes les préoccupations en effectuant un retour aux sources de L'Antiquité. Le premier texte est issu du roman politique de Nicolas Machiavel, Le Prince (1516). L'écrivain réfléchit à l'image qu'un souverain se doit d'adopter. Le second texte est un extrait du roman Gargantua publié en 1534 par François Rabelais où l'auteur humaniste

et mettre en évidence l’obséquiosité malsaine de l’homme (« il chérit la modestie de la femme », l. 8 « tous les compliments dont l’homme accable une femme », l. 20). c) Blâme de l’homme / éloge de la femme En rappelant la visée argumentative du texte, il est possible de montrer que le blâme de l’homme va de pair avec un éloge de la femme. Étude des antithèses qui structurent le passage : « esprit naturel », « facilité de voir », « péné- tration » de la femme / « vices », « défauts » de l’homme

éloquence tous les plaisirs de l’inconstance. -Dom juan va présenter un plaidoyer de façon magistral, celui des plaisir de l’inconstance. -marque de la première personne : « je » « moi » b) Eloge paradoxal : - Dom Juan blâme l’amour comique fidèle, prôné par la morale religieuse du début à « sur nos cœur » et loue l’inconstance - Ici on est dans la rhétorique de la persuasion - Commence par réfuter : interrogation, exclamation

fiction animalière doit être transposée dans le monde des Hommes. Les effets sont immédiats (« l’ours boucha sa narine »), il ya un drame en 3 actes : La réaction de l’ours (v. 16 à 19) Il y a blâme implicite : le geste de l’ours La réaction du singe (v. 20 à 26) Il y a éloge explicite du singe. Le singe est un flagorneur (sotte flatterie). Il est aussi obséquieux. Il manie la rhétorique. La Fontaine a recours à l’énumération qui donne un effet d’accumulation. Le discours

faut jouer de tout. Conclusion : Côté épi didactique (= registre de l’éloge ou du blâme). On est dans l’éloge. Il a pris le parti de voir, de revoir les choses avec application, d’où le vertige de l’imagination. C’est une question de regard. Derrière l’éloge du pain, c’est l’éloge de toute la création. Chaque chose existe car on l’a fait exister (= créateur). Les choses nous amènent à une réflexion. Eloge de celui a qui est destiné la création. En prenant le parti des choses, c’est une invitation