éloge D Une Ville

Présentez le document et son auteurCe document est un extrait d'un ouvrage intitulé "Éloge de la nouvelle chevalerie" qui a été rédigé en 1129 par Bernard de Clairvaux à l’attention des chevaliers du Christ et de tous ceux qui souhaiteraient les rejoindre. Bernard de Clairvaux vante ici la qualité des chevaliers et leurs raisons de se battre au nom de la religion en prévision d'une deuxième croisade. Cet éloge permit à un maximum d'hommes de s'engager en tant que chevaliers du Christ, de rencontrer

En quoi la description d’Amaurote relève-t-elle de l’humanisme ? Plan : I. Une composition ordonnée 1) La progression du texte 2) Une description précise II. L’éloge du lieu 1) Une ville protégée 2) Harmonie et beauté III. Une société originale 1) Fondée sur de nouvelles valeurs 2) Une modèle hybride 3) Une utopie ? Stimulus : Lecteur des auteurs antiques en homme humaniste

De plus Egisthe reçoit un don qui est le nouvel Argos et ce don le comble en tant qu’homme. Premièrement Egisthe, après sa déclaration, redécouvre la ville d’Argos : Celle-ci lui apparait sous la forme d’un don. Tout au long de sa réplique, il ne va cesser de remercier celui qui est à l’origine de ce don « merci pour ce don ». Ce don v se révéler être divin par le champ lexical du sacré : « invoquer dieu «  et l’identité du donateur va être de plus en plus précise avec l’utilisation d’une gradation

écrivain français du XIXème siècle, connu pour ses oeuvres romantique comme « La chartreuse de parme » (1839) ou comme « Le rouge et le noir » (1830). Cet extrait en est l'incipit où le narrateur nous décris géographiquement et par son aspect une petite ville, Verrières. De quelle façon Stendhal nous dévoile les différents aspects de Verrières? Afin de répondre à cette question nous allons tout d'abord étudier cette description du plus large au plus précis, ensuite les informations géographiques et sociales

moderne la ville industrielle : a-une localisaton très précise/géographique : Europe , européen Paris endroit précis de la region parisienne : Tour Eiffel , les ponts , Port-aviation, rue Aumont Thiéville , avenue des Ternes b-un paysage urbain : ponts, auto, fenêtres, rue industrielle tout ce qui relève de la lecture urbaine : prospectus affiche avis … omniprésente les personnages de la ville : directeur, ouvriers, dactylos c-une ville pleine de

nouveau concept de la poésie. I - Éloge de la ville moderne 1.une description précise et complète : noms des lieux et de monuments, des métiers, des prix, des horaires... Comme un itinéraire matinal. Observation méticuleuse de l'agitation urbaine 2.Un poète très présent : à de nombreuses reprises "je" "tu" + verbe d'affection "j'aime" V.24 3.La ville transformée par le regard du poète : le poète observe "J'ai vu" V.15 "tu lis" V.11. La vie agitée de la ville : "prospectus"v.11 "directeurs,

des contradictions qui le définissent. Nous pourrons donc nous demander quel message Eluard veut-il transmette dans ce poème. Si Paris apparait d’abord comme une ville torturée, nous verrons ensuite comment le poète lui manifeste amour et compassion, pour enfin nous pencher sur l’espoir qui émane de ces mots. I. Comment la ville apparait-elle ? Paris malheureux • Personnification + Manque, privation : « Paris a froid Paris a faim » • Asphyxie, suffocation : « Paris dort debout, sans air

10.Séance 10 - Les petites vieilles - ExplicationSéance 10 : Eloge de la laideur : « Les petites vieilles» EXPLICATION LINÉAIRE Intro : Ce poème appartient à la section « Tableaux parisiens » des Fleurs du mal. Dans cette section, le poète, flâneur au milieu de la foule, observe les plus démunis – à la manière de Victor Hugo dans « Le mendiant » – et en fait des portraits d’une étonnante modernité. [LECTURE] 3 mouvements : Vers 1 à 16 (strophes 1 à 4) → Portrait des petites vieilles

campagne après nous, et son cœur, que mon maître a su toucher trop fortement, n’a pu vivre, dis-tu, sans le venir chercher ici. Veux-tu qu’entre nous je te dise ma pensée ? J’ai peur qu’elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. Gusman. Et la raison encore ? Dis-moi, je te prie, Sganarelle, qui peut t’inspirer une peur d’un si mauvais augure ? Ton maître t’a-t-il ouvert son cœur là-dessus, et t’a-t-il

Marseille sortie de la mer, avec ses poissons de roche, ses coquillages et l'iode, Et ses mâts en pleine ville qui disputent les passants, Ses tramways avec leurs pattes de crustacés sont luisants d'eau marine, Le beau rendez-vous de vivants qui lèvent le bras comme pour se partager le ciel, Et les cafés qui enfantent sur le trottoir hommes et femmes de maintenant avec leurs yeux de phosphore, Leurs verres, leurs tasses, leurs seaux à glace et leurs alcools, Et cela fait un bruit de pieds et