éloge De La Beauté Féminine

mots d’un poète parce qu’ils ont un sens léger : « feuille, aile, sable » →tous ces mots en un e muet → ritme féminine, ritme poétique car l 1 alexandrin, 2 octosyllabes, 3 et 4 hexasyllabes→ ronronnement musicale. 3)Eloge ambigüe Ces voie sont séductrices celle des sirènes, les personnages n’arrête pas de parler pour ne pas écouter ses voies mortes. L’absurde chez B a une insu la voie→ éloge →célébration lyrique. Conclusion Ce dialogue entre V et E sur rien n’est pas un discours sur la fadeurs

est question est comme une lettre à Lou « Toi qui fis à l’amour ». Il reprend les lieux communs de la poésie lyrique : la femme est comme une rose. Plus nostalgique et mélancolique, il évoque aussi, de façon plus moderne, la guerre qu’il oppose à la beauté de la femme. C’est un poème sans ponctuation qui s’appuie cependant sur des vers réguliers : sonnet en alexandrins (Le sonnet est une forme traditionnelle de la poésie lyrique). - La guerre peut sembler d’abord un spectacle, où la violence du combat

L’EXPERIENCE AMERICAINE géolocalisation : ville capitale économique des Etats-Unis « New-York ! Manhattan ! » l.15 la ville qui ne dort jamais du jour a la nuit éclipse du soleil 4/ nuits 15 interpellation apostrophe + tutoiement + adjectif possessif ta beauté 1 tes yeux de métal =>familiarité + intimité comme avec une femme C. REACTIONS sentiments : enthousiasme montré par le lyrisme des phrases nominales exclamatives New-York ! 1 + nuits d’insomnie ô nuits de Manhattan ! 15 émerveillement : métaphore

Cette question vous encourage à un plan critique du type oui/non… Il s’agit d’une question « fermée ». Votre attention doit se porter sur le mot « éloge » qu’il convient de définir dans l’introduction pour problématiser cette question fermée. Les Mains libres, publié en 1937, inscrit dans son titre même la revendication d’une absence de contraintes et l’importance de la main, vecteur de contact et de création. Tout au long du recueil, le motif de la main est présent, harmonieusement réparti

« beauté » qui est amplifiée par l’hyperbole « beauté parfaite » L’éblouissement est tel qu’il efface la personne elle-même, la réduisant à une pure apparence comme le suggère l’emploi de la métonymie et du pronom neutre « c’était une beauté » L’arrivée de Mlle de Chartres est remarquée car  elle apparaît aux yeux de personnes qui ne la connaissent pas. Elle crée de la surprise dans cet univers où la beauté est un critère

description minutieuse et élogieuse de la cité phocéenne, chère à son coeur. Quelle image de Marseille se dégage du poème? Nous verrons tout d'abord comment Marseille est décrite par le poète, puis quelle relation le poète entretient avec Marseille. I – Éloge de Marseille Le poète veut proposer une description précise, sensuelle et affective de la ville. A – Une description minutieuse Le regard du poète cherche à englober la totalité des spectacles qui animent les rues phocéennes. Ainsi sont évoquées

choquant voire malséant. L'audace et la virtuosité poétique de Baudelaire se lisent dans son exhibition de ses pulsions sadiques sous forme d'un éloge de la beauté charnelle. Cette fois (contrairement à la beauté spirituelle glorifiée dans le poème intitulé "hymne à la beauté") le poète, éternel rhéteur, valorise la beauté convulsive d'un corps féminin parfait. Dans la deuxième strophe, le poète-anatomiste sait bien que cette femme dispose de ce qui lui manque, à lui, le passant chagrin (vers

idéal (symétrie, harmonie).2 types de nu : l’idéal & la misère humaine. Nu féminin // nu masculin // nu enfantin.L’ANTIQUITÉ :· Tradition sacrée : symbole de fécondité, de pureté.· Tradition moralisante : exaltation de la pudeurStoïciens et Cicéron s’oppose à la thèse qui dit que les vêtements sont des artifices et la nudité serait la vérité.Avant : surtout les hommes représentés nu / les femmes sont parées.Le nu féminin se développe à Rome.LE MOYEN ÂGE :Nudité interdite selon la Bible. Interdit

Lectures linéaires - Révisions 1- Hymne à la beauté, Spleen et Idéa l, Baudelaire Problématique : En quoi cet hymne à la beauté est-il ambivalent ?Plan :I. Le poète s'interroge sur les origines de la beauté (§1 à3)I. Il en propose une vision macabre et séduisante (§4 et 5)III. Baudelaire célèbre cette beauté envoûtante (§6 et 7)Conclusion :- vision originale beauté- // monstrueux/mort + séduction/fascination 2- Une charogne, Spleen

de la 2ème personne), paré de toutes les qualités, celles-ci demeurant très vagues (toi, tes grâces). Dans la tradition du blason, la femme aimée est idéalisée à travers un éloge ambigü de sa beauté corporelle. Le blason se concentre sur des parties du corps (les cheveux, la peau, les mains etc.) pour en détailler les beautés, ce qui participe en fait d’un processus de réification de la femme (objet offert à la contemplation et à la virtuosité stylistique du poète). Or, dans le poème de Labbé, contrairement