éloge De La Beauté Féminine

Spleen et Idéal, XVIII L’Idéal Ce poème fait partie d’un groupe de trois sonnets : La Beauté XVII et La Géante XIX. Ils servent à suggérer ce que Baudelaire veut nous faire comprendre par ce terme d’idéal. Comme tous les sonnets il est construit sur l’opposition classique entre les quatrains et les tercets. Les deux quatrains expriment le blâme de l’esthétique moderne et les deux tercets font l’éloge d’une beauté plus classique. Pour Baudelaire ces deux affirmations ne sont pas contradictoires mais

longtemps Ø Le temps semble comme arrêté à partir de cet instant Ø L’auteur est comme hypnotisé « Longue, mince » v.2 Adjectifs antéposés Ø Mise en valeur des qualités physiques de la jeune femme Ø Sans même la connaître l’auteur en fait déjà un éloge « en grand deuil » v.2 Ø Elle est vétue d’habits noirs Ø Thème de la tristesse, de la mort « douleur majestueuse » v.2 Antithèse Ø Ambiguïté des sentiments de l’auteur face à l’arrivée de cette personne « Une femme passa » v.3 Verbe au

personne, employée dans tout le poème, le confirme. Strophe 1 : Eloge de la femme - Accumulation et rythme ternaire : souci de totalité de la description de plus en plus globalisante (tête-geste-air), et assonance en [è],et allitération en [t] : voyelle ouverte et consonne occlusive : rythme très musical, très entrainant. - Topos baudelairien : comme un rappel à nombre des poèmes vus dans « S et I » : la femme paysage. Insistance sur la beauté : répétition de beaux. - 4e élément de description : le rire

amoureuse. 2. Le double portrait Le portrait de Julien - 2 traits dominants : la beauté et la fragilité («  extrêmement pâle », « qui venait de pleurer », « yeux si doux », « pouvait être une jeune fille déguisée », « teint si blanc », « joues si pâles », « grosses larmes », « joues si roses », « beauté du teint », « grands yeux noirs », « jolis cheveux », « air timide ») - insistance sur l'aspect féminin de Julien (pt de vu de Mme de R.) → aspect doux L'image de Mme de Rênal - Julien

mode ou de la beauté se retrouve elle dans la littérature ? I. L'antiquité a . Le domaine de la mode b . Le canon de beauté antique II. Le 19ème siècle a . La mode des nobles b . Une idéalisation féminine III. Le 20ème siècle a . La mode b . Les canons de beauté Introduction : Par «canon de beauté», on désigne les normes de la beauté strictement

essentielle dans l’évolution de la condition féminine ? A quoi tient la modernité de cette lettre ? I. Une lettre de dédicace a) caractéristiques de la lettre - Marques d’énonciation caractéristiques de la lettre : adresse directe au destinataire à la première ligne, « Mademoiselle » et l’usage des pronoms « je » et « vous », qui renvoient à l’auteur et au destinataire de la lettre. - une double énonciation Mlle de Bourges et le lecteur en général (féminin certes mais aussi masculin) b) ses fonctions

l’emporte bien souvent sur la question sociale et politique. La figure royale prend malgré tout une ampleur particulière dans deux contes, Peau d’âne et Griselidis, où critique et éloge se mêlent. Le pouvoir dans les contes de Perrault et les illustrations de Doré est bien entendu aussi et avant tout celui du surnaturel, de la beauté et de l’argent. I La représentation du pouvoir politique A. Les souverains : des figures stéréotypées mais fidèles à la société d’ancien régime 1.1es personnages

suis une féministe mais par attrait pour ce sujet. Et quand je vois tous ce qu'accomplissent les femmes sans être vraiment mise en avant. Il m'a parut vital d'en faire le sujet de ce livre. La gente féminine occupe une grande place dans le cœur des hommes. La femme est une merveille de Dieu, une beauté inégalée de par sa grâce, sa douceur, son élégance, son innocence, son glamour, sa sensualité, sa bienveillance, ses charmes souvent comparé aux plus beaux trésors du monde mais aussi aux divinités

les 2 premières lignes du texte on a des éléments de son portrait avec le terme ''beauté'', terme qui va être repris avec l'expression ''beauté parfaite'' = hyperbole. Adjectif ''parfaite'' souligne sa grande beauté et ensuite on a une 3e fois l'utilisation du mot ''beauté'' à la ligne 10. On a un effet de théatralisation de l'entrée en scène de la jeune femme avec la triploccurrence ( utilisation 3 fois du mot ''beauté'') qui traduit l'admiration qu'elle suscite. Ce n'est qu'a la 3e phrase qu'on comprend

formes. On retrouve cette opposition dans l’antithèse du titre de la section « Spleen et idéal ». Les thèmes principaux de l’invitation au voyage sont l’amour et l ‘éloge de la femme aimé comparée à un paysage. On rapporte que souvent l’image de la femme est double, Marie Daubrun lui a inspiré ce poème. Qui a-t-il de nouveau dans cette éloge poétique de la femme aimée ? 1- Analogie entre la femme aimée et le paysage 1) une évocation sensuelle Personnification, qui permettent de définir le portrait