éloge De La Beauté Féminine

Les figures féminines dans les chants V à XII dans l’Odyssée Les figures féminines sont véritablement capitales et incontournables dans l’Odyssée et en particulier dans le retour d’Ulysse narré dans les chants V à XIII. Etant omniprésentes dans l'oeuvre, il convient donc de nous interroger sur le rôle de ces figures féminines, humaines, divines ou monstrueuses qui rythment et jalonnent les épreuves d’Ulysse. Dans un premier temps, nous opposerons les divinités aux mortelles, puis nous distinguerons

également un éloge à la femme noire et à l’Afrique en général. I- Un hymne à la femme noire 1. Différents moments de sa vie La femme est évoquée à différents moments de sa vie, mais elle est toujours présente aux côtés du poète : - à l’enfance c’est la mère protectrice qui élève son enfant tout en le choyant « J’ai grandi à ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux ». - à l’adolescence, c’est la jeune femme aimée et sensuelle, mise en valeur avec « voilà qu’au » et « ta beauté me foudroie

de contact et de création. Tout au long du recueil, le motif de la main est présent, harmonieusement réparti entre les dessins de Man Ray et les poèmes de Paul Eluard. Nous pouvons donc légitimement nous demander si ce recueil peut se lire comme un éloge de la main. Nous analyserons dans un premier temps comment ses différentes représentations constituent un motif privilégié et une célébration, un hommage. Puis nous interrogerons sur l’ambigüité de cette main et ses valeurs plus négatives. I La main

une série de distinctions en apparence plus philosophiques puisqu’il est question de deux Amours, l’un noble et l’autre vulgaire, de même qu’on distingue généralement deux Aphrodite, l’une Céleste l’autre vulgaire. Mais là encore il apparaît que la beauté et la noblesse de l’amour sont toujours liées au respect d’une position sociale convenable ; les vertus morales et les règles sociales que Pausanias demande de respecter au nom de l’Amour traduisent la domination d’une aristocratie conservatrice.

 Les figures féminines dans les chants V à XII dans l’Odyssée Les figures féminines sont véritablement capitales et incontournables dans l’Odyssée et en particulier dans le retour d’Ulysse narré dans les chants V à XIII. Etant omniprésentes dans l'oeuvre, il convient donc de nous interroger sur le rôle de ces figures féminines, humaines, divines ou monstrueuses qui rythment et jalonnent les épreuves d’Ulysse. Dans un premier temps, nous opposerons les divinités aux mortelles, puis nous distinguerons

insiste sur la beauté de la nature et son organisation : elle semble si ordonnée, si méticuleuse. Ceci peut s'appuyer sur l’utilisation de cercles concentriques : par analyse nous nous apercevons que la corbeille est placé au milieu de la table qui celle-ci est placée au milieu du temple qui est lui-même placé au milieu de l’île du centre du Valois. . La nature est représentée ici comme un paysage arcadique, comme dans la nouvelle d’ Adrienne , Nerval fait un hommage , un éloge de la nature

Thèmes essentiels - La méditation sur l’homme et sur soi - Le dialogue incessant du maître et de l’élève - L’instruction du Prince et des puissants sur leurs devoirs - L’exaltation du sentiment amoureux - La fuite du temps et la mélancolie - La beauté féminine, reflet de la splendeur de l’univers - L’immortalité de la poésie - L’illusion et l’instabilité, les métamorphoses du monde et des êtres - Les déguisements, les masques et les miroirs, les jeux sur l’identité - Les incertitudes du bonheur

contre-partie, il nous montre un attachement amoureux et fait une déclaration. On peut remarquer que l'auteur exprime ses sentiments avec passion, c'est pourquoi la tonalité lyrique est très importante. Le bonheur est annoncé par le biais de la beauté et marqué par des expressions telle que « Regarde les beaux magasins ». Le verbe aimer est répété cinq fois en tout, d'abord à la deuxième personne du singulier, ensuite à la première ce qui montre l'importance de l'amour dans ce poème. Les deux derniers

Cléanthis, elle, accepte difficilement que ce jeu d’inversement des rôles cesse. Cléanthis fait preuve d’hypocrisie envers sa maîtresse en employant du superlatif : « le plus plaisant », « une des plus belles femmes du monde ». Cela paraît comme un éloge ironique dans cette scène, mais Cléanthis à ce moment-là parut comme une servante faussement admirative. 2. La duplicité d’Euphrosine Cléanthis, elle, va livrer une description peu flatteuse de sa maîtresse. Pour ce fait, Cléanthis va utiliser

celle-ci prend part à son combat, les femmes du peuple n'auront d'autre choix que de se remettre en question car la reine, en tant que souveraine de la nation, est la femme la plus influente du Royaume de France. Pour soutenir son idée, elle fait un éloge de la patrie et de l’amour du peuple. Rappelons qu’à cette époque le contexte historique n’allait pas en faveur de la reine. Elle était lourdement accusée pour ses dépenses excessives, sa mauvaise influence sur Louis XVI, ses relations coupables avec