éloge De La Beauté Féminine

rédigerez l’éloge ou au contraire le blâme d’un paysage, d’un monument ou d’un tableau que vous avez vu au cours de votre séjour en Espagne. Vous choisirez parmi les procédés étudiés en classe ceux qui vous sembleront les plus adaptés pour dresser cet éloge ou ce blâme. Le devoir sera écrit pour un quart en espagnol. | | | Francisco GOYA peint en 1800 la Maja Vestida (habillée) et la Maja Desnuda (nue), deux œuvres maintes fois commentées, controversées et même censurées. Ces deux tableaux sont

extrait de la première scène de l’acte, Hugo aborde ce thème hérité de la tradition comique par le biais d’un réquisitoire sévère et pittoresque contre la jeunesse de Don Ruy Gomez, archétype classique du vieux mari jaloux, et, a contrario, par un éloge de la vieillesse, développé dans la tirade du vieil homme, qui s’apparente fortement à une déclaration d’amour. I-Un réquisitoire sévère contre la jeunesse Dès le début, la périphrase une fille (vers 4), groupe sujet indéfini, désigne évidemment

héros. Il s'agit du personnage féminin, Elvire. Elle correspond à ce qu'on nomme la figure de la grande amoureuse. Elle rassemble tous les traits féminins et douloureux de la passion, de l'abandon et du pardon final. Ses deux apparitions sont donc très importantes ( I 3 et IV 6 ). Elle incarne à la fois une éthique : la piété, la fidélité, l'amour, la dignité... et une esthétique : le langage digne et solennel, les registres pathétiques et lyriques qui apportent de la beauté grave à la comédie. Le

Feindre une correspondance réelle B. Faire de la correspondance un roman. C. L'orchestration précise d'une vengeance. II. Portrait d'une société. A. Une complicité entre amants. B. Une société pervertie. C. La critique des principes de l'éducation féminine. III. Un portrait en creux de la Marquise de Merteuil. A. Une femme appartenant à la haute société en maitrisant ses usages. B. Une femme dominatrice. C. Une femme manipulatrice. Lettre IV I. Une réponse négative. A. Le vicomte éveille l'attention

se permettrai pas. Ceci peut être formulé comme un réponse au contentement qu'il a eut d'admirer Emma alors « qu'elle avait l'habitude de se mordiller – les lèvres – à ses moments de silence ». II] Un blason fragmentaire et ambigu : 1) Éloge de la féminité : « blancheur de ses ongles » : surprend Charles qui en fera une longue description dès le début du 1er paragraphe. Surprise du à sa faible expérience car ni sa mère, ni sa première femme avaient pour habitude de faire ça.

que le lecteur pourrait devenir un Thélémite. II. Des activités et des plaisirs constamment partagés entre les deux sexes (2° paragraphe) : R reprend le fil de sa narration coe le signale l’emploi du passé simple et crée un éloge de l’éducation sous le signe de la liberté – il emploie un cpt circonstanciel de moyen en début de phrase qui met en exergue le mot « liberté » : « Par cette liberté » - qui est donnée aux Thélémites avec l’expression « une louable émulation ». Cependant

mienne. Lorsque je lus la citation du poète Rilke “Le beau est le premier degré du terrible”, une fois de plus je ne me senti inférieur, me plaçant à ses pieds, ne pouvant supporter une minute de plus d’être un infime homme devant cette beauté divine, ma beauté divine, qui serait si l’on en croit le poète autrichien, monstrueuse… Derrière chaque poème, le cœur d’un être humain, d’un séducteur, d’une séductrice bats, un homme qui éprouve un amour, partagé ou non. Et chaque histoire n’est-elle

Spleen et Idéal La Beauté Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ; J'unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter

œuvre est le spleen , un terme anglais désignant un profond vide psychologique amenant à une quête d'Ideal . Dans les fleurs du mal, Baudelaire souhaite extraire la beauté du mal . Ce recueil se distingue des autres recueils classiques car il est divisé en 6 sections correspondant aux différentes étapes de la quête d’absolu de Baudelaire. L'Horloge

stimulent sont imagination. Il aime les romans où il y a de l’action => antithèse « pondéré – extravagances ». Il aime beaucoup la collection Hetzel => souligné par l’hyperbole « j’adorais ». Grâce à ses lectures il a été sensibilisé à la notion de beauté. Il fait des louanges sur les livres => périphrase « boîte magique ». Grâce à ses lectures -> évasion complète avec la réalité. Ses lectures lui évoque un plaisir intense => l’hyperbole « extase ». Elles le poussent dans des jouissances fortes. Il