éloge De La Beauté Féminine

un musulman, pour les Occidentaux du Moyen Âge, et au début du XIXe siècle suggère plus largement l’exotisme. Or c’est en Italie, sentie comme exotique à l’époque romantique, que se déroule la seconde partie du récit. D’autre part, la terminaison féminine intrigue pour qui connaît le nom véritable du sculpteur Jacques Sarrasin. Les connotations de féminité et le brouillage des sexes joueront un rôle important dans la nouvelle, préparant l’effet de surprise final. Ce titre invite donc à lire une nouvelle

Mais, dans ce domaine, il n'a pas de chance. Cependant, les arts plastiques ont une influence considérable sur la poésie baudelairienne, certains poèmes des "Fleurs du mal" sont des vocations d’œuvres d'art (statue - le masque mais aussi dans "La beauté", toujours désigné par une femme). Pour Baudelaire, l’œuvre d'art est "destinale", elle doit refléter le destin. En regardant une œuvre d'art nous oublierons les inquiétudes, nous serons dans un état d'extase. Il mène une vie de dandy parisien, qu'il

phallique et éjaculation dans l'union sexuelle. À cette représentation masculine de l'éducation associée à l'éjaculation, Diotime, une étrangère dont Socrate prétend rapporter les paroles, oppose, vers la fin du dialogue, une autre représentation, féminine celle-là, qui fait intervenir la procréation. Dans ce contexte, l'éducation n'est plus considérée comme l'acquisition d'une compétence relative aux choses sensibles, mais comme une conversion, que le maître met en œuvre en entraînant le disciple

11. L’énonciation romanesque peut être typiquement féminine, sa réception aussi, au moins dans les représentations que s’en font les critiques modernes : d’où le débat, désormais clos, pensons-nous, sur le lectorat féminin du roman ancien, cf. les études publiées par J. Tatum en 1994, en par ticulier celles d’E.L. Bowie, K. Dowden, B. Egger, D.L. Selden et S. Stephens ; par S. Swain

tout droit"(v.32), pour mieux persuader le destinataire de son propos, puis l'impératif "cueille, cueille"(v.39) afin d'exprimer un conseil. Ensuite, il se base sur la menace du temps, et sur une éloge discrète du destinataire. Le principal argument exposé est celui du caractère éphémère de la beauté, de la jeunesse. La jeune fille parait ingénue, et le poète se charge de la "ramener à la réalité", en la prévenant des risques qu'elle court à ne pas profiter du moment présent. C'est un prétexte

«extraire la beauté du Mal », pour reprendre l'expression du poète dans l'un de ses projets de préface. Le poème se présente comme une sorte de discours que le poète adresse à la femme qu’il aime. Baudelaire y reprend, d’une certaine manière, le carpe diem d’Horace et certains propos du poète de la Pléiade Ronsard, notamment dans le sonnet « Quand vous serez bien vieille... ». Toutefois, le thème du temps qui détruit les êtres tandis que l’art peut préserver éternellement la beauté des formes

femme ; c’esr pourquoi mon anthologie regroupe une dixaine de poèmes tous en rapport avec cette fameuse inspiratrice : les uns font son éloge, les autres la discrédite. En ce qui concerne ma page de garde j’ai choisi comme illustration La Joconde de Leonardo de Vinci parce que c’est une peinture très connue et qui symbolise assez bien la beauté et la grâce feminines. En outre j’aimerais signaler que tout le long de cette quête, mes choix ont été guidés par l’éloge et le blâme de la femme afin de

quoi l’Odyssée est-elle une épopée ? Intro : Epopée = long poème d’envergure nationale narrant les exploits d’un héros ou d’un peuple. Issu du grec ancien ‘’ récit ou parole d’un chant ‘’. On parle également de registre et de tonalité épique. I. Eloge du héros ( ici Ulysse = vocabulaire mélioratif ‘’ ingénieux , endurant , patient ‘’ , connu pour sa force : lorsqu’il bat les Phéaciens au disque et pour sa ruse , image du héros guerrier, quête de son épouse , de sa terre ) II. Nombreuse péripéties

invoquant le charme irrésistible qu’exerce sur lui la beauté ; il expose alors sa stratégie qui fait de la conquête amoureuse une entreprise aussi exaltante que la conquête guerrière. Peu à peu, au fil du texte, Don Juan se pose en conquérant de plus en plus mégalomane pour qui l’amour est une façon d’affirmer un pouvoir. Du refus et de la révolte, il passe à l’affirmation et à la jubilation. I-Réquisitoire contre la fidélité et éloge de l’inconstance Don Juan se présente comme un homme

personnages  Situer la rencontre lors d’un bal permet de la mettre en valeur : moment de représentation, d’éclat particulier des personnages, où ils auront la liberté de se rencontrer intimement Premières lignes mettent en valeur la Princesse : « sa beauté et sa parure » qui provoquent l’admiration générale (« l’on admira »). Toute la fin du 1er paragraphe. est consacrée à mettre en valeur l’arrivée de Nemours. cf question 1. Il arrive après le début du bal. Passage de la focalisation externe au point