éloge Du Chien

fermier d’à côté leur offrit ce conseil : «Vous devriez avoir un chien». C’était vrai, cela ; elles devraient avoir un chien, quand ce ne serait que pour donner l’éveil. Pas un gros chien, Seigneur ! Que feraient-elles d’un gros chien ! Il les ruinerait en nourriture. Mais un petit chien (en Normandie, on prononce quin), un petit freluquet de quin qui jappe. Dès que tout le monde fut parti, Mme Lefèvre discuta longtemps cette idée de chien. Elle faisait, après réflexion, mille objections, terrifiée

attribution du jeu de mot « Hallé – vous en » au fils de Vernet qui est selon lui un des pointeurs les plus redoutables.) Vien : • St Denis prêchant la foi en France : - mise en // avec le tableau de Doyen portant sur l’épidémie des Ardents - véritable éloge du travail du Vien (cf. quand il rapporte les critiques que d’autres ont fait au tableau, il ne les dément ou ne les confirme pas , il dit juste : « cela se peut ») mais critique l’iconographie (« Vien dessine bien, peint bien, mais il ne pense ni

« jardin d’en bas ». Le flanc sonore de la colline répercutait les bruits, portait, d’un atoll maraîcher cerné de maisons à un « parc d’agrément », les nouvelles. De notre jardin, nous entendions, au Sud, Miton éternuer en bêchant et parler à son chien blanc dont il teignait, au 14 juillet, la tête en bleu et l’arrière-train en rouge. Au Nord, la mère Adolphe chantait un petit cantique en bottelant des violettes pour l’autel de notre église foudroyée, qui n’a plus de clocher. À l’Est, une sonnette

mollement sa chevelure déployée, et tout dans sa fuite ajoutait encore à sa beauté. Le jeune dieu renonce à faire entendre des plaintes désormais frivoles : l’Amour lui-même l'excite sur les traces de Daphné; il les suit d'un pas plus rapide. Ainsi qu'un chien gaulois, apercevant un lièvre dans la plaine, s'élance rapidement après sa proie dont la crainte hâte les pieds légers; il s'attache à ses pas; il croit déjà la tenir, et, le cou tendu, allongé, semble mordre sa trace; le timide animal, incertain s'il

l’inconscient des gens qu’ils sont dans la meilleure classe sociale et qu’il ne faut pas se mélanger avec les 5 Médecin russe du XIXème qui fit des expériences sur les chiens montrant comment on peut conditionner certains réflexes. Plusieurs fois, il fait sonner la cloche juste avant de leur servir le repas. Ensuite, il suffit aux chiens d’entendre le son de la cloche pour qu’ils se mettent à saliver, même si il n’y a pas de nourriture. 6 Le lecteur particulièrement intéressé pourra consulter l’article

doctrine qu’il est un produit des idées pessimistes telles qu’elles circulent chez nous ». 1874 : Ribot La Philosophie de Schopenhauer = Monde fin de siècle. Beaucoup de parodie. À Rebours Des Esseintes p 179 se réfugie derrière Schopenhauer = éloge. Huysmans s’est converti en 1903 et dénonce cette mode dans Préface. La mélancolie passe du discours médical à la littérature via le naturalisme Tournet mélancolie à mi-chemin entre la dégénérescence et objet d’écriture. Richard Von Krafft-Ebing

Fontaine d’écrire, et le fait de raisonner par une morale, très forte de sens. Ensuite, un poème de du Perret, Le mélancolique amoureux, à la fois tragique et émouvant. J’ai choisi un poème de Laurent drelincourt, Sur l’homme – Petit monde, qui est un éloge de l’homme, de sa création, et de son caractère tout à fait multiple. Ce poème est magnifique. Le cinquième poème est sur le sujet de l’avortement, les deux derniers vers sont tout à fait vrais. Ce poème est triste mais à une vision réelle de ce qu’est

timide (vers 10), un peu naïf aussi, se fiant aux apparences (comme celles qui avantagent le chien), s’en remettant aux belles paroles, celles qui évoquent son futur « salaire » (vers 26-28). Toutefois, son envie d’une existence bien nourrie ne lui fait pas perdre sa lucidité, notamment quand il aperçoit la marque du collier. Alors apparaît sa principale qualité : l’indépendance, l’amour de la liberté. Le Chien fournit une parfaite antithèse : les épithètes qui le dépeignent (vers 3-4) insistent sur

particulièrement ses affirmations, à être rationnel mais aussi raisonnable, et interdisait plus que jamais d’adopter une position simplement parce qu’elle fournit une partie. Au lieu de cela, un nombre inquiétant de copies se termine ou commence par un éloge insouciant de la punition, un constat résigné sur la nécessité de la répression, l’impératif de maintenir la sécurité, assimilant trop souvent, au lieu de les distinguer, punition et répression, quand ce ne sont pas tout simplement la justice et

haut quartier Même si le narrateur (sans doute la narratrice) est absent, on sent un regard, un jugement, souvent une ironie, plus complexe qu’il n’y parait (éloge ou dénonciation ? Dénonciation par l’éloge ?). Mais ce n’est pas tout de dire que s’exprime ici une condamnation des « blancs », colons insolents d’égoïsme et de privilèges. Il faut d’abord noter (ce qui va de soi va mieux en le disant) que la description