éloge Du Sommeil

beauté des statues antiques qui séduisent les hommes. Il la rend humaine en expliquant qu’elle pleure car elle est en quelque sorte immortelle. Il la compare aux Hommes qui doivent vivre malgré leur peine. XXI. HYMNE A LA BEAUTE L’auteur fait un éloge de la beauté. Il s’interroge sur son origine et lui attribue des bienfaits agréables. XXII. PARFUM EXOTIQUE L’auteur divague sur l’invitation au voyage qu’apporte une femme étrangère qu’il côtoie : odeur, paysages et tranquillité. XXIII

morte.   IRONIQUE   Voyez la page que nous lui consacrons dans le cadre de notre étude des registres du texte argumentatif.     LAUDATIF   Vocabulaire : ce registre couvre tous les champs de la louange. Destiné à vanter les mérites d'un personnage (éloge funèbre), d'une valeur abstraite (hymne) voire d'un produit (publicité) ou d'une idéologie (propagande), il emploie naturellement un lexique mélioratif et des images valorisantes de nature à parer les objets concernés de toutes les qualités. Formes

possible de résister à la dictature du temps du travail. Le loisir véritable suppose une certaine gratuité, une forme de désintéressement, un temps où l’on peut être improductif. (Eloge de la sieste Thierry Paquot) « Laissez-vous aller, allongez-vous, ne résistez pas à l’appel de la sieste, à ce plongeon voluptueux vers le sommeil diurne ! dormez, rêvez, rompez les amorces avec la rive du quotidien chronométré ! Décidez de votre temps, siestez. ». Reconnaitre une valeur au rien. * Cette critique du

dit polygraphe, que Baudelaire a institué agent de ses affaires littéraires lorsqu’il était à Bruxelles, et qui dans son ouvrage Paris au gaz décrit les transformations urbaines, matérielles comme de comportement. Compagnon lit un passage qui vaut éloge de la flânerie boulevardière. De fait, Lemer, qui a noté que Maintenant que le gaz a pénétré dans les ruelles les plus étroites de la grande ville, il n’y a véritablement plus de nuit à Paris, puisqu’il n’y a plus d’obscurité, s’intéresse aux promeneurs

(L’absence, l’aventure et la vengeance ont un commun dénominateur : Ulysse. Le poème n’a pas d’autre axe, comme le montre le 1er mot : andra, l’homme : « c’est l’Homme aux mille tours, Muse, qu’il faut me dire, Celui qui tant erra ». Cet éloge de l’Homme non encre nommé (un des artifices du poème tourne autour du nom et de l’anonymat), implique la peinture de son caractère et de ses exploits, la représentation de son pays, de ses proches, de ses compagnons, de ses amis et ennemis, bref,

le choix du verbe « tu reposes » associe la mort à un sommeil ou un repos éternel, ce qui dédramatise également la référence à la mort. Plutôt que de violence, on peut parler de sérénité résignée et l’effet est renforcé par la régularité du rythme, en 2/4//2/4 et la douceur des sonorités dans le second hémistiche, les « r », la voyelle nasalisée et le fait que le vers se termine sur une rime féminine. Aux vers 12 à 14, on peut parler d’un éloge funèbre et d’une offrande funèbre à la manière du paganisme

de la douleur. Ce recueil est dédié à sa muse: Gala.Le poème La courbe de tes yeux est l'avant dernier du recueil. Il est placé sous le signe de la joie d'aimer et du partage amoureux. I- L'éloge des yeux A- L'utilisation du blason * C'est un éloge insolite > courbe des yeux mais aussi courbe du regard On trouve un champ lexical très riche* Dénotation claire de la courbe: "tour", "courbe", "rond", de la figure géométrique du cercle, de l'ondoiement de la courbe.* Connotation poétique: "feuilles"

[pic] 3. Analysez les marques de la préciosité dans La Guirlande de Julie et dans le sonnet L’Astre du jour de Vincent Voiture. LE PAVOT : Il faut se rappeler que le pavot dans la mythologie grecque est associée au nom de Hypnos, dieu de sommeil, Morphée, dieu de rêves, et Nyx, déesse de la nuit. Et tout d’abord- comme en cas de ce poème, on peut le lier à la déesse de la végétation, Déméter et à sa belle fille Perséphone qui restait six mois par an sous Terre chez son époux Hadès. Pour

nouveau thème sera abordé par l’auteur. Kesteloot dira que c’est la « formule-clé de l’acte de réveil. C’est l’éveil ou le réveil de la conscience dont l’œil s’ouvre sur la journée qui commence, sur la vie réelle par opposition à la vie rêvée qu’est le sommeil. ». Donc dès la première page nous notons une certaine volonté de dénigrer cet univers environnant représenté essentiellement par la présence policière et le prêtre, « parasites et défenseurs du système politico-culturel dominant ». Césaire prend

aider à supporter les saisons de Zeus ; il imagina pour cela de les revêtir de poils épais et de peaux serrées, suffisantes pour les garantir du froid, capables aussi de les protéger contre la chaleur et destinées enfin à servir, pour le temps du sommeil, de couvertures naturelles, propres à chacun d’eux (…) (…)Mais l’homme demeure nu, sans chaussures, ni couvertures ni armes, (…)Alors Prométhée, ne sachant qu’imaginer pour donner à l’homme le moyen de se conserver, vole à Héphaïstos et à Athéna