épicerie Sucrée

les marques telles Jean Hervé ou Pearl' Amande, qui sont des marques qui proposent des produits bio et des fruits secs. Mais, malgré le domaine de la santé qui se bat contre Nutella (un produit relativement gras et peu équilibré qui contient 75% de sucre) ainsi que les multiples tentatives de ces concurrents pour trouver de nouvelles originalités, Nutella reste le leader sur le marché, notamment grâce à ces publicités (autant à la radio, à la télévision ou dans la presse) qui visent essentiellement

venaient le déguster à la soda fountain du drugstore. Le « Brad’s Drink » devient « Pepsi-Cola » en 1898. Et c’est avec ce nouveau nom que Caleb D. Bradham dépose la marque en 1902. En 1923 le fabricant de Pepsi fait faillite à cause des prix élevés du sucre en raison de la Première Guerre mondiale. Des capitaux ont été vendus et Roy C. Megargel racheta la marque de commerce. Mais malheureusement, cela ne marcha qu’un temps, Pepsi retomba en faillite en 1931. Elle fut alors rachetée par G. Guth, le président

travailler dans ce secteur. Il possédait une affaire dans le domaine de l’épicerie. Il vendait du thé, café et d’autres produits. Il avait monté son affaire avec son fils John et celle-ci leur permettait d’avoir une vie plutôt confortable. Leur épicerie fut un succès et il développa leur gamme en proposant du vin et du cidre. Au début des années 1900, John SUMMER âgé de 70 ans a laissé sa place à son fils cadet John. Celui-ci était très satisfait du succès de son entreprise mais il cherchait

licence ou licence de plein exercice) Boissons du 4ème groupe Rhums, tafias, alcools provenant de la distillation des vins, cidres, poirés ou fruits et ne supportant aucune addition d’essence, ainsi que des liqueurs édulcorées au moyen de sucre, de glucose ou de miel à raison de 400 grammes minimum par litre pour les liqueurs anisées et de 200 grammes minimum par litre pour les autres liqueurs et ne contenant pas plus d’un demi-gramme d’essence par litre. Boissons du 5ème groupe Toutes

sur le marché de la confiserie de sucre en 2005 Page 19 Annexe 2 Part de marché de chaque segment de confiserie en 2005 Page 20 Annexe 3 La gamme « Jouets » qui accompagne les sucettes Page 21 Annexe 4 Présentation de deux projets Pages 22-23 2/23 Contexte de l’étude de cas SHUPA Le marché de la confiserie de sucre Le marché de la confiserie de sucre appartient au secteur de l’épicerie sucrée. Ce dernier est composé de 6 principales familles : sucre et épicerie pâtissière ; petits déjeuners ; pâtisserie

râpées parfois parfumées au jus d'orange, de feggous (des petits concombres longs et fins).
- Le tajine : le plat le plus répandu au Maroc. Ce n'est pas tant une recette particulière, qu'un mode de cuisson. Rarement pimenté mais toujours épicé, parfois sucré, il est préparé à base de légumes et de poisson ou de viande. Le plat familial par excellence, mais également une tradition rurale. On mange à même le plat.
- Le couscous est le plat que l'on mange traditionnellement en famille le vendredi après la

bonbons en tout | | |genres, à hauteur de 44%, les chewing-gums autour de 34% et enfin | | |les chewing-gums sans sucre | | | |

connaît les groupes Lindt & Sprüngli, Nestlé, Kraft Foods (qui possède Côte d’Or, Milka, Toblerone), Barry Callebaut, Ferrero, Mars, Cémoi, Cadbury. Ce sont les leaders de ce marché. Le cacao est le troisième marché mondial, précédé par le sucre et le café. Le chiffre d’affaires sur le marché du chocolat ne cesse de progresser grâce, notamment, à une demande de plus en plus importante de chocolat haut de gamme. Evidemment il y a des périodes plus propices que d’autres à la consommation

qualité ou une facilité d’emploi. Alimentaire : 65% des français ne consomment pas assez de fruits et légumes, en particulier les jeunes. Le consommateur identifie de mieux en mieux des critères tels que la teneur en fruit ou la notion de sans sucre ajouté. Juridique : Plusieurs normes réglementent les jus de fruits : - Norme française NF V 76-005 juillet 1986 Cette norme comprend de nombreuses généralités sur les jus de fruits sur des critères tels que la teneur, la fabrication, le produits

manger » : l’épicerie fine et les produits haut de gamme, les aliments santé, les aliments antiallergiques, les aliments « nutritionnellement corrects ». 4. L’accès à la présentation d’une sélection d’études sectorielles : le chocolat, la confiserie de sucre, les boulangeries et pâtisseries, les boissons, les grandes surfaces alimentaires. Dossier spécial industrie agroalimentaire - décembre 2010 Les débouchés hors GSA et RHF, une manne pour les industriels de l’agroalimentaire XERFI vient de publier