équilibre Entre Liberté Individuelle Et Intérêt Général

Introduction Traiter également tout le monde, c’est traiter tout le monde de la même manière, mais cela ne veut pas dire amener tout le monde à la même situation par là. En effet, du fait des différences entre les individus, il y a une inégalité de départ, une inégalité de conditions. Et un même traitement appliqué à des situations différentes ne donne pas les mêmes effets. Exemple : apprendre à lire de la même manière à tous les enfants, à égalité de traitement

attacher une force importante à la monnaie -> Population = base de la richesse donc pour accroître la richesse il faut encourager la natalité. -> Protectionnisme rigoureux : il faut cumuler la richesse -> Pré-quantativisme : niveau général des prix est lié à la quantité générale de monnaie => Accumulation de richesses Physiocrate : critique école Mercantiliste, assez libérale avant l’heure, elle va considérer qu’il existe un ordre naturel (les choses s’organisent naturellement). => Terre = richesse

Dissertation La conciliation des pouvoirs de police administrative « La liberté est la règle, la restriction de police l'exception », la formule du Commissaire du gouvernement Corneille (CE, 10 août 1907, arrêt Baldy), fait appel à tous les principes fondamentaux d'une société libérale et démocratique. Car c'est en inversant la formule qu'une société peut basculer dans l'autoritarisme et la dictature. Au sens premier du terme, la police c'est le maintien de l'ordre dans la cité.

repenser le concept de liberté. Dans une société politiquement organisée, si réaliser entièrement son humanité consiste pour l’individu à trouver le bonheur, celui-ci devient une affaire de l’État. On attend de son rôle qu’il assure la participation de ses citoyens à la vie politique, les intérêts de son peuple et qu’ils remplissent les conditions de paix, d’ordre et de sécurité. Le passage de l’homme vers la citoyenneté implique le surpassement de ses intérêts individuels au nom de valeurs communes

une conciliation entre politique et économie dans la seconde notion, quand la première serait la norme, la référence supérieure au politique ? Ainsi, existe-t-il une hiérarchie entre les deux notions ? Cette hiérarchie est-elle naturelle ou bien instituée ? Outre ces questionnements intrinsèques au sujet, que nous traiterons dans une première partie, il paraît essentiel de voir si la politique vide de tout débat économique a véritablement un sens et de percevoir les rapports entre économie et politique

effort par lequel nous essayons toujours à rechercher ce qui contribue à la préservation de notre existence. Cela signifie qu’il y aurait nécessairement un conflit entre les individus. Puisque ce conflit est inévitable, il faut avoir ce qu’on appelle l’Etat, un corps politique qui assure le bon fonctionnement de la vie active les hommes entre eux. Mais si l’Etat a un pouvoir d’organisation, il exerce par ses lois le contrôle et la domination sur l’ensemble de la société. La servitude peut se définir

britannique de philosophie et de sciences politiques a déclaré en 1967 qu’un libéral est fondamentalement quelqu’un qui croit en la liberté. D’une manière générale, les premiers écrits de philosophie politique consacrés au libéralisme datant du dix-septième siècle (avec des auteurs comme David Locke et Jean Jacques Rousseau) mettaient en avant cet attachement à la liberté comme caractéristique essentielle du libéralisme. Aujourd’hui, le libéralisme est généralement présenté comme une idéologie (au

Intérêt général et respect de la vie privée, « La vie individuelle ou domestique comporte, en effet, une multitude de menus actes qui se font hors du regard public » disait Platon dans Les Lois. Cette vie se faisant hors du regard public est ce qu’on appelle aujourd’hui la vie privée. Par opposition à la vie publique, celle-ci désigne la sphère des activités de la personne qui relèvent de l’intimité et qui doivent rester à l’abri du regard d’autrui, c’est-à-dire la vie sentimentale, les mœurs

l'avis général un système économique et social particulier , le contenu du terme renvoie à de multiples définitions , portées par des auteurs qui n'accordent pas chacun le même poids aux caractéristiques suivantes : le rôle premier du capital, qui implique la possibilité de le détenir , de l'échanger ( par ex : en bourse), de l'accumuler , de l'investir , et d'en faire libre usage selon les droits attachés au Droit de propriété ( Droit d'user et d'abuser défini par les juristes ) la liberté individuelle

ensemble de procédés susceptible d’être proposé au législateur ou effectivement utilisé par celui-ci à un moment donnée, dans un pays donné pour combattre la criminalité. La politique criminelle est donc un art difficile, elle résulte d’un équilibre entre les mesures répressives et les mesures préventives (éducation, famille) qu’une société met en œuvre pour tenter de maitriser la criminalité et les divers problèmes qui y sont liés. • Le but d’une politique criminelle Son but essentiel doit être