équivoque

mariage posthume. L’A. 171 C.C. énonce que le président de la République peut autoriser, pour des motifs graves, la célébration du mariage lorsque l’un des futurs époux est décédé après l’accomplissement des formalités officielles marquant sans équivoque son consentement. Lorsque l’autorisation du président de la République est contestée, les tribunaux judiciaires sont compétents, mais ceux-ci ne peuvent alors contrôler l’existence ou la gravité des motifs qui relèvent du pouvoir discrétionnaire

lorsqu’on parle, qu’aussitôt que le discours en exprime l’une, l’esprit y attache immédiatement l’autre. Car les définitions servent à abréger le discours, non à diminuer ou changer la pensée. Cette méthode éloigne les sophistes, les difficultés et les équivoques. Retour à l’explication du véritable ordre (« tout définir et tout prouver »), impossible à appliquer car les premiers termes qu’on voudrait définir en supposeraient de précédents pour servir à leur explication, et ainsi de suite impuissance de

Qualités affectant l’ Interrompue élément matériel La possession utile doit être Paisible (corpus) Publique Qualités affectant Non équivoque l’élément Psychologiques (animus) Conclusion : Une possession pleinement constituée (corpus et animus), utile (paisible, continue, publique et non équivoque) et non interrompue. c) Les effets de la possession utile La loi reconnait des effets juridiques à la possession Il existe 2 raisons de se procurer des effets

lors de la préparation de la chambre de noces. Il se montre impatient, langoureux, tactile. Il est coquin, mesure le lit. Son deuxième discours est fait du champ lexical de l’amoureux (charmant, amoureux, belle…). La situation de la chambre est équivoque. Malgré l’effet de mystère Figaro est très content, son discours est très rythmé, ce qui donne une pression de mouvement. Il y a là un travail de mise en scène important. Figaro est un personnage intelligent et vif d’ esprit mais là il paraît naïf

la paternité mise en avant par Merleau-Ponty, le fait d’être père est biologique et donc naturel. Mais ce qui engendre la paternité est aussi une éducation, qui est, elle, le fruit d’une culture dans laquelle nous vivons. Nos réactions sont donc équivoques car elles n’appartiennent ni à l’une ni à l’autre catégorie de façon dichotomique, mais aux deux à la fois. La culture est un phénomène personnel, l’homme se fabrique lui-même, se cultive, mûrit et vieillit. Tandis que le naturel le rapproche de

aucun problème majeur de traduction dans sa transposition d'une langue européenne à une autre. Créé par Alexander Gottlieb Baumgarten (1714-1762), le néologisme « ästhetica » paraît, du moins dans l'esprit du philosophe allemand, ne souffrir aucune équivoque, et les philosophes européens, assurés de l'étymologie grecque et acquis à son insertion dans le vocabulaire du latin philosophique, sont nombreux à l'adopter spontanément. Cependant, dès le début du XIXe siècle, la méfiance qu'il provoque est à

faut procéder à une analyse (=décomposition) des difficultés et des obstacles (en grec, probléma = obstacle) qu’il faut surmonter pour parvenir à dégager les différents sens que peut prendre une question. La question est généralement ambiguë, équivoque. Elle appelle une analyse, au sens où elle la requiert. On ne peut donc pas y répondre immédiatement ; il faut procéder à une lecture attentive et rigoureuse de tous ses éléments et de sa forme générale, en se demandant quelles réponses pourraient

d'actes matériels d'usage ou de jouissance de la chose, manifestant l'exercice d'une possession réelle ; que les actes d'exploitation d'une parcelle, notamment la mise en culture des terres et les plantations d'arbres, caractérisent, de manière non équivoque, l'intention de l'exploitant de se comporter comme le propriétaire des lieux ; qu'en décidant néanmoins que les actes d'exploitation réalisés, pendant plus de trente ans, par M. Z sur la parcelle de Mme X, tels que la culture de divers fruits, la

fait que le législateur n’a pas imposé aux parties, lors de la conclusion d’un bail dérogatoire, une référence explicite à l’article L. 145-5 du Code de commerce. La jurisprudence exige donc des parties au contrat une volonté claire et non équivoque de déroger au statut relatif aux baux commerciaux (Cass. 3e Civ., 19 mars 1986 : Rev. Loyers 1986, p 222). Dès lors, en cas d’ambiguïté du contrat, il appartient aux juges du fond de rechercher leurs intentions réelles lorsque celles-ci n’ont

titre du remboursement de sa dette extérieure », la résolution « ne privait pas cet État de ses immunités ». De plus, elle retient que, même si l'Irak a accepté une telle résolution, son acceptation ne peut « constituer pour lui une renonciation non équivoque à leur bénéfice ». La Cour d'appel a donc violé les principes et le texte susvisés. Contrairement à un raisonnement de la Cour d'appel de Paris (le 20 février 2002), la Cour de cassation permet finalement à l’État irakien de se prévaloir de son