être Chrétien Au 11ème Et 13ème Siècle

par les tribunaux, par les court de justices. Décisions qui pour certaines d’entres elles sont susceptibles d’acquérir autorité de précédent. C'est-à-dire que une décision rendu par une cours de justice qui interprete une règle ou même en pose une va etre reprise éventuellement par une autres court de justice. 3ème c’est la coutume, c’est un usage reconnu par l’ensemble du corps social et qui finis donc par acquérir avec le temps force de droit. La coutume a une grande place en droit commerciale

d’une vaste tradition juridique marquée par le pluralisme du droit : droit coutumier et droit savant (droit romain médiévale, canonique et droit médiévale). Cette tendance diversifié des sources du droit se trouve cependant atténué à compté du 16e siècle où le droit royale tend à développer une technique législative unitaire. Dans ce sens, mais avec une intention résolument rationaliste, la révolution française marque une rupture plus nette encore en imposant un nouveau système juridique fondé principalement

Rome la forme est plus importante que le fond. Il faut opérer par période historique pour connaître les sources. La périodisation la plus simple correspondrait aux régimes politiques qu’a connu Rome : la royauté avec la fondation de Rome milieu 8ème siècle jusqu’à la révolution 509 de Tarquin le superbe le dernier roi de Rome, la république c'est-à-dire l’époque classique puis l’empire. Mais cette périodisation ne convient pour les sources du droit qui évolues de manière différente. On distinguera alors

l'obligation ) c'est une sorte d'otage. Selon ces auteurs il faut ces deux éléments pour avoir une obligation complète. Seulement, ces deux éléments peuvent être séparés, en effet, il existe des dettes sans contraintes, par exemple l'obligation naturelle. Inversement, il existe des cas de contraintes sans dette, par exemple la caution peut être tenu de payer la dette d'autrui alors qu'elle ne doit rien. Dans la mesure de l'obligation il y a une distinction entre les droits personnels et

droit Introduction : Depuis toujours les historiens ont distingué dans l’histoire de la France trois périodes : * Le haut Moyen-Age (période Franc) entre le 5ème et le 9ème siècle. Deux dynasties se sont succédées : la dynastie Mérovingienne (Clovis principal représentant) qui s’essouffla vers le milieu du 8ème siècle puis la dynastie Carolingienne (Charlemagne) qui elle-même s’essouffla. * Le début de la dynastie Capétienne avec l’avènement de Hugues Capet en 987 et qui s’acheva en 1453

textes bibliques en passant de l’Inde. A force de regarder ce qui se ressemble on pouvait devenir insensible à son particularisme sa divergence et par conséquent dans les années 90 on a conçue le besoin de ne pas jeter le structuralisme amis il doit être assorti d’une recherche de source de saisir le contexte économique et sociale. Florence Dupont tire donc la sonnette d’alarme. Même le structuraliste Jean Richner au début de son ouvrage La chanson de geste essais sur l’art épique souligne l’importance

différentes provinces, celles-ci sont dépendantes les unes des autres. - Elle respecte et autorise les cultes nouveaux. Rome intègre certaines pratiques religieuses locales à son propre culte au lieu de se heurter à des cultures différentes. Au 2ème siècle, les conquêtes romaines ne profitent pas à tous. L’antagonisme entre riches et pauvres poussent à sa chute. Echec des tentatives de réformes. La solution vient du fils adoptif de Jules CESAR : Octave. La Rome impériale (27 avant J-C à 565 après

commencé à acheter des fiefs, qui sont inaliénables, et ce dès la fin du 13ème siècle. Quand ils achètent un fief ils ne deviennent pas nobles. Depuis le 13ème siècle, il y a une bourgeoisie qui s’est enrichie et qui a acheté des fiefs, qui essaie de faire croire qu’elle est noble alors qu’elle ne l’est pas. Il faut voir le monde seigneurial et féodal. Ce n’est pas le même. A) Transformation de la seigneurie. A partir du 13ème, on a des bourgeois à la tête de fiefs. Ils vont se comporter très

cultures du monde. Elle va essayer de trouver un point commun à tous les droits. Si elle en trouve un, ce sera un point de départ à une définition universelle, communes à toutes les sociétés. Par exemple, on va se rendre compte que ceux qui ont pu être nos modèles juridiques ont pu exister dans des sociétés totalement différentes (exemple avec des coutumes, hérité du Moyen-Age, elles s'étaient développer aussi en Chine). Notre propre définition du droit n'est qu'une définition relative, pas universelle

société n’avait réussi à dégager l’idée que le pouvoir devait être considéré comme un phénomène abstrait, général et systématique, c’est à dire comme une chose indépendante de celui ou de ceux qui l’exercent. L’État est donc un pouvoir indépendant de celui qui va l’exercer. Cette doctrine de l’État survivra à Rome et au cours de cette période, cette notion d’État a pratiquement disparu du territoire hexagonal entre le 9ème et 12ème siècle. On ne peut pas parler d’État dans certaines civilisations