Brouillon Cas Kana
Pouvoir de négociation client:
Le large choix d’offre de mangas accroît le pouvoir de négociation des clients qui utilisent la concurrence pour détenir une position de force. La possibilité de piratage et les multiples canaux de visionnage renforcent également la position des clients.
Pouvoir de négociation fournisseur:
On note une dépendance envers les auteurs japonais. Dès lors qu’ils ne produisent plus, on remarque une chute des ventes de mangas. Les détaillants rendent de plus la relation difficile. Ils n’hésitent pas à faire jouer la concurrence au regard du nombre de maisons d’édition. De plus, dans l’édition, les anciens fournisseurs deviennent souvent des concurrents.
Intensité concurrentielle:
Le marché est encombré par des maisons d’édition de notoriété importante. Ainsi, des géants comme Glénat ou Pika détiennent respectivement 24% et 13,3% des parts de marché. Le marché comporte entre 1987 et 2009 pas loin de 24 distributeurs. De plus, Kana grâce au groupe Media Participation devient leader avec 25% des parts de marché en volume. Cependant, la loi « hang » limite tout de même la concurrence par les prix.
Produits de substitution:
Il existe trois produits principaux de substitution aux mangas:
- les BD franco-belges
- les livres numériques
- les livres audio
Menaces des nouveaux entrants:
La principale menace est l’accès au marché des distributeurs non spécialisés (Kindle, Amazon…). Il y a également les rachats par les sociétés étrangères tels que Kaze Edition.
Analyse PESTEL
Politique:
La loi de l’audiovisuel favorise les productions françaises et européennes. De plus, une autorisation sur les chaînes du câble afin de diffuser de la publicité est apparue, on assiste à un effet de « bestsellerisation ». La loi « Hadopi » qui vise à protéger les droits d’auteur et donc à supprimer les téléchargements est un renfort de plus.
Economique:
De 1990 à 2009, les ventes ont augmenté sans cesse. Le manga est un moteur de