Christophe colomb
Argument principal 1 Tout d’abord, les Français sont présentés de la même façon, car leur supériorité est mise de l’avant.
Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans le récit de Jacques Cartier, Voyages en Nouvelle-France, les Français font abstraction d’une nation déjà en place lorsqu’ils plantent la croix. Dansle Dialogue de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, Lahontan soutient que les Européens vivent mieux que les Amérindiens.
Illustration 1.1 Illustration 1.2 « Et cette croix, la plantâmes sur ladite pointe devant eux, lesquels regardaient faire et planter. » (l.7) « il me semble que ton goût et ton discernement sont bien sauvages, de ne pas trouver l’état des Européens préférable à celui des Hurons. » (l.18-19)
Explication 1.1 Explication 1.2 Le fait de planter et prendre possession d’une terre étrangère sans demander la permission à autrui démontre que les Français prennent tout pour acquis que l’endroit leur appartient désormais. Lahontan met en évidence que le mode de vie des européens est de loin supérieur à celui des Hurons. De plus, il fait preuve de dédain envers les Hurons puisqu’il va même jusqu’à dire que le jugement de Adario est « sauvage ». Cette métaphore met en évidence son snobisme, sa supériorité.
Argument principal 2 D’un autre côté, lorsqu’on analyse plus attentivement les textes de Jacques Cartier et du baron de Lahontan, les Français n’ont pas la même technique de persuasion.
Sous-argument 2.1 Sous-argument 2.2 En ce qui concerne le récit de Jacques Cartier, le capitaine réussit à convaincre le grand chef des Sauvage en se servant de sa ruse. Dans le texte de Louis-Armand de Lom D’Acre, Lahontan fait usage de la discrimination pour persuader Adario.
Illustration 2.1 Illustration 2.2 « Et après qu’il eut fini sa dite harangue, nous lui montrâmes une