Commentaire
Dans ce corpus, les textes ; dom juan de Molière, Le mariage de figaro de Beaumarchais et Electre de Giraudoux sont des œuvres théâtrales traitant des relations amoureuses.
Comment les auteurs rendent-ils ces scènes comiques ?

Tout d’abord, on peut observer dans ces textes une manière avec laquelle les auteurs rendent la pièce comique. En effet, dans le texte A, Sganarelle est pris dans une sorte de quiproquo, un comique de situation, son maitre lui demande de témoigner à Done Elivre une histoire dont il ignore tout. Dans ce passage la réaction de ce personnage devient comique car le spectateur ou le lecteur sent à quel point Sganarelle est désemparé, il ne sait pas quoi dire, il est pathétique. On assiste aussi à ce genre de scène dans le passage du Mariage de Figaro. La Comtesse et Suzanne font culpabiliser Le Comte, car il accuserait à tort sa femme. Il se fait avoir et s’excuse même de s’être emporté « Pardon, je suis d’une confusion !... » Ici elles tournent au ridicule le personnage du Comte, avec un effet comique puisque celui-ci ne se rend pas compte de la supercherie.
Ce malentendu est aussi présent dans le Texte C, en effet, Agathe tente de faire croire à son amant qu’elle n’a pas d’autre amant, alors que c’est le cas. Dans ces paroles, ligne 51, on voit bien le mensonge, et la façon donc la qu’elle cette femme a du mal à mentir, « pas du tout. Ah ! Si j’en souffre ? A mourir ! A mourir ! » Ici elle tente de rattraper son histoire, elle doit convaincre son amant, alors qu’elle-même n’en est pas convaincue, ceci devient encore plus comique lorsqu’elle tente de changer de sujet, « Embrasse-moi, chéri. ». La situation dans la qu’elle se trouve Agathe prête au comique, en effet elle tente de se défendre, des accusations de son amant, avec des arguments peu convaincants ; « j’avais pris une entorse » « je n’ai jamais aimé que toi ! » ces deux phrases montrent sans difficulté de compréhension, le mensonge, dans les paroles d’Agathe. Le