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Introduction :
Ce texte traite de la déficience de l’aptitude d’apprentissage. Nous pouvons voir que dans le texte l’auteur demande s’il est possible d’apprendre à philosopher ? Le professeur qu’est Kant va donc défendre sa thèse qui est une réflexion sur la comparaison des mathématiques, de l’Histoire avec la philosophie. Il met donc en jeu la notion éducative car il remet en cause le système scolaire au sujet de l’enseignement de la philosophie. Il la rédigera en défendant tout d’abord, puis en faisant une antithèse et finira par conclure sa thèse…
I. La thèse de l’auteur
Les adultes ont mois de difficultés à philosopher que les jeunes. Ce qui d’après le texte s’expliquerai par le fait que l’adulte est prédisposé à se poser des questions, alors qu’au contraire la jeunesse ne se questionne pas, ils sont encore très scolaire, comme nous pouvons le voir avec « l’étudiant qui sort de l’enseignement scolaire est habitué à apprendre » (ligne 3), par « habitué à apprendre » il faut comprendre que les professeurs donne aux élèves la coutume d’acquérir un ensemble de connaissances. Ne pas se questionner revient donc à ne pas philosopher, car il s’agit dont de construire un problème en interrogeant ce que l’on n’interroge pas, questionner serai donc un art que les adultes ont plus de facilités à manier que la jeunesse. L’aptitude à philosopher serait donc une disposition naturelle chez l’adulte. Ce qui semble normal car la jeunesse a moins d’expérience que l’adulte qui est sensé être un homme responsable et raisonné. Les jeunes ont toujours été appris à apprendre, or, le texte démontre que l’on n’apprend pas à philosopher, on peut apprendre à se questionner. Les adultes ayant quitté le milieu scolaire depuis un certain temps et leur expérience réussissent à se poser des questions et donc à penser, raisonner et discuter sur des thèmes philosophiques sur un sujet quelconque. L’auteur parle d’une aptitude qui est moins exercée par la jeunesse,