Le barbier de séville

1377 mots 6 pages
Introduction : Dans sa comédie du 18ème siècle intitulé « le barbier de Séville », Beaumarchais met en scène l’histoire d’un barbon trompé par sa pupille. Rosine, jeune orpheline est séquestrée par le docteur Bartholo, vieux tuteur jaloux qui prévoit de l’épouser. Le comte Almaviva qui est tombé sous le charme de Rosine, entreprend de la séduire en allant loger dans Séville, où il y retrouve par la même occasion son ancien valet Figaro. Celui-ci lui raconte les mésaventures dont il à été victime depuis leur dernière entrevue. De tous ses malheurs Figaro en tient cette philosophie qui lui est propre « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer. ». C’est le jugement de Figaro qui s’attache à toujours être supérieur aux évènements. Il traite par le rire, la dérision et l’humour tout ce qui pourrait ce mettre en travers de son chemin et lui causer du tort. Cette réplique tiendrait à montrer que l’humour est une sorte de remède universel à tous les maux. On en vient alors à se demander cette philosophie peut s’appliquer à l’ensemble de la pièce ou si elle doit être modéré par les évènements tragique qui sont présent dans l’œuvre. En quoi cette pièce confirme t’elle la philosophie de Figaro ? Néanmoins certains personnages ou situations ne doivent elles pas nous alarmées ? Faut-il avoir connu le malheur pour pouvoir rire de tous ?
Développement :

Partie I
C’est sur la philosophie de Figaro que cette œuvre est essentiellement basée. C’est effectivement par le rire que Beaumarchais réussi à traité des situations dramatiques. Ce rire nous est d’abord communiqué par le caractère de certains personnages. Notamment par ceux de Figaro est Rosine qui sont dépeint comme des individus de nature gaie et joyeuse. Figaro est caractérisé comme étant brillant et vif, il manie bien le langage se qui lui permet de tourné en dérision tous se qui pourrait l’atteindre au moral. Sa gaieté se traduit aussi par son ivresse du langage, que nous pouvons observer au

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