Le droit du plus fort
Il précise que chaque personne doit renoncer à ses droits particuliers pour que le peuple profite de droits collectifs, et par conséquent d’une liberté pour tous.
Une organisation juste repose sur le fait qu’il y ait une « loi » garantissant la liberté et l’égalité pour chacun.
Si chaque personne respecte individuellement ce pacte, alors ce sera bénéfique pour tout le peuple.
Ainsi le droit du plus fort n’est pas profitable pour tous, car il s’agirait d’entraver sur les droits de tous.
En renoncant à ses droits individuels, chaque citoyen permet de faire fonctionner la société en profitant aux libértés de tous.
Le citoyen doit s’alliener au pouvoir de la société, de cette manière tous les citoyens ont le même devoir qui est de respecter ces règles, respecter ces lois et respecter par conséquent ce contrat social. En se privant de ses libertés particulières, ils sont tous égaux et par conséquent obtiennent en retour les mêmes droits
Pour le bon fonctionnement de la société il faut donc une autorité souveraine
Soumettre la puissance au droit et faire que la justice soit forte implique une démystification de l’expression mal formée « droit du plus fort » qui aligne deux ordres hétérogènes : celui de la réalité physique et celui de la moralité. Pour Rousseau, nul n’est vraiment maître en raison de la réalité physique, on doit s’appuyer sur la réalité morale : « transformer la force en droit » et « l’obéissance en devoir ». L’expression «