L’école permet d’encadrer l’enfant dans son évolution sociologique. Cependant, le décrochage scolaire est une situation présente chez les élèves québécois. Mario Richard, professeur en éducation à la Teluq, fait une entrevue dans laquelle il répond à la question suivante : Que devrait-on faire dans les écoles pour diminuer le taux de décrochage scolaire au Québec ? ». À cette question, je composerai mon texte issu de son argumentation. Tout d’abord, une brève description de la situation de l’enseignement dans les écoles, ensuite des méthodes pour résoudre le décrochage scolaire, finalement je donnerai mon point de vue sur ces méthodes.

La pression sociale qui est exercée sur l’école fait en sorte que de nos jours, il est plus difficile pour un enseignant d’enseigner dans les écoles secondaires au Québec. La pression se fait de façon constante sur les enseignants étant donné qu’ils sont le contact direct qu’a le parent de l’élève avec l’institution. L’enseignant constitue le messager du parent, du moins pour celui-ci. Le travail des enseignants est moins valorisé par la société. Il est souvent critiqué et peu reconnu. Pourtant, il est le mieux placé pour pouvoir aider l’enfant dans son développement éducatif et ainsi réduire le taux de décrochage scolaire.

Afin de réduire le taux de décrochage scolaire, il faudrait outiller davantage les enseignants de manière efficace. Entre autres en ce qui concerne les stratégies d’enseignement. Il faut qu’elles soient plus structurées et variées et que les enseignants soient formés adéquatement. D’ailleurs les américains ont réalisé que les réformes les plus efficaces sont celles qui sont concentrées sur les changements au niveau des enseignants. Il faut rendre l’enseignement moins individualiste afin de favoriser l’apprentissage. Les écoles franco-ontariennes utilisent une méthode efficace. En effet, les enseignants se regroupent afin d’analyser les résultats des élèves, ensuite il travaille afin d’améliorer la