Marketing bancaire
L’émergence du marketing des services apparaît dans les années 70’s. Avant, aucune distinction ne se faisait entre le marketing des biens et celui des services. Maintenant on prend aussi bien en compte le B2C que le B2B. la diversité des secteurs de service en fait sa diversité. Ça peut aussi être des petites entreprises détenues par des simples personnes et opérant localement comme les taxis, les coiffeurs, les laveries, les restaurants. Beaucoup de services concernent la distribution, la livraison, le stockage, la réparation d’ordinateur, les imprimeries, le développement de photos qui sont aussi considérées comme des entreprises de services. Il y a aussi des organisations à but non lucratif. Le but est de générer des profits.
Vers la fin des 70’s, la question fondamentale sur sa légitimité en tant que discipline marketing est posée. Le marketing des services se fait critiquer, il ne serait qu'un cas particulier du marketing, une application du principe de base du marketing parmi d’autres. Ça ne serait en aucun cas un paradigme spécifique.
En 1977, Lynn Shostack, la vice-présidente de City Bank a écrit un article en affirmant qu'une application pure et simple des régis du marketing des produits de consommation au domaine des services conduit souvent à l’échec. Des auteurs font admettre que les services diffèrent des produits sur plusieurs caractéristiques, ce qui rend nécessaire la mise en place de nouveaux concepts et nouveaux outils. La question du marketing des services est ainsi développée en 1979/1980.
Il ne s’agit pas de faire croire que le marketing des services est unique et différent mais que simplement, les services, par leurs spécificités, méritent une démarche et des outils adaptés.
En tant que consommateurs, nous utilisons tous les jrs des services (allumer la lumière, écouter la radio, prendre le bus, etc.)
Service = bien immatériel – action ou prestation offerte par une partie à une autre. La prestation est transitoire