Marketing pour les enfants
⇒ L’enfant est né avec la publicité. Il déjoue à merveille les codes publicitaires
⇒ Pour Françoise Dolto, l’enfant à partir de 8 ans, s’il est élevé sainement, est plus critique que ses propres parents
⇒ L’enfant est blasé, clairvoyant, plus rapide en compréhension auj.
⇒ Oui l’enfant est influençable, mais attention il y a de bonnes et de mauvaises influences ! Et on peut tirer profit d’une mauvaise influence
⇒ L’enfant a développé une certaine immunité
⇒ L’école, la cour de récréation, les amis, la famille, les activités extra-scolaire et tous les autres lieux et moments où vit l’enfant suscitent tout autant en lui des désirs de consommation, des frustrations et des besoins que les actions marketings. Donc il faudrait sortir de l’économie de marché pour stopper toute influence, et même sortir de la sphère sociale (autrui est également une influence)
⇒ Il n’y a aucun risque si l’enfant est éduqué à une consommation responsable et il doit l’être !
⇒ Ce que produit le marketing, notamment les spots pubs sont moins néfastes que certaines fictions, clips ou films diffusés sur des chaînes pour enfants
⇒ le GRREM (groupe de la recherche sur les relations entre les enfants et les médias) affirme dans son étude réalisée en 2001, qu’on ne peut pas affirmer que la publicité est dangereuse pour l’enfant, car il n’y a pas à ce jour d’étude suffisamment avancée !
⇒ selon l’union des annonceurs (UDA) étude menée en nov. 2001, la durée d’écoute de la publicité télévisée des 4-10 ans est inférieure de 30% à celle des 15 ans et plus. Par ailleurs la pub s’adressant directement aux enfants pour des produits qui leurs sont directement destinés ne représentait à cette date que 610 millions d’euros, soit 5 % des dépenses publicitaires en France.
⇒ Il n’y a pas de danger, le marketing peut légitimement cibler les enfants : le CSA effectue un contrôle attentif des spots télévisés → il y a