Virgin sur le marché des biens culturels : Analyse PESTEL Politique Fermeture des points de vente physique ?

Mais également une hausse du taux de TVA sur les biens culturels qui représente une mesure inattendue et néfaste pour la création et la diffusion des œuvres. ? Economique La distribution physique de biens culturels est entrée dans une phase de crise caractérisée par une baisse des ventes physique. Celle- ci est entrainée par la mutation du marché des biens culturels sur internet caractérisée par une progression continue du commerce électronique qui conduit à un basculement progressif du marché vers les contenus numériques, favorisé par la multiplication des offres, la diversité des modes d’accès et des modèles de tarification. La révolution numérique donne alors naissance à un nouveau circuit de distribution – le commerce électronique. Et a ensuite rendu possible la dématérialisation des contenus culturels qui deviennent des concurrents directs des supports physiques que sont le CD, le DVD, le livre,… Socioculturel On constate une évolution des pratiques de consommation de biens culturels qui se tournent de plus en plus vers le e commerce répondant à un besoin de mobilité et une recherche de praticité. On voit alors apparaitre de nouvelles pratiques d’achat de biens culturels et une évolution de ses modalités d’usage et de consommation. Cependant le processus de dématérialisation se trouve freiné par l’attachement d’une partie importante des consommateurs aux supports physiques. De plus, on aperçoit de nouvelles pratiques qui portent atteintes au commerce physique de biens culturels, à savoir le téléchargement illégal.

Technologique Le commerce physique des biens culturels (musique, livre, jeu et film vidéo) entre dans le contexte de la révolution numérique caractérisée par une évolution technologique importante et l’essor de l'internet. Environnemental Les entreprises ont des