Plan phèdre
Introduction
Sujet amené :
En particulier dans le XV11e siècle, le danger de la passion commence à se faire ressentir de plus en plus par les spectateurs du théâtre classique. L’amour est associé aux ambiguïtés de la condition humaine.
Sujet posé :
Avec plusieurs tragédies incomparables, Jean Racine connaît un grand succès. Notamment avec Phèdre, qui fut montré au grand public en 1677. Cette œuvre évoque principalement les déchirements que l’amour peut provoquer. Cette fois-ci, entre une femme éprise d’une passion malsaine pour le fils de son mari.
Sujet divisé :
Premièrement, Phèdre se comporte de manière différente face à son beau fils afin de se défaire de cet amour pour lui qu’elle ne supporte point.
Deuxièmement, cette passion interdite la pousse à s’anéantir.
Développement
Idée principale 1 :
Dû au secret que Phèdre garde en elle depuis belle lurette, elle ne fut plus elle-même afin que l’amour lui échappe pour se décliner en rancœur.
Idée secondaire 1 : Suite au passé, Phèdre donne une raison d’être à son comportement détestable face à l’homme qu’elle aime véritablement.
Citation : « Toi-même en ton esprit rappelle le passé : c’est peu de t’avoir fui, cruel, je t’ai chassé; j’ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; pour mieux te résister, j’ai recherché ta haine.» (l.54 à 57)
Explication : Gradation : La transition de cruel, odieuse à inhumaine exprime sa culpabilité face à son comportement inapproprié du a sa passion déchirante. Antithèse : Afin de ne plus l’aimer, Phèdre rechercher la haine de son aimé.
Idée secondaire 2 : Les actes de Phèdre la rempli de regret.
Citation : «Tremblante pour un fils que je n’osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : faibles projets d’un cœur trop plein de ce qu’il aime!» (l.66 à 68)
Explication : Allégorie : Ses «faibles projets» représente des actes minimes pour un amour qu’elle éprouve à un maximum.
Idée