I – Un dictateur cruel

Volonté de puissance. Ce qui fait son caractère.( principal trait )
Cruauté: pas de sentiments. Pas de pitié. Pas d'indulgence.
Autrui: obstacle, ou danger. Exemple: interprète qui a assisté à toutes les réunions: Staline lui dit: « Tu en sais trop long, toi! J'ai bien envie de t'envoyer en Sibérie. ».
"[Staline parlant à De Gaulle] Ah ! Ces diplomates. Quels bavards ! Pour les faire taire, un seul moyen : les abattre à la mitrailleuse.
Staline = « communiste habillé en maréchal, dictateur tapi dans sa ruse. »
En réalité, Staline est quelqu'un qui n'hésite pas à imposer à son pays « une dépense inouïe de souffrances et de pertes humaines »
De Gaulle dévoile une sorte de fascination pour Staline, malgré la cruauté de ses actes. Par exemple, il évoque « son charme ténébreux ». C'est un dirigeant « hors-normes » par sa volonté de puissance et sa cruauté. De Gaulle voit en lui « un conquérant à l'air bonhomme » prêt à tout pour parvenir à ses fins.

II – Un ardent négociateur

Staline, selon de Gaulle est en mouvement perpétuel, s'animant brusquement après s'être immobilisé.
Brutalité et mépris envers les Polonais réfugiés à Londres, Chantage envers de Gaulle: s'il signe le traité franco-russe, il reconnaitra le Comité de Lublin.
Grand acceuil en même tps à de Gaulle. « Frustre bon sens »
De Gaulle voit la scène du buffet d'une manière « tragi-comique »: gestes forcés envers ses collaborateurs, « je te salue ». assistance face à lui = silencieuse, rigide. BUT = impressionner les français. Veut mettre sa grandeur en