L’aliment comme élément d’identité culturel dans le processus migratoire.

L’aliment peut être considéré comme un élément culturel. C’est une affirmation réel en tant que l’homme est-il omnivore mais il ne mange pas la même nourriture dans tous les cultures. En effet il y a une prédilection de certaines aliments et le rejet d'autres différents de leur propre origine culturelle. Chaque culture a un code de conduite alimentaire qui favorise certains aliments et interdit d'autres, le code est déterminé par les composantes géographique, environnementaux, économiques, historiques et nutritionnelle qui caractérisent la culture elle-même.
Aujourd'hui plus que jamais la nourriture cesse d'être attribué à un besoin physiologique, il devient une nécessité culturelle. Quand une personne se trouve en contact avec une culture différente elle ressent le besoin de se mettre à l'abri dans leur propre culture, de rester ancré à leurs propres traditions et coutumes.
La migration vers un pays étranger implique non seulement un changement territorial mais aussi et surtoutun voyage vers une culture autre. Lorsque nous parlons de migration doivent comprendre que enrelation à des époques passées où ce changement était dû à des raisons étroitement liées à la nourriture et sa disponibilité. Dans le contexte actuel la nature de la migration est plutôt une orientation socio-économique et politique: il ne s’agit plus d’un voyage causé par le manque de nourriture, mais plutôt il est causé par la volonté de se joindre à une réalité qui permet de meilleurer ses conditions de vie.
La décision de migrer est pondérée, est un projet dans lequel la personne doit investir de l'énergie et des ressources pour l’amélioration attendue de la situation économique et sociale.Quelles que soient les motivations qui poussent les personnes à se déplacer de leur pays d'origine sont toujours légitimées. Ce phénomène a toujours de conséquences traumatiquesparce que liéà la privation de tout ce qui