Albert Cohen

Le souvenir est une étape obligatoire dans l’écriture d’une autobiographie afin de parler de son enfance. C’est ainsi que les écrivains comme Jules Vallès avec l’enfant, Michel Leiris avec l’âge d’homme, Albert Cohen avec Le livre de ma mère et Jean-Jacques Rousseau avec Les confessions nous on raconté avec intensité l’un de leur souvenir d’enfance. Nous verrons que par l’intensité du vocabulaire employé, de par la description faite et de l’état du personnage mais aussi par la place accordée au

Albert Cohen : Le livre de ma mère Intro Générale : Albert Cohen poète et dramaturge suisse après avoir publié Paroles Juives en 1921 décide d’entreprendre le récit de sa vie dans Le livre de ma mère . Il y insert des instants clefs passés avec sa mère qui atteint une portée universelle. Partielle : Cet incipit forme une sorte de préambule : le narrateur ne raconte rien, n’entame pas encore son récit rétrospectif (il commence au ch. II) dont le sujet n’est précisé qu’indirectement, au détour

Compte rendu 1. Le texte est rédigé à la première personne. L’auteur, Albert Cohen est lui-même le narrateur de ce récit autobiographique rédigé au passé. L’emploie du lexique du souvenir est assez fréquent : « Je me rappelle… » « {…} Albert envoie aujourd’hui… » 2. Le temps majoritairement employé par le narrateur est l’imparfait. Le fait qu’il évoque des souvenirs de son enfance passés à l’école des soeurs justifient l’emploie de ce temps 3. Lorsqu’il décrit le moment du déjeuner, il

première fois qu’Aurélien vit Bérénice » jusqu’à « — Bizarre qu’il se sentit si peu un vainqueur. », in « Leurs yeux se rencontrèrent… » : Les plus belles premières rencontres de la littérature », Folio 2€, pp.52-54 ► Document B – Belle du seigneur, Albert Cohen de «  Assise au bord du lit, elle grelottait dans sa robe du soir » jusqu’à « Notre premier baiser, mon amour. », ibid, p.55-57 A - Question de synthèse (4 points) Dans un développement soigneusement rédigé et structuré (cf. méthode)

Certes, Albert Cohen a sans doute raison - ou peut-être sommes-nous tous deux de grands pessimistes… - lorsqu’il écrit dans Le Livre de ma mère : « Chaque homme est seul et tous se fichent de tous et nos douleurs sont une île déserte. »Cependant l’écriture d’un tel texte vient tenter de dépasser quelque peu cette incommunicabilité de la douleur. Le lecteur peut-il ne pas éprouver une sincère compassion pour l’homme Eluard (ô vous frères humains », écrivait d’ailleurs le même Albert Cohen, reprenant

auteurs mais du même genre : le roman. Nous verrons tout d'abord les portraits physiques des différents personnes puis nous étudierons leurs portraits moraux. Tout d'abord, nous avons des portraits physiques extrêmement péjoratifs, Dans le texte de Albert Cohen, nous pouvons relever une description péjoratif de Mangeclous avec différents termes tels que à la ligne 1 à 3 :«maigre », « barbe fourchue », « pieds nus », « fort sales », « veineux », « poilus », «effrayamment écartés». Ici, nous avons une description

Nous allons étudier dans ces trois texte présents dans ce corpus, un extrait du chapitre III de Honoré de Balzac La duchesse de Langeais écrit en 1834, un extrait de Marcel Proust La prisonnière écrit en 1923 et un extrait du chapitre LXXXVII de Albert Cohen Belle du Seigneur écrit en 1968. Ces trois livres de corpus sont des romans du XIXème et XXème siècle. Qui abordent tous le thème du romantisme et de l’amour. Parmi ces trois textes de corpus qui sont donnés, quelle vision de la relation amoureuse

Belle du Seigneur est un roman de l'écrivain suisse francophone Albert Cohen publié en 1968. Belle du Seigneur, dont la rédaction commencée dans les années 1930 a été interrompue par la Seconde Guerre mondiale, a longuement été repris, corrigé, augmenté. Le roman a été finalement publié par les éditions Gallimard en 1968 à contre-courant des œuvres de l'époque. Certaines scènes burlesques ont été retirées du livre à la demande de l'éditeur Gaston Gallimard puis publiées séparément sous le titre

rêveur. Dans ce contexte, le succès de la Belle du Seigneur est impressionnant notamment pour sa réflexion sur la psychologie amoureuse. Albert Cohen est un poète, écrivain et dramaturge français. En 1968, il termine son livre qui est qualifié de "chef d'oeuvre absolu". On pourrait dire que celui ci s'apparente au réalisme, seulement, le problème de Cohen est que, contrairement à un auteur comme Stendhal que nous pouvons facilement qualifier de réaliste, c'est qu'il va justement à contre-courant

pour connaitre la vérité sur son auteur. Cette identité satisfait également le goût du secret du lecteur, puisqu’il il a l’impression de pénétrer dans l’intimité de l’auteur, qui se dévoile dans toute sa vérité. Dans Le Livre de ma Mère d’Albert Cohen, on a l’impression de connaitre, ses pensées, ses impressions, ses sentiments. Il exprime tellement son amour pour sa mère, qu’on peut presque l’éprouver, il parle également de remords, d’une façon très touchante, on voit bien qu’il a honte de son