Antoine Galland

découverte en Occident par le Français Antoine Galland qui, à partir d’un recueil en arabe d’auteur inconnu, publie le premier volume de ses Mille et Une Nuits en 1704. Devant le succès que rencontrent ces contes, il écrit ensuite, jusqu’en 1717, onze autres volumes. C’est le cas en particulier des récits qui ont pourtant connu la popularité la plus grande: • Aladin et la lampe merveilleuse • Sindbad le Marin • Ali Baba et les quarante voleurs Antoine Galland est né vers 1646 en France, et mort

Nuits sans Antoine Galland. Comment ne pas essayer de l’imaginer, lui, l’homme de l’imaginaire, et qui sait ? de capter à notre tour celui qui nous tient si captifs par son œuvre maîtresse ? Antoine Galland, que sait-on de lui, en fait ? Célébrité et invisibilité Hors l’énorme travail scientifique, conduit par Mohamed Abdel Halim’, nous possédons peut-être aussi, de Galland, un tableau, découvert à la Bibliothèque Nationale. Mais est-ce bien le visage d’Antoine Galland ? Il s’agit

Les Mille et une Nuits De Galland à l’époque contemporaine Antoine Galland (16461715) Les Mille et une Nuits Modello di flipper Williams Tales of the Arabian Nights Shéhérazade et Shahriyar L’auteur des Milles e une nuits • Voilà des siècles que l’on cherche l’auteur des contes des Mille et une Nuits • On a soutenu que les Nuits se disaient, qu’elles ne s’écrivaient pas, qu’elles se racontaient le soir à la veillée, qu’elles se transmettaient par la bouche des conteurs, qu’elles étaient

tout le monde connaît. Mais il faut voir ce qui se cache derrière cette œuvre. Le recueil reçut sa forme définitive entre le xiie et le xive siècles avant d’être découvert en Europe, au xviiie siècle, grâce à la traduction française d’Antoine Galland. Ce sont des histoires merveilleuses, venues d’Inde, de Perse, avec des ajouts arabes, transmises par la parole, de conteur en conteur, embellies et adaptées. L’œuvre s’ouvre sur un récit-cadre : pendant mille et une nuits, Shahrâzâd raconte à

Voleurs (titre complet : Histoire d’Ali Baba, et de quarante voleurs, exterminés par une esclave) est une histoire d'origine arabe. Il s'agit d'un récit que l'on présente souvent comme faisant partie des contes Mille et Une Nuits traduits par Antoine Galland en 1701, bien qu'il n'ait jamais été présent dans les manuscrits initiaux mais à leurs côtés1. Résumé Ali Baba est un pauvre bûcheron. Un jour, alors qu'il coupe du bois, il entend des voix : il se cache dans un arbre où il entend le chef des

liberté à Morgiane et la donne en mariage à son fils. Ali Baba est ainsi la seule personne à connaître le secret du trésor dans la grotte et le moyen d'y accéder. L'histoire finit bien pour tous, à l'exception de Cassim et des quarante voleurs. Antoine Galland naît vers 1646 à Rollot en Picardie, France Il devient orientaliste, spécialiste d’histoire, de manuscrits anciens, de langues orientales et de monnaies, habitué de la Bibliothèque royale, antiquaire du roi, académicien et, pour finir, lecteur

Contes Arabes Traduits par Antoine Galland (1646-1715) Les Mille et Une Nuits TOME PREMIER Éditions Garnier frères, Paris, 1949 Un document produit en version numérique par Jean-Marc Simonet, bénévole, professeur retraité de l’enseignement de l’Université de Paris XI-Orsay Courriel : jmsimonet@wanadoo.fr Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" Site web : http ://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet

à l’ensemble de la classe. 1) Au CDI, cherche des documents concernant Antoine Galland et présente ce traducteur des Mille et Une Nuits à tes camarades. 2) Construis un axe chronologique sur lequel tu noteras les dates repères du Moyen Âge. Sur cet axe, indique en rouge les dates essentielles depuis l’apparition des premiers contes jusqu’au XVIIIe siècle, date de la traduction des Mille et Une Nuits par Antoine Galland. 3) Recherche sur le site Internet www.histgeo.ac-aixmarseille.fr/carto/

[Introduction] Avec la traduction des contes des Milles et Unes Nuits pas Antoine Galland, l’univers du conte Oriental revient très à la mode en France au 18ème siècle. Figure emblématique et grand philosophe du siècle des Lumières, souvent réprimandé pour ses satires de la société Française, Voltaire (1694-1778), publie Zadig en 1747. Dans ce cet ouvrage, il utilise la forme traditionnelle du conte pour en faire un conte philosophique amusant et sérieux à la fois, derrière l’univers exotique

lettres de l'Université de Neuchâtel où elle ne trouve cependant pas son compte. C'est alors qu'elle publiePour mourir en février aux Éditions des « Cahiers de la Renaissance vaudoise » (1970) que dirige Bertil Galland. Le roman connaît un succès immédiat et sera réédité par les Editions Bertil Galland (Vevey, 1975) puis par les Éditions 24 Heures (Lausanne, 1984), avec une édition « Poche Suisse » aux Éditions l'Age d'homme (Lausanne, 1988). En 1969, elle s'engage comme stagiaire-journaliste à La Feuille