Arret Crim 4 Janvier 1978

(peine d'emprisonnement, peine d'amende, peine d'interdiction (ex : interdiction de faire du commerce, interdiction d'exercer une profession). Le juriste d'entreprise doit être la pour aider le chef d'entreprise L'étude du droit pénal se divise en 4 matières principales : 1 ) Le droit pénal général, dans lequel on trouve les principes et les notions fondamentaux du droit pénal (le principe de la légalité, l'application du droit pénal dans le temps, dans l'espace, les différentes conditions des

responsabilité de l’administration n’est ni générale, ni absolue, et elle déroge aux règles du droit privé. • CE, Cadot, 13 décembre 1889 : suppression du dernier lien entre l'administration et le juge : le Ministre Juge. • CC, Conseil de la concurrence, 23 janvier 1987 : formule un nouveau PFRLR consistant à déterminer ce qui dans la compétence des juridictions administratives leur est reconnue par le bloc de constitutionnalité. Il s'agit de la compétence pour les recours tendant à l'annulation ou la réformation

meilleure en la matière. Ainsi, la France n’a pas eu à transposer la directive, d’autant que la loi française était plus sévère. Un arrêt de la Ch. Crim. de la CCass du 27 mars 1996 rappelle d’ailleurs que « la directive ne fait pas obstacle aux Etats membres de maintenir des dispositions visant à assurer une protection plus étendue des consommateurs. » Récemment la loi du 3 janvier 2008 pour le développement de la concurrence au service des consommateurs dite loi Chatel est venue modifier le code de la consommation

la matière. Ainsi, la France n’a pas eu à transposer la directive, d’autant que la loi française était plus sévère. Un arrêt de la Ch. Crim. de la CCass du 27 mars 1996 rappelle d’ailleurs que « la Directive ne fait pas obstacle aux Etats membres de maintenir des dispositions visant à assurer une protection plus étendue des consommateurs. » Récemment la loi du 3 janvier 2008 pour le développement de la concurrence au service des consommateurs dite loi Chatel est venue modifier le code de

libertés dans l'État serait une définition incomplète. Sommaire * 1 Les textes français fondamentaux * 2 La dignité de la personne humaine * 3 Le droit à la vie * 3.1 Une notion difficile à définir * 3.2 Les conditions d'exercice * 4 L'interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants * 4.1 Définitions * 5 L'interdiction de l'esclavage, de la servitude et du travail forcé obligatoire * 5.1 L'esclavage * 5.2 Le travail forcé

d'entreprise central de Sacilor et le comité d'entreprise de Tréfimétaux sont convoqués le 25 septembre pour le 29 afin d'êtres informés de la restructuration envisagée.   Le traité de fusion et les statuts de la nouvelles société Tréfitube sont arrêtés par les conseils d'administration des sociétés fusionnantes le 5 novembre, mais aucune documentation n'est soumise aux comités réunis les 27 et 28 novembre, elle n'est remise que le 10 décembre pour une ultime réunion le 17 décembre. Le comité central

3 des infractions -> sanctions plus graves ; loi du 9 octobre 1981 : suppression de la peine de mort ; loi du 10 juin 1983 : création du travail d’intérêt général comme substitut à l’emprisonnement…) C- Le nouveau code pénal et ses suites En 1978, avant projet de code pénal prêt à être soumis au Parlement. 1981, changement de majorité, repréparation d’un nouveau projet présenté au Parlement. Chaque majorité change le texte. En 1988, on décide d’adopter le texte le plus consensuel possible

droit pénal du travail : Continuité et rupture », Rev. sc. crim. 1992, p. 475 et s. - D. MAYER, « L’influence du droit pénal sur l’organisation de la sécurité dans l’entreprise », D. 1998, chron. 256. - G. ROUJOU DE BOUBÉE, « Mise en œuvre du principe selon lequel nul n’est responsable pénalement que de son propre fait », D. 2000, somm. 113. - E. DREYER, « L’imputation des infractions en droit pénal du travail », Rev. sc. crim. 2004, n° 4, p. 813 et s. - Les étudiants du Master 2 « droit pénal

Travail à faire pour la 1ère séance : - Faire la fiche de l’arrêt Crim., 2 décembre 2003 (reprographié ci-dessous). - Faire les cas pratique avec des raisonnements juridiques. S’agissant de la première séance, la méthodologie sera reprise lors de la correction. I- Le début de la personnalité juridique - Ass. Plén., 29 juin 2001, Bull. civ., n°8 (la conception de l’enfant) - Crim., 2 décembre 2003, Bull. crim., n° 230 (la naissance d’un enfant né vivant et viable) II- La

relativement à l’arrêt DANGEREUX, où la justice a dit qu’il fallait un intérêt légitime juridiquement protégé et que cet intérêt n’existait pas dans la demande formulée par une concubine suite au décès de son concubin. (Arrêt de 1959). La doctrine processualiste a critiqué cet arrêt, estimant que la jurisprudence confondait la recevabilité de l’action et le fond du litige. Par la suite, la cour de cassation a renversée cette situation en donnant raison à la concubine, lui reconnaissant ainsi, un intérêt