Bipartisme Souple

France on pratique le scrutin majoritaire à deux tours alors que dans les pays anglo-saxons on pratique le scrutin majoritaire à un tour, ce qui bien sûr à des conséquences très différentes. Le scrutin uninominal à un tour est pertinent là où le bipartisme est de rigueur, tandis que le scrutin uninominal à deux tours est pertinent là où le bipolarisme est de rigueur, il est moins brutal en témoigne l’adage « au premier tour l’électeur choisi, au second il élimine », ainsi il favorise les alliances

l'assemblée car même si un partie dispose a l'échelle national près de 20% des voix ( FN ) il aura énormément de mal à réunir a l'échelle d'une circonscription 50% des voix ou plus. - Avec le scrutin uninominal majoritaire a un seul tour on a un bipartisme car les petits parties ne peuvent même pas exister au premier tour . Et l'électeur est poussé au vote utile. - Avec le scrutin uninominal majoritaire a deux tour, les petits partie ont le temps d'exister au moins au premier tour on a donc une

équitable car il ne donne pas la possibilité à tous les électeurs d’être représentés (petits partis et groupuscules minoritaires donc jamais) car il favorise les grands partis (majeur partie des pays démocratique ont une vie politique régie par un bipartisme ou un tripartisme, du fait du développement de ce type de scrutin majoritaire). - D’un autre côté, le mode de scrutin majoritaire est efficace politiquement car il permet de dégager effectivement une majorité bien

majoritaire à un tour provoque le bipartisme. C’est le schéma britannique et américain. Ce sont des systèmes caricaturaux qui ne donnent pas satisfaction. Quant au scrutin majoritaire à deux tours, il n'empêche pas le multipartisme mais il oblige ou conduit nécessairement à une bipolarisation au deuxième tour car pour exister au second tour il faut s'allier, se reporter sur un autre candidat. Les français peuvent avoir l’impression qu’il se crée un bipartisme, qu’ils ne sont plus représentés

l'expression d'un système dans lequel il n'existe pas de véritable alternative, un vote protestataire peut se faire jour qui donne des chances à des formations populistes. Le système majoritaire à un tour favorise l'établissement ou le maintien du bipartisme. Le scrutin uninominal à un tour est extrêmement déformateur. La raison en est simple. Pour disposer de la majorité parlementaire, il suffit de l'emporter, même avec une marge très étroite dans la majorité des circonscriptions. Si un État comporte

l'échiquier. 1. Les effets classiques la représentation proportionnelle : Un multipartisme, le problème est que partis politiques deviennent puissant et s'accapare la souveraineté. Si la RP mène au multipartisme.. Le scrutin majoritaire amène a un bipartisme ou a un multipartisme limité 2. Des effets et des enjeux plus complexe le multipartisme bipolaire en France est su aux SUD à 2 tours. II. Le fonctionnement plus ou moins efficace des institutions A. La stabilité des institutions 1. La

qui à obtenu la majorité absolue au premier tour ou, à défaut, la majorité relative au second tour. Le scrutin majoritaire présente plusieurs avantages. Dans un premier temps, il permet la simplicité de la vie politique. Ensuite, il favorise le bipartisme et ainsi, par la constitution d’une majorité politique (deux gros partis), ce met en place une bipolarisation de la vie politique permettant au gouvernement de disposer d'une majorité stable à l'Assemblée nationale. Cependant, ce mode de scrutin

partis en présence par rapport au nombre de voix obtenues. Ce mode de scrutin, plus démocratique, reflète particulièrement l’expression populaire. Mais sans une utilisation judicieuse du niveau de seuil et de répartition des restes, il génère un bipartisme, voire un multipartisme. Cela conduit à une gouvernement particulièrement instable, comme sous la IVème république. On pourrait croire qu’il suffit de combiner ces deux systèmes pour obtenir le résultat idéal. Dans un monde où le modèle démocratique

structure binaire du scrutin majoritaire vers le scrutin proportionnel, évite l’éparpillement dans le scrutin proportionnel. A vrai dire le système de partis allemand est resté assez bipartisan pendant plusieurs décennies, même si c’était un bipartisme imparfait, on peut l’expliquer par ce mode de scrutin, mais expliqué aussi par le sentiment que le multipartisme indiscipliné de la république de Weimar avait favorisé l’avènement au pouvoir de Hitler, et il fallait donc éviter de prendre à nouveau

la représentation parlementaire. En général ce système mène à un affrontement bipolaire : ce mode de scrutin limite les alliances et favorise le « vote utile ». Il favorise les grands partis et élimine les partis faibles ce qui débouche sur le bipartisme que connaissent de nombreux pays. Les exemples les plus célèbres étant ceux des E-U et du R-U. Peut aussi déboucher : sur un multipartisme polarisé : regroupement des partis en deux coalitions. (ce qui peut être dangereux pour la stabilité gouvernementale)