Calixthe Beyala

littérature africaine contemporaine, et chez des auteurs comme Abdoulaye Sadji, Ousmane Sembène, Sylvain Bemba, Henri Lopes, Mongo Beti, Sony Labou Tansi, Williams Sassine, Emmanuel Dongala, Tierno Monénembo, Alain Mabanckou, Mariama Bâ ou Calixthe Beyala, pour n’en citer que quelques-uns, se posent sans cesse des problèmes d’identité culturelle, d’identité nationale et/ou ethnique, de langue, d’immigration et surtout de conditions mêmes d’existence dans un environnement post-indépendance ou

Calixthe Beyala : en 1995, Le Canard enchaîné relève des emprunts au roman Fantasia chez les ploucs de Charles Williams. Par la suite, Pierre Assouline, de la revue Lire, identifie des emprunts pour une trentaine de passages auprès de quatre auteurs différents17. En se fondant sur ce travail de comparaison effectué par Pierre Assouline, le site web du magazine Télérama de juillet 2008 qualifie Calixthe Beyala de « récidiviste de la kleptomanie littéraire »18. Selon le Monde, Calixthe Beyala

production de plus en plus abondante : Ahmadou Kourouma (récent prix Renaudot), Sony Labou Tansi, Tchicaya U'Tamsi, Moussa Konate, Raphaël Confiant, Patrick Chamoiseau, Daniel Maximin... Mais aussi Maryse Condé, Véronique Tadjo, Tanella Boni, Calixthe Beyala. Car les femmes africaines ont aussi pris la plume et font entendre leur différence. Cet ouvrage a repris, en les remaniant, les principaux chapitres d'une thèse notoire du même auteur (Université de Bruxelles, 1961). Ils ont été prolongés par

production de plus en plus abondante : Ahmadou Kourouma (récent prix Renaudot), Sony Labou Tansi, Tchicaya U'Tamsi, Moussa Konate, Raphaël Confiant, Patrick Chamoiseau, Daniel Maximin... Mais aussi Maryse Condé, Véronique Tadjo, Tanella Boni, Calixthe Beyala. Car les femmes africaines ont aussi pris la plume et font entendre leur différence. Cet ouvrage a repris, en les remaniant, les principaux chapitres d'une thèse notoire du même auteur (Université de Bruxelles, 1961). Ils ont été prolongés par

L' Hltmattan Critiques Littéraires Collection dirigée par Maguy Albet Dernières parutions Ridha BOURKHIS, Georges Schehadé. L'émotion poétique, 2009. Patrice GAHUNGU NDIMUNBANDI, Angoisses névrotiques et mal-être dans Assèze l'Africaine de Calixthe Beyala, 2009. Brigitte GAUTIER (sous la dir.), Herbert, poète polonais (1924-1998),2009. Monica ZAPATA, Silvina Ocampo. Récits d'horreur et d'humour,2009. Rachel BOUÉ, L'Eloquence du silence, Celan, Sarraute, Duras et Quignard, 2009. Chantal Magalie

cela. envouté par le charme de l’écrivaine Franco-Camerounaise Calixthe Beyala, le célèbre animateur de télévision et de radio française Michel Drucker a laissé son foyer pour aller vivre une histoire cachée de deux ans avec la Belle Calixthe. Malgré l’abolition de l’esclavage, Drucker avait gardé dans son sa tete l’idée selon laquelle le ‘’noir’’ serait l’esclave du ‘’Blanc’’.C’est ainsi qu’il exploita sa gracieuse négresse Calixthe en lui faisant écrire des livres pour lui sans la rémunérer. Pour

française, metteur en scène, grand prix de la littérature d’Afrique noire en 2002 pour « Cola cola jazz ». Paris : Dapper, 2002. 203 p. (Dapper littérature) « La gazelle s’agenouille pour pleure ». Paris : Serpent à plumes, 2003. 207 p. 2) Beyala, Calixthe (1961- ) Elle naît au Cameroun. Son franc-parler légendaire lui permet de dénoncer phallocratie et complicité féminine. « C’est le soleil qui m’a brûlée ». Paris : J’ai lu, 1988. 152 p. « Maman a un amant » : roman. Paris : A. Michel

tendre, mûri avant l’âge et observateur des dysfonctionnements identitaires d’un quartier exotique et sympathique, dans un certain nombre d’écrits beurs : La Goutte d’Or de Michel Tournier, Le Petit prince de Belleville et Maman a un amant de Calixthe Beyala, ou encore Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran d’Eric-Emmanuel Schmitt. Ce qui est au cœur de La Vie devant soi, ce sont les rapports entre Juifs et Arabes, pris comme des types raciaux et religieux. Madame Rosa montre de la largeur d’esprit

s’affirme en se diversifiant et que de jeunes voix, sorties du silence de toutes formes de violence ou d’oppression s’élève pour enrichir l’orchestre : Aoua Kéïta, Nafissatou Niang, Mariama Bâ, Aminata Sow Fall, Clémentine Nzuji, mais aussi, Calixthe Béyala, Fama Diagne Sène, Véronique Tadjo, Tanella Boni, Ken Bugul Bernadette Dao, Nafissatou Dia Diouf… Elles ont investi une autre sphère, celle de la littérature d’enfance et de jeunesse qui est en plein essor : avec ses vétérans : Annette Mbaye

foulée de cette dernière, d’autres femmes écrivains se sont imposées, dont les plus connues s’appellent Aminata Sow Fall (Sénégal), Ken Bugul (Sénégal), Véronique Tadjo (Côte d’Ivoire), Werewere Liking (Cameroun) et surtout Calixthe Beyala (Cameroun). Particulièrement prolixe, Beyala est un véritable phénomène littéraire et une des rares écrivaines africaines à pouvoir vivre de sa plume. Auteur d’une quinzaine de romans et de nombreux essais, elle choque en nommant le corps, en poussant ses personnages