Cas Arcelor Mittal

dynamisme important que certains qualifie d'agressivité. Le fait le plus frappant de cette intégration dans l'économie européenne est le rachat d'Arcelor, n°2 mondial dans son domaine par le groupe indien Mittal Steel après une OPA de 25,3 milliards d’euros en 2006. Ce nouveau groupe, Arcelor-Mittal, est maintenant leader mondial dans la plupart des métiers de la sidérurgie. A ce jour, l'Europe reçoit tous les jours des rumeurs d'OPA d'entreprises indiennes sur les entreprises européennes, notamment

augmentation de capital dans Longometal Armatures, activité développée initialement au sein de Longometal Afrique, amenant ainsi sa participation à 92%. En mars 2006, compte tenu des mouvements de concentrations qui animent la scène internationale, SNI, Arcelor et les actionnaires de référence Sonasid concluent un partenariat stratégique pou le d veloppe e t de l’e t ep ise. L’o je tif ta t de o solide et développer la position de Sonasid sur le marché marocain et lui faire bénéficier du t a sfe t

publication du règlement COB n° 2002-061. Les informations utilisées dans cette étude sont issues des documents de référence des sociétés françaises du CAC 40. Les cinq sociétés étrangères que sont EADS, St Microelectronics, Gemalto, Solvay et Arcelor Mittal ont été prises en compte. Lorsque les sociétés ont une date de clôture décalée, nous avons retenu les honoraires portant sur les exercices clos le 31 mars 2012 (Alstom) et le 30 juin 2012 (Pernod Ricard). 1 Règlement de la COB n° 2002-06

l’entreprise * dégager des profits sur du long terme (assurer la pérennité de l’entreprise) Les entrepreneurs tels que Bill Gates (Microsoft), Michel-Edouard Leclerc (groupe E.LECLERC), Alain Afflelou (groupe Afflelou), Lakshimi Mittal (groupe Arcelor Mittal) ou Jacques Benoit (Deltas plus) ont des profits et des personnalités très variés. Ils ont cependant des caractéristiques communes, que nous retrouvons chez tous les entrepreneurs. Ils se démarquent tout d’abord par leur capacité d’innovation

est étendu sur une dizaine de kilomètres de littoral et comporte de nombreuses entreprises d’énergie et de sidérurgie (Arcelor Mittal). Cette ville est le premier pôle énergétique européen et le troisième port maritime français. L’économie de la ville repose également sur l’agroalimentaire, les matériaux de construction ainsi que la métallurgie (notamment l’acier avec Arcelor Mittal et l’aluminium avec Alcan. Néanmoins, Dunkerque est aussi touché par la crise économique. En effet, le taux de chômage

avec les pays riches les USA, l'Australie, le Canada. Et défécitaire avec le Japon, l'Asie du Sud-Est. Le Japon et l'Aise du sud-est acceuillent des ETS Européennes, et l'importance de ces délocalisations explique ce commerce défécitaire. Dans le cas du Japon il sagit de produit de très haute technologie, domaine dans lequel le Japon est en avance. Les points forts de l'Europe dans les échanges sont les produits manufacturés (ex les voitures, la chimie..) mais aussi les services, L'UE est le premier

firent faillite aux États-Unis. L’industrie était considérée à cette époque peu rentable et statique. Nous pouvons constater que les facteurs pour entrer dans cette industrie est difficiles et, que c'est Mittal Steel, une organisation déjà en place qui devient leader mondial en achetant Arcelor et que cela se poursuit avec des fusions d'entreprises à des prix élevés, ce qui laisse très peu de place pour les nouveaux entrants. (1) Le deuxième hexagone démontre que l'arrivé de deux nouveaux groupes

ETUDE DE CAS SNCF * « Le Fret parent pauvre de la SNCF » L’activité de transport ferroviaire de marchandises en France est assurée majoritairement par Fret SNCF. Cependant aujourd’hui cette activité est en difficulté face à l’existence de plusieurs obstacles notamment organisationnels. La SNCF jouit d’une mauvaise image auprès des professionnels due au fait qu’elle est fortement influencée par les conflits sociaux. Les nombreux mouvements sociaux et perturbations sur le réseau dégradent

certaines idées reçues, ces défaillances ne sont pas uniquement liées à des problèmes structurels (sous-capitalisation initiale, poids des charges sociales et fiscales, lourdeurs administratives, concurrence des pays à bas coûts…). Dans près de 50% des cas, elles sont liées à des erreurs de gestion évitables, commises par le dirigeant (surinvestissement, surestimation des ventes, non maîtrise de la masse salariale, marge insuffisante, accident de trésorerie non anticipé…) qui disposent bien souvent de

selling) C’est un procédé qui consiste à vendre un titre que l’on ne possède pas en portefeuille. On emprunte un titre, que l’on revend ensuite. On rachète le titre à un moment futur afin de le rendre au propriétaire qui a prêté le titre. Il y a 2 cas dans lesquels il est intéressant d’avoir recours au short selling : • Spéculer à la baisse : par exemple, un manager emprunte un titre qui vaut 20 à t=0. Il pense que le titre est surévalué ou qu’un événement impliquant une révision à la baisse va se