Champs Lexical De La Lumière

texte : «  Candide ou l’Optimisme » il nous raconte la minimisation de la guerre. De plus il dénonce également l’optimisme c’est-à-dire l’attitude de ceux qui prétendent que tout est pour le mieux dans le monde, puis il évoque les différentes idées des lumières portées sur la liberté, la raison, la tolérance, l’égalité et le progrès. Voltaire utilise l’ironie pour nous présenter ses différents arguments ainsi que des figures de styles diverses comme l’hyperbole ou l’oxymore. L’extrait de texte choisi suscite

l’utilisation d’adjectif mélioratif : « une brillante carrière »… III] Le discours descriptif dans le récit : a) Le champ lexical dominant est celui de la lumière : « jours », « crépuscule et aurore », « lumière », « le soleil », « briller », « rayons », « illuminé des flammes du couchant », « lueur », « ciel », « étincelante clarté », « étoiles ». Ce champ lexical construit une image positive de Saint-Isaac présenté comme une force lumineuse. b) la figure de rhétorique employé est l’oxymore

ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ».L'alternance entre la lumière et l’obscurité est introduite à travers l'antithèse « ténébreux orage » (v. 1) et « brillants soleils » (V. 2). Cette alternance se retrouve dans la composition même des rimes. L'on observe en effet des rimes croisées (ABAB) qui sont favorisées par la forme du sonnet. Le poète hésite ainsi dès son plus jeune âge entre l'ombre et la lumière, entre l'espoir et le désespoir.2ᵉ partie :Le deuxième quatrain s'ouvre sur

un lieu agréable à visiter. Le champ lexical dominant dans ce poème est celui de la nature avec le lexique de la flore : « fleur » vers 4, « tremble » vers 8, « roses » vers 9, « lys » vers 10.. C’est un paysage qu’on a envie de visiter en compagnie du poète. L’expression « Qu’éclairait doucement le soleil du matin » vers 3 produit un effet de quiétude et de sérénité. Le poète se promène tranquillement dans son jardin, ne craignant rien. Le champ lexical de la lumière : « éclairait » vers 3, « pailletant »

étoile d'or». Elle se fait aussi par un champs lexical de la brillance: «resplendissait, étoile d'or, éblouissante de lumière», qui vient s'opposer au champs lexical de l'obscurité: «grisâtre, sombre, noirci, ombre noire». Axe 2: A la lecture de ce texte, on ressent l'ennui. D'une part on peut relever un champs lexical de l'ennui: «l'ennui, aucun travail, désœuvrement, baillait, délaissant, abandonnait...» qui se trouve accentué par le champs lexical de la tristesse: «grisâtre, sombre, noir

poète est un intermédiaire entre Dieu et les hommes (guide spirituel?) le poète est un guide social (il se tient au milieu des autres) le poète est un visionnaire (voit l’évolution future des hommes) le poète est un guide intellectuel (allusions aux Lumières) b. Plan I. La situation du poète A. Un homme parmi les hommes B. Un être à part II. Un pont entre le passé et l’avenir A. L’ombre du présent B. Un passé à recueillir C. Un avenir lumineux III. Un intermédiaire entre Dieu et les Hommes

à elle seule toute la teneur du conflit. La comparaison d'Horace place l'homme bien en-dessous de Rome mais il n'en est pas du tout de même pour Camille. * Champ lexical de la gloire, qui représente tout ce à quoi tient Horace, auquel s'oppose un champ lexical du déshonneur. Cette opposition entre ces deux réseaux lexicaux met bien en lumière le conflit entre les deux jeunes gens. Camille emploie des termes qui laissent entendre que Rome est un Dieu pour Horace: << immoler mon amant >>

Commentaire Critique de l’ethnocentrisme Diderot Supplément au voyage de Bougainville Le 18è siècle, aussi nommé siècle des Lumière, est marqué par un mouvement littéraire avec comme chefs de rang, Voltaire avec par exemple ses contes philosophiques, où Diderot et l’Encyclopédie. Ici, Diderot dans un extrait de Supplément au voyage de Bougainville, publié en 1773, critique l’ethnocentrisme, concept qui consiste à privilégié les normes sociales de son pays. En effet, il argumente en défendant

l'enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse. (Albert CAMUS, La Peste) Introduction Si Albert Camus a obtenu un prix Nobel de littérature en 1957 " pour l'ensemble d'une œuvre qui met en lumière, avec un sérieux pénétrant les problèmes qui se posent de nos jours à la conscience des hommes", c’est en effet parce qu’au-delà de ses dons d’écrivain, il a posé de nombreuses questions dans ses œuvres, directement inspirées de sa propre existence ;

voir le paysage a travers les sens de Gervaise : l’odorat « puanteur », puis la vue « regardait à droite » « apercevait » « levait les yeux » et enfin l’ouïe « les cris ». Chaque détail rappelle sa peur de la mort de son mari. Tout d’abord, le champ lexical de la mort omniprésent dans les éléments de paris « mort sanglante » « tablier sanglant » « massacré » « odeur fauve » « cris d’assassinés » « troué de coup de couteau » fait transparaitre le cauchemar macabre dont Gervaise est victime, ce qu’elle