Champs Lexical De La Lumière

siècles de l'absolutisme " , qui nous indique une vision du passé négatif, il nous rappelle la tyrannie des anciens rois. Musset a des idées libérales. Champs lexical de la vieillesse : " fossile, débris... ". qui nous indiquent le refus du passé. L’incertitude de l'avenir : L’avenir est décrit par des termes qui connotent l'immensité et la lumière. L'avenir est une promesse d’un rêve. L'excès de rêverie amène à la déception. Le dégoût du présent : Le présent est marqué par l'incertitude. Il est

un temps précis. - + connecteur temporel « autrefois » qui est de l’ordre de la fiction. - champs lexical de la fête « fantaisie », « lumière », « fête » pour illustrer un passé heureux. Pour le présent : - le présent est annoncé avec précision avec le connecteur temporel « maintenant ». - Il emploie le présent de vérité générale qui ancre dans la réalité + le mot « certitude ». - champs lexical de la détention, de l’enfermement « fers », « cachot », « prison » qui définissent l’horreur de

" Fossile des siècles de l'absolutisme " : Vision du passé négative, il rappelle la tyrannie des anciens rois. Champs lexical de la vieillesse : " fossile, débris... ". Musset fait parti de sa génération. Il a des idées libérales ; Refus du passé. -> l'incertitude de l'avenir L'avenir décrit par des termes extrêmement vagues qui connotent l'immensité et la lumière : "l'aurore d'un immense horizon", "les premières clartés de l'avenir". L'avenir est comme un rêve, et semble incertain

| | | | | | | |Champ lexical dominant ? | | | | | |

pour un moment » => s’attend à des oppositions et met en avant la thèse adverse pour la réfuter. - Les hommes en général : la quête du bonheur est universelle : « aux hommes » + cliché avec métaphore = « le chemin du bonheur ». II. Un texte des Lumières A. La critique de la religion et des moralistes - Critique du raisonnement moraliste des chrétiens (qui recherchent salut, bonheur au paradis mais pas sur Terre et ce par une vie sans passions, sans péchés, par le pardon) et des stoïciens (=

Philosophie Dumarsais, ami de Diderot, et de d’Alembert, maîtres d’œuvres de l’Encyclopédie (1751-1772), est chargé de rédiger, pour cet ouvrage, l’article « Philosophe » qui reflète l’idéal de tout un mouvement littéraire : le mouvement dit des « Lumières ». Dans un premier temps, on voit que l’auteur explique, selon lui, quelles sont les qualités que doivent avoir les philosophes, et ensuite les méthodes de ces derniers. I) Quelles sont, selon l’auteur, les qualités d’un philosophes ? Tout d’abord

répétés, insistant sur la verdure [« herbes » (vers 2 et 7), « lit vert » (vers 8)…] et la luminosité [« soleil » (vers 3 et 13), « rayons » (vers 4), « lumière » (vers 8)], le soleil étant aussi un élément magistral dominant qui envahit l’espace puisque sa présence est assimilée à de la pluie. « Il est étendu […] dans son lit vert où la lumière pleut ». On retrouve cette idée de verticalité dans le vers 3. Cette nature est animé, dynamique, grâce aux nombreux verbes d’actions. Ainsi, il « chante

les courbes, c’est la vie. Ici, tout est rectiligne » Rectangles de granit, yeux symétriques, leurs grands-rues, square (= carré en anglais), les usines symétriques, carrefour * Géométrie qui mène à la suppression de la vie * Champ lexical de l’immensité souvent marqué par hyperbole : « canal droit marquant sa barre à l’infini », « longs quais », « monuments », « immensément  par les banlieues », à l’infini », « au long du vieux canal à l’infini », « l’immensité de la misère »

commencer sa description, il met en avant l’éclairage de son paysage, d’où le champ lexical de la lumière qu’on peut relever au vers 4 avec les mots «éblouissement», «les feux», «soleil». Il insiste sur l’intensité de la lumière typique du climat exotique avec ce «soleil monotone» qu’il évoque. Nous pouvons également constater que la végétation est abondante. En effet, comme pour la lumière, Baudelaire utilise un champ lexical de la nature : comme est dit au vers 5, 6 et 13 par exemple «la nature»,

et de repères : monde onirique. Etape 3 : - Crépuscule : -Lueur atmosphérique due à la diffusion de la lumière solaire, lorsque le soleil vient de se coucher ou va se lever. -Ce qui décline, ce qui est proche de disparaitre, à la fin. - Crépuscule : Fin, lumière, rencontre du jour et de la nuit -Fin : « ombres des morts » (v.1) ; « s’exténue » (v.2) ; « un pendu » (v.15) -Lumière : « le jour » (v.2) ; « étoile » (v.13) -Nuit : « sans teinte » (v.7) ; « le jour s’exténue » (v.2)