Champs Lexical De La Religion

grâce à ces choses. Dans cette chanson on trouve trois champs lexicaux : - Le champ lexical de la possession : le verbe avoir est répété de nombreuses fois dans le texte, le mot possession, marques identifiées, le verbe acheter, un prix… - Le champ lexical de l’incertitude des sentiments : l’envie, je crève de ce que je n’ai pas, le bonheur, comblent, je me déteste, l’angoisse, je veux, tout ce que je vaux… - Le champs lexical de l’apparence : si j’avais si je serais ceci ⋄ avoir donc

Thunder-ten-tronckh (image du paradis) ,Candide, enrôlé de force dans l'armée bulgare fait sa 1er expèrience de la réalité en intégrant l'univers militaire (règlements stupides cruauté des châtiments corporels) Il va donc très logiquement se retrouver sur un champ de bataille. C'est se qu'évoque le début du chap 3 Ce passage met en évidence la verve satirique de Voltaire qui transparait d'abord à travers l'évocation des combats, puis par la peinture de l'horreur et débouche sur la dénonciation de la guerre

apparente et une dénonciation de l’horreur 1ere partie : fantastique surréaliste 1. l'aspect esthétique L’auteur présente la guerre comme une composition en deux plans : 1 er : Défilé de deux armées , une armée alignée dans un champs de bataille ordonnée On remarque une énumération quatre adjectifs élogieux intensifiés par « si »: beau », « lest », « brillant », « ordonné ». Il y a une vision lumineuse. C'est un véritable spectacle, à rapprocher d'un tableau. 2 ème : aspect

afin de donner des détails sur le contexte historique de son récit, et pour que le lecteur puisse se plonger dans l'histoire. On voit aussi que l'auteur prend parti pour le prêtre. En effet, l'adjectif évaluatif "faible"(l.47) ainsi que le champs lexical de l'horreur "fournaise de douleur", "cris" (l.51-52) le compare en quelque sorte au Christ, et place Grandier en temps que martyre. L'auteur fait de ce procès une mascarade en parlant des "prétendus diables"(l.13) et en se moquant des circonstances

de Béralde vis-à-vis de la médecine, la scène s’ouvre par un débat lancé par Argan sur la Médecine en général. (ligne 1) Opposition entre le débat raisonné que prétend vouloir Argan et le lexique de la religion et la croyance irraisonnée. (ligne 2) Argan croit en la Médecine comme en une religion. Béralde se moque, cela est vécu comme un blasphème par Argan, qui faire preuve d’autorité et utilise un double argument pour justifier sa croyance en la Médecine : (ligne 3) c’est l’opinion dominante et

tendresse »L6 puis « s’en fut d’un pas guilleret »L10. Devant le tableau d’affichage, Adrien est « ébloui et transpercé », « mystique devant une présence sacrée, restant pendant plusieurs minutes à s’en pénétrer, les fixant jusqu’au vertige » : le champ lexical de la religion ici présent souligne à quel point Adrien est affecté par sa promotion, la considérant comme irréaliste, divine. L’auteur se moque du caractère d’Adrien. La vanité exorbitante du fonctionnaire est vue à travers la fierté qu’il porte

“) -l’opposition bien marqué par un oxymore (l.24 „bonheur obscure“) -pour mieux attirer l’attention du lecteur, auteur se sert d‘une question rhétorique (l.10 „Mais, me dira-t-on..?“) -le champ lexical de la justice („bien“, „mal“, „balance“, „peser“) 3. Un texte des Lumières a) Critique de la religion et des moralistes -la critique du raisonnement des moralistes chrétiens qui cherchent le bonheur après la vie terrestre, le bonheur est seulement dans le paradis -pour accéder au paradis il

principal qui se nomme Candide. Ici, le lecteur est le spectateur de l’évolution du caractère et de la réflexion de Candide.   Tout au long de ce roman, qui est en réalitéun conte philosophique, Voltaire critique implicitement l’optimisme et la Religion et ses représentants. En effet, le lecteur attentif remarque que Voltaire créé un certain affrontement entre l’Optimisme, qui est personnifié par Pangloss, et le Pessimisme, qui est personnifié par Martin. L’un ne pouvant pas prévaloir l’autre.

temps qui passe, de vieillir sans que rien ne puisse être fait. En outre, ces images sont mises en valeur par des procédés. On peut relever un jeu d’antithèses  ‘’gaieté’’ ‘’angoisse’’    ‘’bonté’’ ‘’haine’’ ‘’santé’’ ‘’Fièvres’’. De plus, le champ lexical de la peur se déploie ‘’terreurs’’, ‘’affreuses’’, ‘’nuits’’, ‘’horreurs’’,  ainsi que des accumulations qui viennent à développer ce qu’est l’angoisse  ‘’honte, remords, sanglots, ennuis’’. Les antithèses traduisent la douleur perceptible de Baudelaire

idée, Maupassant s'appuie sur le champs lexical de la religion « autel », « sacrifice divin » « prêtre »; « divinité », « religieuse ». Georges n'est pas « croyant » mais il accepte de ce marié dans une église car à l'époque, il été bien vu d'être croyant. Cette union dans l'église montre aussi la supériorité et la richesse du couple.. Toutes ces connotations religieuses ne sont pas là par hasard, l'auteur cherche à marquer le lecteur sur l'importance de la religion et son impact sur la société. Cependant