Champs Lexical De La Religion

------------------------------------------------- 1) Deux champs lexicaux sont présents dans cette tirade ; il s’agit de l’hypocrisie « beauté éternelles » (vers 933 « votre bonté » (vers 955) « parfaite créature » (vers 941) Le deuxième champ lexical c’est la religion « mon salut » (vers 948) « passion » (vers 950) « Confesse » (vers 953) « offrande » (vers 954)… Tartuffe utilise ce vocabulaire car il souhaite séduire Elmire et joue ainsi sur ses sentiments. L’utilisation du champ lexical de la religion a pour but de faire passer

Alexandrins (classique) mais qui va se relever contestataire dans son discours. Anti-clérical : religion. Étude linéaire Sonnet. Rimes ABAB (croisées). Opposition naturelle entre 2 quatrains et 2 tercets. 2 premiers quatrains, ce qui se passe simultanément sur le champ de bataille et le lieu de culte dans les tercets. Les deux premiers quatrains : propositions subordonnées. -> description champ de bataille + églises = liés vers 1 : allitération en R . harmonie imitative tente de reproduire

excentriques Champ lexical de « l’abondance » « copieuse » « pleins d’écuelles » Le nombre « soixante sept mille quatorze » : effet comique de la précision "on les engloutirait » : métaphore manger rapidement « elle en mangea 16 …. Six pots » : gradation descendante « trop » : à l'excès Omniprésence du pluriel dans ce qui est mangé Anadiplose -> effet de lourdeur et d’infini (l.3 "coiraux") ; (l1-2 "fondement-échappe) 2) La nourriture, la bonne chaire à foison Champ lexical de la nourriture

doté d’une majuscule. Le terme évoque la thématique du Bien et du Mal qui domine la religion chrétienne. Le Mal semble s’appliquer à tout ce qui peut être négatif. Ici le poète nous dénonce la guerre mais quel est le message que l’auteur veut nous faire passer. Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps la dénonciation de la guerre et dans un second temps la dénonciation de la religion : indifférence de Dieu aux souffrances des hommes, vénalité des prêtes. Tout

dans une famille calviniste, Agrippa d’Aubigné reçoit une formation humaniste à Paris, à Orléans, à Genève et à Lyon. À seize ans, il s’engage dans l’armée du prince de Condé puis devient le compagnon d’Henri de Navarre. Il participe aux guerres de religion par les armes et par la plume en se distinguant par la véhémence de ses écrits en faveur des protestants. Il échappe au massacre de la Saint-Barthélemy.Il ne pardonne pas à Henri IV sa conversion au catholicisme, et reste hostile aux tentatives de

Vénus, déesse romaine de l’amour, fait l’introduction de la thématique de l’amour; thématique centrale de lyrisme et romantisme.Le champ lexical du mystère donne au poème une dimension fantastique: “mystérieux”, “suaire”, “moires”, “Frissonne”, “apparaît”. Ceci est accentué encore par le contraste noir/blanc et la proximité phonique entre “moires” et “noires”.Le champ lexical des couleurs (“blanches”, “noires”, “bruns”, “blanches”, “vert coudrier”) donne l’illusion d’un tableau, comme ci Victor Hugo utilisait

 » Question rhétorique. A travers Zola exprime l’idée que la jeunesse est au seuil de sa vie, n’a aucun acte déplorable derrière lui «  aucune affaire louche » . Zola exprime aussi l’idée de liberté : «  qui peut parler haut » . Et également à la religion : « toute pureté et bonne foi ». Ligne 45-47 : «  Comment ne fais-tu pas ce rêve chevaleresque, s’il est quelque part un martyr succombant sous la haine, de défendre sa cause et de le délivrer ? » chevaleresque : chevalier, courage. Zola encourage

péripéties : la trame est très épurée = un dervis quitte sa solitude pour entreprendre un pèlerinage à la Mecque - situation initiale heureuse : notez le champ lexical de la nature idéalisée de manière hyperbolique => nature idyllique (1ère moitié du texte jusqu’à la ligne 30 => évocation indirecte du jardin d’Eden) - situation finale inversée : champ lexical de la destruction, morts => nature dévastée - rythme plutôt rapide, récif vif / enlevé => voir le présent de narration qui donne l’impression que la

». Le conte se termine, par un bref retour au temps du passé, à la ligne 41. Les personnages comme dans les contes les personnages sont stéréotypés, ils sont peu décrits. Le dervis est caractérisé par sa sainteté comme l’indique le champ lexical de la religion : « sainteté », « le saint homme », « notre ermite », « notre pèlerin » et par sa naïveté face au monde que l’on remarque à travers son discours hyperbolique avec les apostrophes laudatives répétées et les points d’exclamation « O Allah

l’argent à des artistes pour leur permettre de vivre. Antomase : c’est quand un nom propre devient un nom commun. C’est une figure de style. Juste avant Dom Juan, Molière a écrit Tartuffe ou l’imposteur (antomase), faux dévot : il se sert de la religion pour obtenir des faveurs matériel. Coballe : monter des opérations pour détruire quelque chose. Tartuffe est censurée : l’église exerce une pression sur le roi (mécène de Molière) qui fait interdire la pièce : monarchie de droit divin. Trilogie :